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cours sur l'éducation morale et littéraire considérée dans ses principaux rapports avec la médecine; prononcé à l'ouverture des travaux des Facultés (16 nov. 1846). Montpellier, les mêmes, 1847, in-8 de 52 pag. VIII. Discours sur Pindividualité scientifique de Montpellier. Prononcé à l'ouverture de la première séance publique de l'Académie des sciences et des lettres de Montpellier. Juillet 1847. Montpellier, 1847, in-4 de 15 p. IX. Traité d'hygiène thérapeutique, ou Application des moyens de l'hygiène au traitement des maladies. Paris, J.-B. Baillière et fils, 1860, in-8 (10 fr.). On doit encore au professeur F. Ribes des articles sur la thérapeutique, dans les « Annales de la clinique médicale de Montpellier, »; et des Conseils prophylactiques adressés aux communes du département de l'Hérault, pendant que le choléra régnait dans le Midi; par M. Ribes, rapporteur de la commission nommé par l'administration préfectorale de ce département. Insérés dans les Mémoires de l'Académie des sciences et lettres de Montpellier.

RIBES (A.), avocat, frère du précé

dent. I. Etudes sur la commune. A MM. les représentants de l'Assemblée nationale. Paris, René, 1848, in-8 de 48 pag. (50 c.) II. Etudes pratiques et sommaires sur la méthode positive. Paris, Ladrange, 1856, in-8 (6 fr.). III. Enseignements sur la méthode positive, suivis de Réflexions sur la méthode catholique, la méthode de Descartes et l'analyse de Condillac. Paris, le même, 1858, in-8 de 124 pag. (2 fr.). IV. Aperçus élémentaires sur la méthode posi tive, ou la Véritable analyse. Paris, le même, 1858, in-8 de viij et 71 p. (1 fr.). V. Catéchisme scientifique et société transitoire suivant la méthode positive. Paris, le même, 1839, in-8 de 172 pag, avec 4 lableaux (2 fr.).

RIBET (Emilien). Cinq Élégies. Lyon, de l'impr. de Perrin, 1842, in-8 de

16 pag. RIBEYRE (Félix), homme de lettres et journaliste, est né, le 6 juin 1831, à Pont-du-Château, char

TOME XII.

mante petite ville de la Limagne d'Auvergne. Son père, F. Ribeyre, ancien officier de l'Empire, compte de glorieux services militaires et a pris part aux grandes luttes de l'épopée impériale. Par sa mère, M. Felix Ribeyre appartient à la vieille noblesse d'Auvergne, à la famille des de Layras de Verdonnet. Après des études très-complètes, cédant plutôt à sa vocation littéraire qu'aux vœux de ses parents, M. Félix Ribeyre débuta, non sans succès, dans le journalisme départemental. Il fit ses premières armes au Journal du Cher, l'un des organes les plus anciens et les plus importants de la France centrale, et sa collaboration à cette feuille ne tarda pas à être remarquée. Bientôt il fut appelé à la rédaction du Mémorial de la Loire qui se publie à Saint-Etienne, et dans ce poste difficile il sut se concilier d'honorables sympathies. En 1857, on offrit à M. Félix Ribeyre la rédaction en chef du Journal de Saint-Quentin, que des écrivains de mérite avaient porté à un haut point de prospérité. Le jeune rédacteur en chef sut maintenir le journal dans la voie du progrès. Il développa même son importance par son concours intelligent et actif. Les questions d'industrie, d'agriculture et d'économie politique furent l'objet de sa sollicitude, et sans négliger la politique ni la littérature, M. Félix Ribeyre fit pendant quatre ans du Journal de Saint-Quentin une œuvre de vulgarisation et le défenseur des intérêts du pays. Ces travaux quotidiens amenèrent M. Ribeyre à jeter le plan d'un ouvrage de longue haleine sous ce titre : L'Industrie dans le département de l'Aisne, et en particulier dans le rayon de Saint-Quentin. Ce monument patriotiqué élevé à l'industrie picarde, et dédié à la Chambre de commerce de SaintQuentin, forme un fort volume grand in-8 édité par Dentu. Le même éditeur a également publié deux éditions d'une brochure politique écrite par M. Félix Ribeyre, en 1859, sous ce titre : La Paix et l'opinion. Cette étude, jugée trèsfavorablement par la presse pari20

sienne et départementale, renfermait, outre une appréciation judicieuse des difficultés diplomatiques, une histoire intéressante de la domination autrichienne en Italie. Mentionnons aussi, comme se rapportant au séjour de M. Félix Ribeyre à Saint-Quentin, un opuscule écrit, a-t-on dit, «< avec autant de cœur que de talent », sur l'Institution des petites Sœurs des pauvres. Trois éditions de ce livre, imprimé à Saint-Quentin chez M. Moureau, et édité par Adrien Leclère, Paris, rue Cassette 29, ont établi son succès. Un grand nombre de recueils en ont publié des extraits plus ou moins étendus et les «< Annales de la charité, après en avoir obtenu l'autorisation de l'auteur, reproduisirent in extenso, vers 1859, cette histoire émouvante qui portait pour épigraphie ce vers:

L'aumône, c'est de l'or pour acheter

les cieux.

Les antécédents littéraires de M. Félix Ribeyre lui ouvraient naturellement la porte du journalisme parisien. Il réalisa ce vœu en 1860. Déjà, il avait publié dans l'Avenir commercial des études sur l'industrie, et le Dictionnaire de la navigation et du commerce, de M. Guillaumin, le comptait au nombre de ses collaborateurs. Enfin il figurait parmi les publicistes qui prêtaient leur concours à la Chronique universelle illustrée. Nous citerons une curieuse monographie publiée dans ce recueil par M. Félix Ribeyre, sous ce titre Le Sport et les sportsmen. Mais l'œuvre principale de l'écrivain dont nous nous occupons, celle qui a posé sa réputation dans le monde des lettres, c'est le recueil périodique qu'il a fondé, en 1861, et qu'il dirige de concert avec M. Jules Brisson, sous le titre : Les grands Journaux de France. C'est une revue historique, biographique et anecdotique de la presse contemporaine. Retracer sous une forme piquante et instructive l'origine des divers organes de la presse, leur développement et leur situation actuelle, faire pénétrer le public dans l'intérieur de ces bureaux de

la pensée et initier les profanes aux mystères du journalisme contemporain; en un mot, écrire avec une plume loyale, honnête et indépendante, la biographie de cet être collectif qu'on nomme le Siècle, le Constitutionnel ou le Figaro, et esquisser le portrait des rédacteurs, telle est le but de cette publication dont le succès va croissant avec chaque livraison. Nous ne pouvons résister au désir de citer ici le jugement de la a Revue européenne » sur le recueil dirigé par MM. Félix Ribeyre et Jules Brisson : « Les Grands Jour

naux de France. Quatre livrai« sons le Siècle, la Patrie, la « Presse, l'Opinion nationale, ont dėja paru de cette publication in<< téressante qui se trouvera former a un jour la biographie complète « du XIXe siècle. Quidonc, en effet,

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dirigée, et, nous nous plaisons « à le noter, les auteurs n'ont pas << pour cela abdiqué leurs opi<< nions, ménagé leurs critiques; « seulement ils ont su trouver le « ton juste, garder cette qualité précieuse que l'on n'estime « peut-être pas assez et qui s'appelle la mesure. Nous reparle «rons plus longuement dans quel<< que temps de l'entreprise de « MM. Jules Brisson et Félix Ribeyre; nous n'avons voulu au«jourd'hui que l'annoncer et dé« finir en quelques mots le carac«tère de cette œuvre délicate ». Ajoutons, en terminant, que M. Félix Ribeyre a fait représenter avec succès, sur le théâtre de SaintQuentin, une pièce militaire en collaboration avec M. Besombes : L'Invasion autrichienne, ou les Français en Italie. Il est menibre de plusieurs sociétés savantes, entre autres de la Société des antiquaires de Picardie, de la So

ciété archéologique, historique et Scientifique de Soissons, de la Société d'agriculture, sciences et arts de la Sarthe, etc. Résumons ici les publications spéciales de M. Félix Ribeyre, en suivant leur ordre chronologique : I. L'Institution des petites Sœurs des pauvres (maison de retraite pour les vieillards). Saint-Quentin, impr. de Moureau, 1857, in-8 de 31 pag.; et Paris, Dentu, 1860, in-8 (1 fr.). II. Avec M. Besombes: L'Invasion autrichienne, ou les Français en Italie (mai 1859), à-propos patriot. en un acte. St-Quentin, de l'impr. de Hourdequin, 1859, in-12 de 40 pag. III. La Paix et l'Opinion. Paris, Dentu, 1859, in-8, avec une carte d'Italie (1 fr. 50 c.). IV. Industrie des cotons. Filature de Roupy, fondée en 1808, par M. Jacques Arpin. Saint-Quentin et Paris, Dentu, Guillaumin et Cie, 1860, in-8 de 16 pag. (1 fr.). Extrait de l'ouvrage suivant: V. L'Industrie dans le département de l'Aisne, et en particulier dans le rayon de Saint-Quentin. Paris, Dentu, 1860, grand in-8. VI. Avec M. Jules Brisson: Grands Journaux de France. Paris, aux bureaux, rue de Hanovre; Lucien Marpon (1861), grand in-8. Cette publication paraît par livraison, renfermant chacune l'histoire d'un journal. Onze ont paru, et contiennent les histoires du Siècle, de la Patrie, de la Presse, l'Opinion nationale, du Moniteur (en deux livraisons), du Constitutionnel (en deux livr.), du Journal des Débats (en deux livraisons), et du Charivari, avec portraits Prix de l'abonnement annuel, 10 fr., ou de chaque livraison séparée, 1 fr. Quoique jeune et n'ayant point atteint encore le degré de célébrité où il peut parvenir plus tard, M. Félix Ribeyre a déjà deux notices biographiques dans deux recueils qui ne sont point appelés à être souvent consultés, parce que à tort ou à raison on les considère comme des auto-biographies, toujours trop louangeuses pour être impartiales: la « Biographie et Dictionnaire des littérateurs, et des savants contemporains », par M. Guyot de Fère (1861, in-4), et lejournal « la Célébrité. Célébrités

:

contemporaines », art. par M. Georges d'Apremont. Paris, 1861, in-8 de 15 pag.

RIBEYRE DE VILLEMONT (le marq. de). Ethnologie de l'Europe. Origine, migrations et établissements des différentes races qui ont peuplé l'Europe. Paris, Dentu, 1856, in-18 (2 fr.). On lit en note à la fin du volume: « La publication de la seconde partie reste suspendue, pour ne pas blesser des susceptibilités que nous devons respecter. Cette première partie forme, du reste, un traité complet.

† RIBEYROLLES (Charles), écrivain politique de l'opinion républicaine très-avancée; né en 1812, à Martel (Lot), d'une famille noble, et qui comptait les comtes de Marqueyssac parmi ses parents. Ribeyrolles étant destiné à l'état ecclésiastique, fit ses études dans un séminaire, mais il renonça à la soutane pour prendre la plume de journaliste. Il vint à Paris et commença à écrire dans « le Bon sens », « le Peuple », avec Dupoty. En 1842 il alla à Toulouse prendre la rédaction de « l'Emancipation ». L'année suivante il fut à Pau pour y prendre celle du « Mémorial des Pyrénées». En 1845, il revint à Paris, et écrivit des feuilletons pour « l'Esprit public >> et pour << la Patrie »; il a fourni à ce dernier journal entre autres feuilletons celui intitulé les Compagnons de la mort. En 1846 il entra à « Réforme », dont il prit la rédaction en chef en 1848, C'est dans ce journal que parut, en feuilletons, une Histoire des Jacobins, d'après l'Histoire inédite de la Société des Jacobins de Léonard Gallois, à laquelle prirent part plusieurs rédacteurs de la Réforme ». Cette histoire ne fut point achevée, ce qui n'a point empêché nos voisins les Belges d'en commencer une contrefaçon faite sur les feuilletons. Bruxelles, Tarride, 1848-49, pet. in-4 à 2 colon., dont trois livraisons ensemble de quinze feuilles ont été publiées. Ribeyrolles se présenta en 1848, aux électeurs du Lot, mais quoique républicain de la veille, le candidat à l'Assemblée constituante échoua. Arrêté le 13 juin 1849, lors de l'échauf

la

fourée républicaine du Conservatoire des arts et métiers, il parvint à s'échapper trois mois après, s'enfuit à Londres, où il travailla au « Proscrit, journal de la république universelle », dont le premier numéro avait paru à Paris, le 15 juillet 1850, puis y fonda le journal « l'Homme », feuille trèsviolente contre l'élu de décembre. En 1858, Ribeyrolles partit pour Rio-Janeiro chargé de faire le texte du Brésil illustré, en français. Ce démagogue est mort à Rio-Janeiro, le 13 juin 1860, deux jours avant le départ du navire qui devait le ramener en Europe. Ribeyrolles n'était que journaliste: il n'a point laissé d'ouvrages. Nous ne connaissons de lui que deux publications spéciales : 1. Réponse à Barthelemy. Paris, Rouannet, 1832, in-8 de 32 pag. Cet écrit, en vers alexandrins, est une réponse à la Justification du poète II. Histoire de l'Empire, de la Restauration et du règne de Louis-Philippe, 1844-1848. Paris, Michel, 1850, in-8. Cet ouvrage forme le tom. III et dernier d'une Histoire complète de la Révolution française », publiée sous le nom de F. Tissot. RIBEYROLS (V.-P.). Epizootie de l'espèce bovine. Aurillac, de l'impr. de Ferrari, 1849, in-8 de 2 pag. (10 c.). Lettre extraite de la Revue élémentaire de médecine et de pharmacie domestique ».

a

RIBIERE (l'abbé). Recueil de poésies patoises et françaises. Limoges, Blondel, 1841, in-12 (1 fr.). La 1re satire d'Horace y est traduite en vers patois.

RIBIERE (Charles-Hippolyte), né le 1er mars 1822 à Champlay, canton et arrondissement de Joigny (Yonne), avocat, ancien conseiller de préfecture de l'Yonne, membre du conseil d'arrondissement d'Auxerre, de la Soc. des sciences historiques et natur. de l'Yonne, membre et secrétaire-adjoint de la Société centrale d'agriculture du même département. Nous connaissons de M. C.-H. Ribière: I. Coulange-la-Vineuse. Notice historique. (Extr. du Bull. de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, année

1850). Auxerre, de l'impr. de Perriquet et Rouillé, 1850, in-8 de 50 pag. Cette notice a été imprimée aussi dans l'Annuaire de I'Yonne, ann. 1851. II.Compte-rendu de l'ouvrage intitulé: Fables nouvelles, ou Leçons d'un maître à ses élèves, par M. l'abbé L.-M. Duru. Impr. dans le Bull. de la Soc. des scienc. hist. et nat. de l'Yonne, année 1855. III. De la Poésie auxerroise au XVe et au XVIe siècles. Mémoire lu au Congrès scienti fique de France tenu à Auxerre,

au

mois de sept. 1858. (Extr. du Bull. du Congrès scient. de France, xxve session, 92 vol.). Auxerre, de l'impr. de C. Gallot, 1859, in-8de 29 pages. IV. Essai sur l'histoire de l'imprimerie dans le département de l'Yonne, et spécialement à Auxerre, suivi du Catalogue des livres, brochures et pièces imprimés dans cette ville, de 180 à 1857. (Extr. du Bull. de la Soc. des sciences hist. et natur. de l'Yonne, ann. 1858) Auxerre, de l'impr. de Perriquet et Rouillé, 1858, in-8 de 378 pages, avec gravures. Tiré à part à 50 exempl. sur pap. vergé. RIBIÈRE (A). Avec E. Desmartin: Mystères du cœur, poésies. Périgueux, Lenteigne et Baylé, 1852. in-16 de 160 pag. (3 fr., au profit du malheur).

RIBIERE (E.-A.-J.), de Montagne, instituteur. I. Nouvelle Grammaire française, à l'usage des écoles primaires. Tarbes, Fouga, 1855, in-12 de 28 pag. II. L'Ere impériale. A Sa Majesté Napoléon III, empereur. Poésie. Périgueux, Dupont, 1856, in-8 de 8 pag. III. La Lecture en cinq leçons. Condat-sur-Cole (Dordogne), l'Auteur, 1856, in-8 de 16 pag. (40 c.). RIBIÈRE (Auguste), instituteur. La plus simple, la plus complète et la plus rationnelle de toutes les méthodes de lecture, en 10 tableaux. Angoulême, Goumard, 1861, in-12 de 12 pag. (30 c.).

RIBON (Marius), receveur de l'enregistrement et des domaines. Une inspiration poétique. Sisteron, de l'impr. de Bourlès, 1862, in-16 de 15 pag.

RIBOT (A.). Mi Deportacion trobas maritimas y americanas. (Poesias).

Marseille, impr. de Mossy, 1839, in-18 de 144 pag. BIBOUD (Thomas-Philibert), l'un des hommes les plus érudits de nos provinces; né à Bourg (Ain), en 1765, fut d'abord procureur du roi au bailliage de Bresse, député du tiers-état du Bugey, avant la Révolution; et depuis, l'un des administrateurs du département de l'Ain, membre du conseil des CinqCents, député au Corps législatif pour le département de l'Ain, de 1800 à 1814, président honoraire de la Cour royale de Lyon. Th. Riboud fonda, en 1778, la Société littéraire de Lyon, et peu après la Société d'émulation de l'Ain, dont il fut le secrétaire perpétuel, et l'un des membres les plus actifs; plus tard il fut admis dans les académies de Bordeaux, Dijon, nommé correspondant de l'Institut (Académie des inscriptions) et de l'Académie celtique, plus tard Société royale de France. Th. Riboud est mort à sa campagne de Jasseron, près de Bourg, le 6 août 1835.-Législation.- Politique. Économie politique.-I. Mémoire pour le sieur Gravier, négociant à Marseille. 1777, in-8. II. Mémoire pour les sieurs Béroujon et Picard. 1778, in-8. III. Sur la sensibilité dans le magistrat, discours prononcé à la rentrée du bailliage. 1779, in-8. IV. Discours prononcés à la rentrée du bailliage et siége présidial de Bourg, en 1779 et 1781. In-8. V. Discours prononcé à l'assemblée générale du tiers-état de Bresse, tenue à Bourg, les 23 et 24 avril 1781. In-8 de 55 pages. VI. Réglement de la Société politique de Bourg. Bourg, Goiffon, 1783, in-4 de 10 pag. VII. Discours lu à l'assemblée générale du tiers-état, le 27 avril 1784. 1784, in-8. VIII. Discours sur l'administration ancienne et moderne de la Bresse, prononcé à l'assemblée générale du tiers-état de celte province, le 10 août 1787, avec des notes historiques à la suite. 1787, in-8. IX. Discours prononcé à l'ouverture de l'assemblée des trois ordres... Cahier des doléances. Bourg, 1789, in-8. X. Lettre d'un député du tiersétat du Bugey, à l'assemblée générale des trois ordres de cette pro

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vince. Bourg, 19 mars 1789, in-12 de 12 pag. XI. Proclamation de l'Assemblée administrative du département de l'Ain. Bourg, Philipon, 1790, in-4 de 7 pag. Rédigée par Th. Riboud. XII. Opinion présentée au conseil du département de l'Ain, sur la question relative à la réduction des districts dudit département. Bourg, Philipon, 1790, in-4 de 42 pag. XIII. Mémoires sur les principaux objets d'administration dans le département de l'Ain. Bourg, Philipon, 1790, in-4 de 40 pag. XIV. De l'Influence que doit avoir la nouvelle forme d'administration sur le département de l'Ain. Bourg, L.-H. Goyon, 1790, in-4 de 10 pag. XV. Rapport concernant les détails principaux de la gestion du directoire du département de l'Ain, jusqu'au 1er..... 1790. Bourg, Philipon, 1790, in-4. XVI. Essai sur les moyens à employer pour subvenir aux besoins publics. 1er mars 1790. Bourg, Vernarel, Robert et Gauthier, 1790, in-8 de 46 pag. XVII. Discours sur l'enseignement dans les écoles centrales et les effets qu'on peut attendre de leur établissement. 1er nivôse an v (21 déc. 1797), in-8 de 19 pag. XVIII. Extraits et Fragments d'observations sur quelques points de la procédure et de la législation criminelle. Suppl. au no 37 du « Journal de l'Ain ». Bourg, Josserand et Janinet (1799), in-4 de 4 pag. XIX. Opinion de Th. Riboud, sur le projet de résolution relatif à l'Ecole polytechnique, séance du Corps législatif du 19 vendémiaire an vIII. Paris, de l'impr. nation., an VIII (1800), in-8 de 24 pag. XX. Lettre de Th. Riboud, député de l'Ain, membre du conseil des Cinq-Cents, à un fonctionnaire du même département. 8 frim, an viu. Paris, an vIII (1800), in-8 de 6 pag. XXI. Observations sur les contributions du département de l'Ain. Bourg, Dufour et Josserand, germinal an Ix, in-4 de 8 pag. Anon. XXII. Rapport fait au nom de la commission de législation (sur le titre 2 du livre II du Code d'instruction criminelle). 9 décembre 1808. In-8 de 40 pag. XXIII. Rapport fait au nom de la commission de législation sur le

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