Eugénie Goldstern

Copertina anteriore
La Fontaine de Siloë, 2007 - 372 pagine
4e de couv.: En décembre 1913, une étrangère arrive en traîneau au bout de la haute Maurienne, à Bessans. Seule. Elle a grandi dans la lointaine Russie, puis vécu à Vienne, alors archétype de la grande métropole européenne. Eugénie Goldstern ne vient pas en touriste. C'est une ethnologue partie à la recherche des civilisations perdues des Alpes. Mais les Bessanais se posent des questions. Pourquoi se promène-t-elle en montagne sans autre compagnie qu'un gros chien noir? Que dessine-t-elle dans les alpages de ma Mottuaz, croquis vite dissimulé à l'approche d'un passant? Dès juillet 1914, la Grande Guerre la chasse de Bessans. Elle ne reverra plus ses "chers amis bessanais". Dans leur souvenir, le mystère de "l'espionna", comme ils la surnommaient, grandit. Celle qui moissonnait les légendes entre elle-même dans la légende. Sa fin tragique dans un camp d'extermination - Izbica ou Sobibor? - semble, un temps, la faire sombrer dans l'oubli. Mais "Bessans", son maître livre traduit et publié il y a vingt ans est, de l'avis unanime, un ouvrage unique au monde. Aujourd'hui, étoile rendue à la lumière, elle se promène dans notre firmament, quelque part entre Emily Brontë, Germaine Tillon et Alexandra David-Néel
 

Pagine selezionate

Sommario

La vie dans les villages du val Müstair canton des Grisons
259
Un voyage denquête ethnographique en vallée dAoste
337
Hommage à ma grandtante Martin Karplus
343
Les points sur les i au séminaire fermé de Paris
361
Lettre dEugénie Goldstern à M Haberlandt janv 1920
369
Copyright

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