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Pagina 104 - ... le fruit de leurs travaux; que des dispositions pareilles ne sont propres qu'à rendre l'industrie languissante, et à priver la société des effets de cette énergie dans le travail, que le sentiment de la propriété la plus libre est seul capable d'inspirer.
Pagina 15 - Masconois , Lyonois , etc. quelles excuses » peuuent avoir ces prouinces là de ne s'emploier à tant » fructueuse culture ? aiment-elles mieux donner leur » argent aux estrangers que d'en receuoir d'eux (i)? » La voix du vénérable agronome eût été entendue , et la France se fût couverte de mûriers , si la Providence avait prolongé quelques années de plus les jours du meilleur comme du plus grand des rois. Louis XIII , ou pour mieux dire, le ministre terrible qui régna sous nom , ne...
Pagina 131 - Bibl. univ., novembre et décembre 1844. — 2me édition, fort augmentée, 1 vol. in-12°. Genève. 1851. Ad. BRONGNIART: Notice sur Aug.-Pyr. de Candolle, lue à la Société royale et centrale d'agriculture, dans sa séance publique du 19 avril 1846.
Pagina 16 - ... un bienfait , on laissa presque partout périr les arbres précieux qu'on avait reçus gratuitement , mais qu'on n'avait pas demandés. On adopta une autre mesure qui réussit mieux , on donna une légère récompense pour chaque mûrier qui subsisterait trois ans après sa plantation.
Pagina 121 - Mémoires et autres pièces de prose et de vers , qui ont été lus dans les séances de la Société des Amis des sciences , des lettres , de l'agriculture et des arts , à Aix , département des Bouches-du-Rh6ne.
Pagina 34 - Ce seroit se faire une idée bien imparfaite de la fabrique de Lyon , que de la borner à donner du travail à quelques milliers d'ouvriers qui y conduisent les métiers. Une immense population a des occupations déterminées par les autres genres de travaux nécessaires à la fabrication ; et , sur cent mille habitans , il y en a au moins...
Pagina 28 - ... l'influence, l'habitude qu'on a acquise de chaque genre de travail , et l'on sera convaincu qu'il est presque impossible d'exporter tout entier un genre de fabrication si compliqué. Chaque industrie a sa localité propre comme chaque denrée a son sol : transplanter l'une ou l'autre indistinctement, c'est vouloir mûrir les fruits du midi dans les serres chaudes du nord.
Pagina 27 - Condition de la soie. elles exigent des connaissances particulières et une longue pratique , chacun d'eux forme un rouage nécessaire de la machine ; aucun ne peut suppléer l'autre , et tous doivent être parfaits pour que l'ensemble réunisse les qualités désirables. Ajoutez à cela les mécaniciens qui composent et réparent les machines , les teinturiers qui revêtent de couleurs les fils...
Pagina 10 - Aucuns disent que ce fust à l'extré» mité de telle province enclavée dans celle du Dau•» phiné , où premièrement les meuriers abordèrent, » marquant même Alan , près Montélimart qui en fut » lors pourveu par le moyen de son seigneur , qui avait *> accompaigné le roi en son voyage"; comme les vieux » gros meuriers blancs qu'on y voit encore aujourd'hui » en donnent quelques tesmoignages ( i ). L'un de ces Vieux gros mûriers blancs a vécu jusqu'à nos jours : Faujas-de-Saint-Fonds...
Pagina 2 - France sur la fin du i5.« siècle. Ainsi que l'insecte, qu'il nourrit , il est originaire de la Chine. On lit , dit le Père du Halde , dans l'histoire de cet ancien peuple, que l'impératrice Loui-tsee, femme de Hoang-ti , qui monta sur le trône 2698 ans avant l'ère chrétienne , inventa l'art d'élever les vers à soie et d'en mettre en œuvre les produits. En reconnaissance de ce bienfait , elle fut placée au rang des divinités sous le nom d'espril des mûriers et des vers à soie.