| Augustin François Creuzé de Lesser - 1813 - 438 pagine
...malheur des victimes. En vain, an moins, parmi tant de fureurs, Je recherchais les arts cousolateurs. Je regrettais tant de plaisirs tranquilles , La paix des champs, la volupté des villes. Du tenu passé le charme s'effaçait ; El , las bientôt d'un spectacle effroyable, Je dis à Dien : Rendez-moi,... | |
| B. Jullien (i.e. M.B.) - 1844 - 488 pagine
...Dans ces châteaux, la terreur des tyrans Vengeait un peu le malheur des victimes. En vain, pour moi, parmi tant de fureurs. Je recherchais les arts consolateurs...Je dis à Dieu : « Rendez-moi , s'il vous plaît t Ce temps présent qui ne vaut pas le diable ». Résumons-nous: Creuzé de Lessera, dans un poème... | |
| Bernard Jullien - 1844 - 494 pagine
...Dans ces châteaux, la terreur des tyrans Vengeait un peu le malheur des victimes. En vain, pour moi, parmi tant de fureurs Je recherchais les arts consolateurs...villes. Du temps passé le charme s'effaçait, Et las bientot d'un spectacle effroyable, Je dis à Dieu : « Rendez-moi, s'il vous plaît, Ce temps présent... | |
| Bernard Jullien - 1844 - 490 pagine
...ces châteaux, la terreur des tyrans Vengeait un peu le malheur des victimes. En vain , pour moi , parmi tant de fureurs Je recherchais les arts consolateurs...la volupté des villes. Du temps passé le charme s'etfacait, Et las bientôt d'un spectacle effroyable, Je dis à Dieu : « Rendez-moi , s'il vous plaît... | |
| Gustave Merlet - 1878 - 594 pagine
...tant de fureurs, Je recherchais les arts consolateurs ; Je regrettais tant de plaisirs tranquilles. Du temps passé le charme s'effaçait, Et las bientôt...Je dis à Dieu : « Rendez-moi, s'il vous plaît, Le temps présent qui ne vaut pas le diable. » Bien que trop lâche, le style de ces vers n'at-il... | |
| Gustave Merlet - 1878 - 598 pagine
...Dans ces châteaux, la terreur des tyrans Vengeait un peu le malheur des victimes. En vain pour moi, parmi tant de fureurs, Je recherchais les arts consolateurs ; Je regrettais tant de plaisirs tranquilles. Du temps passé le charme s'effaçait, Et las bientôt d'un spectacle effroyable, Je dis à Dieu :... | |
| Gustave Merlet - 1878 - 600 pagine
...Dans ces châteaux, la terreur des tyrans Vengeait un peu le malheur des victimes. En vain pour moi, parmi tant de fureurs, Je recherchais les arts consolateurs ; Je regrettais tant de plaisirs tranquilles. Du temps passé le charme s'effaçait, Et las bientôt d'un spectacle effroyable, Je dis à Dieu :... | |
| |