| François Arago - 1858 - 618 pagine
...citer l'observation vuJgaire qui, depuis longues années, m'en a montré la réalité. Je me promenais au milieu de la journée, en marchant du nord au midi,...carreaux de vitre des fenêtres de l'établissement placées derrière moi; il y avait donc là une image secondaire, une sorte de soleil artificiel situé... | |
| François Arago - 1858 - 640 pagine
...citer l'observation vulgaire qui, depuis longues années, m'en a montré la réalité. Je me promenais au milieu de la journée, en marchant du nord au midi,...carreaux de vitre des fenêtres de l'établissement placées derrière moi ; il y avait donc là une image secondaire, une sorte de soleil artificiel situé... | |
| Félix Giraud-Teulon - 1861 - 752 pagine
...le célèbre astronome rend compte de ses premières observations sur ce point : « Je me promenais au milieu de la journée, en marchant du nord au midi, sur la terrasse méridionale di; l'nbsorvaloire. Toute la partie des dalles au midi de mon corps était donc éclairée en plein... | |
| François Arago - 1858 - 618 pagine
...citer l'observation vulgaire qui , depuis longues années, m'en a montré la réalité. Je me promenais au milieu de la journée, en marchant du nord au midi,...carreaux de vitre des fenêtres de l'établissement placées derrière moi ; il y avait donc là une image secondaire, une sorte de soleil artificiel situé... | |
| 1878 - 532 pagine
...untersucht hat, auf diesen Unterschied der Empfindlichkeit geführt worden. Er schreibt: „Je me promenais au milieu de la journée, en marchant du nord au midi,...carreaux de vitre des fenêtres de l'établissement placées derrière moi; il y avait donc là une image secondaire, venant à ma rencontre, et devant... | |
| 1878 - 524 pagine
...„Je me promenais au milieu de la journee, en marchant du nord au midi, sur la terrasse meridionale de l'Observatoire. Toute la partie des dalles au midi de mon corps etait donc eclairee en plein par la lumiere directe du Soleil, mais les rayons de l'astre etaient reflechis... | |
| Amédée Guillemin - 1882 - 724 pagine
...observation familière semblable à celle qu'Arago raconte en ces termes : « Je me promenais, dit-il, au milieu de la journée, en marchant du nord au midi,...carreaux de vitre des fenêtres de l'établissement placées derrière moi ; il y avait donc là une image secondaire, une sorte de soleil artificiel situé... | |
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