Élise ou la vraie vie: roman

Aincourt Algériens Anna Arezki arrivait assis Bernier bicot blouse bonsoir boulevard boulevard Masséna bras C'était café chaîne chambre chercher cheveux chose cigarette contrôle cria d'Arezki Daubat demain demanda derrière descendit devant dire dis-je disait dit-il Élise envie étions faisait fallait fatigue femmes fenêtre frère froid garçon gestes Gilles grand-mère Hanz Henri heures hommes j'ai J'allai j'avais J'en j'étais jour journal jusqu'à l'atelier l'autobus l'avait l'escalier l'heure l'usine là-bas laisse leva Lucien m'avait Magyar main manger marche Marie-Louise matin ment métro Mustapha n'avais noir nuit ouvriers parler passer pensai petit peur peux place d'Italie plaisir pont National porte porte de Choisy Porte de Pantin Porte de Vincennes Porte des Lilas posa qu'Arezki Qu'est-ce quitter regard régleur rentrer rester retourna retrouver rien rire s'était sais savais sentais seule snapons soir sonnerie sortir sourire Stalingrad téléphoner tête travailler trouver vais venait vestiaire veux visage voiture voix voulait yeux