Galerie morale et politique, Volume 3A. Eymery, 1827 |
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Pagina 181 - Agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort des autres, grand prince, dorénavant, je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte ; heureux si , averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration , je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie les restes d'une voix qui tombe et d'une ardeur qui s'éteint.
Pagina 54 - N'a eu de moi que la moitié : Une part te reste... elle est tienne : Je la fie à ton amitié, Pour que de l'autre il te souvienne.
Pagina 177 - L'idée de liberté, qu'une telle conduite inspirait, était admirable. Car la liberté que se figuraient les Grecs, était une liberté soumise à la loi, c'est-à-dire à la raison même reconnue par tout le peuple. Ils ne voulaient pas que les hommes eussent du pouvoir parmi eux. Les magistrats, redoutés durant le temps de leur ministère, redevenaient des particuliers qui ne gardaient d'autorité qu'autant que leur en donnait leur expérience.
Pagina 180 - Jouissez, prince, de cette victoire; jouissez-en éternellement, par l'immortelle vertu de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort des autres, grand prince, dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte; heureux si, averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration, je réserve au troupeau que je dois nourrir de...
Pagina 304 - Ce Scythe exprime bien Un indiscret stoïcien: Celui-ci retranche de l'âme Désirs et passions, le bon et le mauvais, Jusqu'aux plus innocents souhaits. Contre de telles gens, quant à moi, je réclame. Ils ôtent à nos cœurs le principal ressort, Ils font cesser de vivre avant que l'on soit mort.
Pagina 138 - ... structure de ses membres. Pour sentir tout le mérite de ce chefd'œuvre de l'art, tâchez de pénétrer dans l'empire des beautés incorporelles, et devenez , s'il se peut, créateur d'une nature céleste ; car il n'ya rien ici qui soit mortel , rien qui soit sujet aux besoins de l'humanité.
Pagina 142 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Pagina 394 - Je n'ose rien entreprendre sans y avoir bien pensé; mais quand une fois j'ai pris ma résolution, je vais droit à mon but, je renverse tout, je fauche tout, et ensuite je couvre tout de ma robe rouge.
Pagina 324 - C'est Sidon qui périt, c'est Ninivequi tombe : Tous les dieux de Bélus descendent dans la tombe. Nil ! quels sont ces débris sur tes bords dévastés? C'est Thèbe aux cent palais , l'aïeule des cités. Cherchons dans le désert les lieux où fut Palmyre.
Pagina 178 - Ce que fit la philosophie, pour conserver l'état de la Grèce, n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs et celles de la société.