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I libri rari e cari. Tutti hanno saputo di quella magnifica edizione di Molière venduta in questi giorni a Parigi niente meno che 195 mila lire. Aggiungiamo però che questo prezzo straordinario non fu pagato soltanto per l'edizione (Paris 1773, 6 vol. in 8.) che in verità non è tanto rara e preziosa come generalmente si crede, ma specialmente per i 35 disegni originali del celebre Moreau le Jeune che hanno servito per illustrare l'edizione. Si tratta dunque d'un esemplare speciale che, oltre i disegni originali, contiene le prime prove delle incisioni in rame, avanti lettera, e quelle della tiratura ordinaria ed è conservato nella magnifica sua rilegatura originale di Bradel Derome. Il prezzo elevatissimo è ben giustificato se si tien conto dei prezzi che si pagano oggigiorno per i disegni dei grandi artisti francesi ed inglesi del XVIII secolo e se vi si aggiungono tutte le altre qualità summenzionate dell'esemplare. Si sa ormai che i preziosi volumi siano stati acquistati dal miliardario americano Morgan, il quale ha una predilezione speciale per i libri belli e cari. L'America vuol proprio in tutti i modi rendere omaggio della sua gioventú alle glorie tradizionali della vecchia Europa. Ma appunto ora è un secolo - ricorda il Figaro littéraire e il Marzocco di Firenze riferisce l'Inghilterra battagliò anch'essa intorno ad un libro: la prima edizione del Decamerone del Boccaccio. Il marchese di Blandford, che fu poi duca di Marlborough, riusci a toglierlo a colpi di sterline ad un altro amatore, lord Spencer, e lo pagò più di 56 mila franchi. A sentire gli economisti questi 56 mila franchi nel 1810 valevano molto più che i 195 mila pagati oggi pel Molière, poiché in un secolo il valore relativo di tutto è aumentato assai.... A proposito di libri cari, quello più caro dopo il Molière e il Boccaccio è il Salterio di Magonza (Psalmorum Codex) stampato da Jean Fust e Pietro Schoffer, associati e successori di Gutenberg nel 1457. È il primo volume stampato con data certa e perciò fu venduto 125 mila lire. Alcune Bibbie e specialmente la Bibbia Latina che si crede uscita dalle officine di Fust e Gutenberg verso il 1455 raggiunsero quasi il valore del Salterio, superarono certo i 100 mila franchi. Per giudicare del valore che può avere un libro raro, fosse anche un'edizione originale di un grande autore, ma senza rilegatura straordinaria o straordinarie incisioni, è interessante ricordare che l'edizione completa del Molière pubblicata, mentre egli era ancor vivo, in ventidue volumi è stata venduta pochi giorni or sono 25 mila lire. Una bella somma anche questa!... Le belle rilegature si pagano care. Una rilegatura in mosaico del secolo XVIII, attribuita a Mounier, fu acquistata nel 1906 da Pierpont Morgan per 45 mila lire. Essa rivestiva una graziosa edizione di Dafni e Cloe. Alla vendita del Pichon, nel 1897, un manoscritto contenente la relazione della festa data a Chilly nel settembre del 1770 in onore del Delfino e della Delfina (Maria Antonietta) dalla duchessa di Mazzarino fu aggiudicato per 35 mila franchi per la sua bella rilegatura in mosaico con le armi della Delfina. Esso figura oggi nella collezione Ferdinando Rothschild di Londra. Infine fra le opere più ricercate e piú care figurano tutte le raccolte di costumi e di mode del secolo XVIII che i grandi sarti, le grandi modiste disputano ai collezionisti.

A proposito della vendita dell'edizione di Molière che ha suscitato tanto strepito leggiamo nel Petit Marseillais l'articoletto seguente del sig. Paul Bosq: « On a vendu, dans ces derniers temps quelques belles bibliothèques, riches collections de livres formées par des connaisseurs et dont les volumes les plus rares ou les mieux en rapport avec le goût du jour ont atteint des prix élevés. Les journaux ont, notamment, signalé un certain Molière illustré par Moreau le Jeune, qui a trouvé acquéreur pour la somme plutôt rondelette de 177.500 fr. ; avec les frais, cela ne fait pas bien loin de 200.000. Le possesseur de cet ouvrage vraiment précieux l'avait payé tout juste 900 fr. Cela constitue un fort beau bénéfice.

Beaucoup de gens vont en conclure, non sans une apparence de raison, qu'un des meil

leurs moyens de faire fortune consiste à ramasser des livres au hasard des enchères ou en furetant avec beaucoup de flair dans les boutiques des libraires; mais rien ne prouve que, plus tard, le nouveau possesseur de ce Molière, lorsqu'il voudra s'en défaire à son tour, n'éprouvera point quelque mécompte. C'est que le livre, comme la rente et les autres valeurs qu'on achète et qu'on vend à la Bourse, a ses hausses imprévues, ses baisses déconcertantes et ses krachs. C'est la plus variable et la plus incertaine des valeurs. Telle bibliothèque, formée au bon moment et liquidée à propos, enrichit son possesseur; telle autre le ruine. C'est presque pile ou face bien que, de nos jours, le bibliophile se double généralement d'un homme d'affaires très adroit. Devancer la mode, acheter à vil prix ce que le public dédaigne encore et qu'il payera très cher demain, se tenir en garde contre les fantaisies ruineuses, éviter l'emballement et savoir se contenter d'un petit nombre de volumes irréprochables, c'est à cela que se reconnaît maintenant le bibliophile, devenu très différent de ce qu'il était autrefois.

A l'époque où l'amateur collectionnait des livres, non par espoir d'en retirer quelque profit, mais par pure inclination, pour le plaisir de regarder amoureusement de belles reliures, de faire claquer entre ses doigts un papier sonore et aussi, et surtout, par amour de l'étude et des lettres, les bonnes éditions, bien imprimées, correctes, occupaient une place d'honneur sur ses planchettes, fraternellement confondues avec les éditions, simplement rares. Il entretenait avec ses auteurs un commerce très assidu, vivait avec eux dans une intimité de tous les instants, ne les abandonnait que pour les reprendre aussitôt, en extrayait le suc et la moelle. C'était le temos de ces vastes tanneries dont parle La Bruyère.

Une des dernières, une des plus belles, était, sans conteste, celle de Jules Simon. Ce philosophe aimait les livres avec passion; son cinquième étage en était tout rempli. La porte ouverte, on se heurtait dès le premier pas à une bibliothèque, sentinelle avancée d'une formidable armée de volumes. Une avant-garde de quelques centaines de livres était casernée dans les trois armoires de l'antichambre. Le gros de l'armée débordait de son cabinet dans une galerie voisine et jusque dans sa chambre. Des volumes s'entassaient dans les moindres recoins, tapissaient les murailles. Il y en avait des milliers et tous portaient sa signature sur leur feuillets de garde. Il les savait presque par cœur et les relisait encore, les annotait, connaissait l'endroit précis où chacun d'eux reposait. Vers la fin de sa vie, presque complètement aveugle, s'il avait besoin de l'un d'eux pour l'article qu'il dictait, il lui suffisait d'étendre la main pour le prendre, sans une minute d'hésitation, sans se tromper jamais. C'était une collection variée et complète où les chefs-d'œuvre de l'antiquité coudoyaient les chefs-d'œuvre modernes. Sur le même rayon, Cousin et Platon, Homère et Victor-Hugo, qui avait de sa main sur chacun de ses ouvrages: « Victor-Hugo à Jules Simon ».

La bibliothèque de Gaston Paris, dans son vaste cabinet du Collège de France, était non moins complète et non moins variée. Lui aussi lisait beaucoup et aurait pu se dispenser de relire, car sa mémoire était sans défaillance. Un jour, je ne sais quel de ses collègues de l'Acadèmie se plaignant de brouiller et parfois d'égarer les notes qu'il prenait pour son cours, il lui répondit: « J'ignore ce désagrément, car aucune de mes notes n'est écrite, toutes sont là », et du doigt, il touchait son front.

Nos modernes bibliophiles ont infiniment moins de livres et ne les ouvrent jamais. C'est à peine s'ils les touchent d'un doigt discret; ils les enferment sous de triples verrous, comme l'avare sa cassette. Ce ne sont pas des amis, mais des hôtes de passage qui s'arrêtent là un instant pour émigrer ailleurs. Un caprice les réunit, un autre les disperse, à moins qu'un esprit de spéculation ne préside à leur achat et à leur vente. Qu'il se rencontre parmi eux, çà et là, un homme de goût, un érudit, un amateur désintéressé, on le peut bien admettre, mais il constitue une exception qui confirme la règle. Ils ne ressemblent, pas même de très loin, à Jules Simon, à Gaston Paris, à notre concitoyen Augustin Fabre qui avait réuni, par de longues et patientes recherches, presque tout ce qu'on a publié sur Marseille et la Provence. Il prêtait généreusement ses trésors aux travailleurs et n'y mettait qu'une condition, c'était qu'au

La Bibliofilia, anno XI, dispensa 3a-4".

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cun de ses livres ne sortirait de son appartement. Une longue expérience lui avait appris que, une fois partis, ils ne reviennent jamais.

Ces bibliothèques d'autrefois paraissent aujourd'hui trop vastes et surtout trop sévères. Le grec et le latin en sont exclus comme trop maussades; les classiques du dix-septième siè cle ne trouvant grâce que s'ils renferment des gravures en premier tirage et ceux du dix-huitième siècle doivent être illustrés par Eisen, Boucher, Gravelot, Moreau le Jeune. Les romantiques jouissent encore d'une certaine faveur en éditions originales, et encore faut-il que quelque relieur n'ait pas porté sur eux une main sacrilège. On les veut brochés, avec une couverture immaculée ou pas trop défraîchie; on les préfère avec des lithographies de Tony Johannot, Delacroix, Meissonier, Daumier ou Gavarni.

Mais la mode est surtout aux vieilles reliures de maroquin portant sur les plats quelque devise fameuse ou les armes d'une grande famille, aux dos couverts de fines dorures où s'enroulent des arabesques, car, si nos bibliophiles ne lisent plus, ils regardent encore. Le livre étant pour eux un bibelot, l'enveloppe seule importe. Qu'elle recouvre un chef-d'œuvre de Corneille ou un traité de médecine, sa valeur ne s'en trouve ni accrue ni diminuée. »

I fonografi nelle biblioteche. Leggiamo nel Library Journal del luglio: « Nel 1904, al Congresso di St. Louis dell'Associazione dei Bibliotecari americani, il prof. Guido Biagi bibliotecario della Laurenziana di Firenze, e uomo di fama internazionale, nel suo brillante indirizzo predisse l'uso del grammofono nelle future Biblioteche. Egli disse tra altro: «< Non ci saranno più che rari lettori ; ma sarà invece infinito il numero degli uditori, che ascolteranno da casa loro il giornale parlato, il libro parlato. Gli studenti d' Università udranno la lezione restando in letto, e, come ora da noi, non conosceranno neppure di vista i loro professori.... Ma se anche non accada per colpa del fonografo questa cosi profonda trasformazione della vita sociale, che sarebbe il fallimento dell'alfabeto, e potrebbe resultare a danno della stessa cultura; se anche, come ci auguriamo, rimanga in onore il libro, e se l'insegnamento per gli occhi non sia stato sostituito da quello per gli orecchi (onde i libri stampati rimarrebbero ad esclusivo beneficio dei sordi); nella Biblioteca futura codesti dischi, oggi derisi, avranno grandissima parte. »

Noi constatiamo con interesse che l'Accademia delle Scienze di Vienna ha stabilito di instituire un Archivio fonografico che sarà diviso in tre parti e che sarà probabilmente la piú importante Biblioteca del genere. La prima sezione sarà destinata a saggi di lingue e dialetti dei varî popoli europei quali eran parlati al principio del XX secolo. La seconda sezione conterrà saggi di musica e di canto dello stesso periodo mentre la terza sarà riservata ai dischi di oratori contemporanei, affinché i nostri posteri possan giudicare non soltanto delle loro facoltà oratorie, ma anche del loro accento.

Un'opera intorno a Gabriele d'Annunzio. - Uno scrittore francese ha raccolta con assidua diligenza una collezione di opuscoli, articoli di giornali, estratti ecc. riguardanti Gabriele d'Annunzio. Tale collezione che consta di ben 18000 numeri dovrebbe servire alla pubblicazione di un'opera intorno a questo grandissimo nostro poeta moderno.

Un papiro importante. Solo ora, mercé gli studi del francese Bouchè Leclerc sopra un papiro scoperto qualche anno fa nel sarcofago d'una mummia, dissepolto presso Fayoun, si è potuto ricostruire il rapporto che correva nell'antichissimo Egitto fra chi dirigeva i lavori e chi concedeva la mano d'opera. Quello strano papiro contiene la corrispondenza di un ingegnere del III secolo avanti Cristo, a nome Cleone, coi committenti, i capi squadra e gli operai, nonché con quei proprietarî ai quali derivava danno o fastidio dai lavori da lui diretti. Cleone era stato incaricato dal Governo del suo tempo di scavare dei canali di scarico per prosciugare una vasta regione inondata, ed aveva sotto di sé un vero esercito di terraiuoli, facchini, muratori, fornaciai, carpentieri ed altri. Il salario corrispondeva per gli scavatori a 20 centesimi

di nostra moneta al giorno, con l'obbligo di scavare due metri cubi di terra. Come adesso, gli operai ricorrevano alla minaccia di sciopero per liberarsi dei capi troppo duri od ingiusti, e spesso ottenevano cosí i miglioramenti richiesti. Anche, in quei tempi lontanissimi, come in pieno secolo ventesimo, erano generali i lagni contro le lentezze dell'amministrazione finanziaria nel vistare i mandati di pagamento, ed abbastanza comune era il fatto di subordinati che si ribellassero contro i superiori immediati, fino a batterli. Né a ciò si limitano le somiglianze fra i lati meno brillanti di quella vita antichissima e della nostra, poiché taluni ingegneri percepivano percentuali illecite sull'aggiudicazione dei lavori e delle forniture, e certi imprenditori frodavano alla loro volta nell'esecuzione dei contratti. Tanto è vero che lo stesso Cleone, terminò la sua carriera accusato e imprigionato per quanto si ignori se a torto o a ragione. Cosi la Nature. Catalogo dei Codici Marciani Italiani. A cura della Direzione della Biblioteca Nazionale di Venezia si è iniziata la stampa del Catalogo dei Codici Marciani Italiani, che abbraccerà oltre cinquemila manoscritti, per la massima parte non mai prima illustrati pubblicamente. Il volume ora pubblicato, comprende 420 codici, spettanti al vecchio fondo Marciano e alle prime tre delle undici classi nelle quali furono distribuiti i numerosi testi a penna acceduti alla grande raccolta pubblica di Venezia da collezioni monastiche e private dopo la metà del Settecento, ossia dopo la stampa del Catalogo dello Zanetti.

Le nuove descrizioni, redatte dal bibliotecario-capo dott. Carlo Frati e dal sottobibliotecario dott. Arnaldo Segarizzi, dànno di ciascun codice accuratamente la storia, la costituzione esterna, il contenuto e la bibliografia, cioè gli opportuni richiami alle opere a stampa dove sia qualche utile notizia o saggio del testo. Si aggiungono in fine gli indici degli autori e delle materie, dei copisti e possessori e dei codici con data.

Ci riserviamo di parlare ancora più diffusamente su quest' importante pubblicazione in uno dei prossimi quaderni di questa Rivista.

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VENDITE PUBBLICHE

KUPFERSTICH

Vom Deutschen Auktionsmarkt. AUKTION BEI MAX PERL IN BERLIN, 7. und 8. Mai. Chodowieckis radiertes Werk in Einzelblättern erzielte gute Preise; am höchsten kamen: Le Cabinet d'un peintre" M. 41; "Der Fortgang der Tugend und des Lasters", 12 Blatt, M. 50; König Friedrichs II. Wachtparade", M. 34; "Porträt des Sebastian Belling", M. 30; 12 Blatt zu Pestalozzis "Lienhardt und Gertrud ", M. 33; "Die Neujahrswunschverkäuferin M. 66. Auch Hosemannsche Blätter wurden gut bezahlt. Viel Interesse zeigte sich wieder für Klinger. Seine Jugendarbeiten, 8 Blatt radierte Skizzen (Op. 1) brachten M. 1205; "Eva und die Zukunft " (Op. 3) M. 1000; "Amor und Psyche M. 43; "Accorde aus Op. 12 M. 260; "Evocation aus Op. 12 M. 310; ebendaraus "Sturz der Titanen M. 215; ebendaraus "Die Finsterniss " M. 205; ebendaraus "Prometheus "

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M. 230. Menzel : Porträtstudie, älterer Mann

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AUTOGRAPHEN-AUKTION BEI LEO LIEPMANNSSOHN IN BERLIN, 21. und 22. Mai. Im Auszug. Fürstlichkeiten: Anna Amalia von Weimar, 15. 10. 1784, M. 25; Catharina II., 1. a. s., 25. 9. 1762, M. 380; Eduard VII. von England (an Kaiser Wilhelm) M. 75 ; Friedrich Wilhelm, der grosse Kurfürst, 1. a. s., 23. 3. 1671, M. 465; Nicolas I. von Russland, 12. 5. 1842, M. So. Staatsmänner: Bismarck, 1. a. s., 30. 5. 1851, M. 420; Blücher, 2. 7. 1807, M. 90; Menchikoff, 18. 5. 1713, M. 40; Moltke, 15. 10.

1872, M. 65; Nelson, 23. 9. 1801, M. 125; Franz von Sickingen (über einen geplanten Feldzug, o. O. u. D.) M. 325; Wallenstein, 25. 3. 1630, M. 110. Schriftsteller: Beaumarchais, 26. 8. 1781, M. 27; Bodmer, August 1762, M. 77; Börne, Manuscript, M. 84; Casanova, Dux 23. II. 1797, M. 90; Erasmus, latein. Epigramm auf Papst Julius II., M. 1200; Fouqué, 4. 3. 1811, M. 50; Paolo Giovio, 12. 12. 1533, M. 73; Goethe, 1. a. s., 12. 12. 1804 (an einen Bibliothekar) M. 94; Derselbe, 2. 2. 1830, an den Grossherzog von Weimar, M. 295; Hebbel, 23.9.1852, an Ziegesar in Weimar, M. 68; Derselbe, 3. 6. 1865, an Schloenbach, M. 65; Heine, die letzten 8 Strophen von "Deutschland", M. 90; Kleist, 2 Seiten Manuscript, M. 160; Körner, März 1809, M. 120; Melanchthon, 2. 7. 1545, M. 170; Derselbe, 27. IO. 1555, M. 200; Opitz, Mai 1631, M. 145; Schopenhauer, 4. 6. 1839, M. 130; Derselbe, Miethskontrakt, M. 140; Derselbe, I Seite Manuscript, M. 350; Zwingli (Januar 1528), 2 Seiten Religionsgespräch, M. 350. Musiker: Bach, Musikmanuscript, Continuostimme zur Cantate "Alles nur nach Gottes Willen ", M. 400; Friedemann Bach, Musikmanuscript, M. 120; Beethoven, Musikmanuscripte, M. 500, 210, 250, 620; Brief an Zmeskall, Februar 1812, M. 200, an Graf Moriz Lichnowski, Wien 1814, M. 200; weitere Musikmanuscripte M. 400, 150, 60; Brahms, Musikmanuscript, Sonate für Piano (Op. 2), M. 4000; Derselbe, Manuscript, Abschrift von Brahms Hand von Schuberts "Geheimniss von Schiller ", M. 800; Derselbe, Manuscript von, "Der Abend " (N.o 2 von Op. 64) M. 1500; Briefe von Brahms, M. 29100; Breviarium Benedictinum Compl. IX-X. Saeculi, Pergamenthandschrift in Neumen ohne Linien, X. Jahrhundert, nicht ganz complett, M. 4000; Brunetti, Manuscript, M. 80; Bülow, Briefe, M. 20-29; Chopin, Manuscripte, M. 800, 1500 (Handschrift der Etuden N.° 9 und 10 von Op. 10) und 1500 (Handschrift von N.o 1, 3 und 4 der Mazourkas pour le piano Op. 33); Elgar, Musikmanuscript, "Cockaygne " Op. 40, M. 550; Haydn, Manuscript "Diver." 106to. In Nomine Domini. Di Giuseppe Haydn 772 ", M. 700; Lortzing, "Einlage zu den beiden Schützen. Contre-Tanz N.o 7", M. 280; Mo. zart, 3 Kurze Musikmanuscripte, M. 250, 255 und 180; 3 Briefe Mozarts an seinen Verleger Joh. Jac. Lotter, M. 225, 180 und 150; Paganini, "Sonata p. Chitarra, e Violino dedicata a M.lle Emilia di Negro p. Niccolò Paganini. Violino ", M. 350; Quantz, 1. a.

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S., II. 2. 1756, M. 165; Rossini, Chanson, "Mi lagnerò tacendo ", M. 85; Franz Schubert, Lied An eine Quelle ", unterzeichnet, M. 555; Derselbe, 5 Compositionen aus der Frühzeit des Meisters, M. 710; Robert Schumann, Entwurf zu vier Balladen "Vom Pagen und der Königstochter", M. 1000; Derselbe, Manuscript der Märchenerzählungen ", 4 Stücke für Clarinetto, M. 995; Derselbe, Albumblatt, 28. 4.183 8, M.220; Derselbe, 3 Widmungsblätter, 200, 30 und 31 M. ; Derselbe, 8 Briefe an den Musikschriftsteller Hermann Hirschbach, M. 180; Richard Strauss, Manuscript "Lob des Leides ", M. 180; Wagner, Briefe, M. 90, 80, 60, 85, 70, 180, 40, 50, 85, 80, 125, 75, 25, 60, 100 und 160; Weber, 2 Compositionen, M. 325; Derselbe, Orchesterpartitur der “Euryanthe mit Eintragung Webers, M. 125; Derselbe, 1. a. s., 4. 9. 1820, M. 150.

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