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la Guerra del Vespro Siciliano (1), une histoire remarquable des Vêpres Siciliennes, dans laquelle il s'attache à démontrer, à l'aide des documents, que le soulèvement des Palermitains, dans la journée du 31 mars 1282, ne fut ni l'œuvre de Jean de Procida, ni le fait d'une conspiration; que Procida, agent de Pierre d'Aragon, avait bien pu nouer quelques relations avec les barons siciliens; mais qu'en réalité ce fut le peuple et non l'aristocratie qui fit alors la révolution, et qu'on proclama la république et non Pierre d'Aragon. Il y avait là une donnée neuve et curieuse; et MM. Possien et Chantrel s'en emparèrent et la mirent en œuvre, mais en la défigurant complétement. M. Amari est libéral, et, sans être hostile au Christianisme, il ne déguise point les fautes politiques de l'Eglise. MM. Possien et Chantrel se sont placés à un point de vue tout à fait différent, ils ont constamment attaqué le libéralisme, la philosophie, et chanté un perpétuel alleluia en l'honneur de la papauté, le tout en annonçant, dans deux ou trois notes disséminées dans le courant du livre, qu'ils suivaient l'ouvrage de M. Amari, et en retranchant toujours avec le plus grand soin tous les faits où le Pape et les membres du Clergé semblent perdre de vue les préceptes de la charité chrétienne. Les auteurs de l'Histoire d'Italie au XIIIe siècle << avouent qu'ils ont suivi M.Amari»>: Suivre n'est point le mot qui convenait ici; car sur 460 pages qui composent l'histoire française des Vêpřes Siciliennes, 380 sont une traduction de l'ouvrage italien; 15 autres pages sont occupées par des reproductions des documents cités par M. Amari, des fragments de Fleury ou des fragments de Hurter. Il reste donc en toute propriété 65 pages à MM. Possien et Chantrel ». Littér. franç. contemp. AMBOISE (Franç. d'). Timophile (Th.

(1) Le véritable titre de cet ouvrage est : «Le Guerra del Vespro Siciliano, o un Periodo delle istorie Siciliane del secolo XIII». Seconda edizione. Parigi, Baudry, 1843, 2 vol. in-8.

de). Notable, 8269; Dialogues, 8270; Regrets, 8271.

AMBOISE (Michel d'), sieur de Chevillon. Esclave fortuné (l'). Complaintes, 2250; La Penthaire, 2251; Epîtres, 2252; L'Esclave, 2253. AMELOT DE LA HOUSSAYE. La Mothe Josseval (le sieur). Histoire, 3784; Tibère, 3785; -Saint-Marc (l'abbé de). Traité des bénéfices, 6975. AMELOTTE (Denis). Prêtre de l'Oratoire (un). Vie du P. Ch. Condren, 6021; Vie de la soeur Marguerite du S. Sacrement, 6022. AMESIUS ou AMEZÈS (Guillaume). Bayne (Paul). Conduite, 493. AMFRYE DE CHAULIEU (l'abbé Guillaume). Chuulieu (l'abbé de). Pour la liste de ses ouvrages, voy. notre « France littér.» à ce dernier nom. AMIC. A. L'Homme à la longue barbe.... 1829. Voy. ELIÇAGARAY. AMOREUX (P.-Jos.). Médecin de Montpellier (un). Lettre, 4462; Naturaliste de Montpellier (un). Revue, 5061.

AMOREUX (St-Félix d'). Voy. SAINTFÉLIX D'AMOREUX. AMOUDRU, ingénieur des ponts-etchaussées. Jouy. Hermite en province, 3039.

AMOUROUX (J.-A.). Instituteur (un). Le Livre des Enfants. In-12. Ce petit livre, fort bien fait, est sans contredit le meilleur traité de lecture sans épellation; l'auteur, élève de notre école normale, a d'abord puisé les premiers éléments dans l'étude des excellentes méthodes de MM. Peigné, Maître, Meissas et Michelot, puis la pratique est venue lui donner ses enseignements et le mettre à même de le rendre aussi parfait que possible.

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ANCELOT (Jacques-Arsène-Polycarpe-François), de l'Académie française. Ernest. II, 33; SaintBris. La Mendiante, 6826. ANCELOT (Mme Marg.), femme du précédent. V. PINAUD. ANCILLON (Ch.). Ollincan (d'). Traité, 5366; M*** D***. Traité, 4640 (même ouvrage). ANDELARE (la marquise d'), morte en 1821. D*** (Mme la marq.). Heures choisies, ou Recueil de prières pour tous les besoins de la vie, avec des instructions et pratiques pour toutes les fêtes de l'année. Deuxième édition, augmentée d'un grand

nombre de prières. (La plus grande partie en français). Dijon, Douillier, 1822, in-18. L'avis de l'éditeur est signé G. P. (Gabr. Peignot). Autre édition. Dijon, Lagier, 1830, in-12. Une épître dédicatoire, placée à la tête de celle-ci, est signée par la fille de l'auteur, la comtesse d'Andelare (chanoinesse), qui a donné cette édition. La première, Dijon, Frantin, 1816, in-12, est entièrement anonyme.

ANDRÉ, dit ensuite de MURville. Jeune poète (un). Epitre, 3228. ANDRÉ (Noël), astronome. Chrysologue, de Gy (le P.). Mappemonde, 1087; Planisphères, 1088-89; Théorie, 1090.

ANDRÉ (J.-P.), des Vosges. Fantin
des Odoars. Supplément, 2350; ·
Publius. Fête, 6181*; Fous, 6182;
Histoire, 6183; Observations, 6184;
OEufs, 6185; Quasimodo, 6186;
Roi, 6187; Scandales, 6188.
ANDRÉ, de Nanteuil, poète. Nan-
teuil. III, 317.

ANDRÉ, paysan. Paysan (un). Lettre, 5550.

ANDRÉ-RELOI. Refuveille (J.-A). Alain, 6358; Qui vive? 6359; Deux amanis, 6360; Dix ans, 6361. ANDREA (Franç. d'), gentilhomme provençal. Nolles (le sieur de). Discours, 5165.

ANDRÉA DE NERCIAT. Nercial (de). III, 325.

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ANDRIEUX (F.-G.-J.-S.), de l'Académie française. Son poème de « StThomas» volé par M. E. Lajarry, 3582..

ANDRY (Nic.), dit de BOISREGARD. Sentiments, 1167. ANDRY (l'abbé Claude). Catholique (un). Letire, 953. ANDRY (C.-L.-Fr.). Randy (C.-L.F.). Manuel, 6299. ANDRY (Félix). Viro (Prosp.). Epitre, 8750; Un Touriste, 8751. ANGE (le P.), religieux capucin. R. C. (un). Hydrologie, 6335. ANGENNES (Claude d'). Evêque du Mans (1). Lettre, 2326. ANGENOT (Thom.-Jos.), instituteur à Verviers; né dans cette ville, le 30 novembre 1773. Croce (JulesCésar). Bertholde, 1283; · Nessuno (M.). Oraison fun., 5098; Simplinet, Voyage, 7507.ANGLESI (le baron d'). A*** (le baron d'). Conseils d'un militaire à

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son fils. Paris, Dupuis, et Brest, Malassis, 1781, in-12 de 302 pag.

Autre édition sous ce titre: Le Guide du jeune militaire, ou Instructions d'un père à son fils sur l'art militaire, ses devoirs, les vertus et les talents qu'il exige. Nouv. édit., refondue et augm. par Dubroca. Paris, Dubroca, an x (1802), in-12 de 432 pag. L'éditeur a augmenté cette nouvelle édition de quantité de faits mémorables puisés dans l'histoire militaire de la Révolution; d'un tableau sur l'organisation d'alors des armées en campagne, sur les progrès de l'art de la guerre pendant la Révolution, et de notices sur quelques généraux. ANGLIVIEL DE LA BEAUMELLE (L.)(1). B*** (le marq. de). Examen, 307; -Bar... (M.) Mélanges de moralé et de littérature, publiés par M. Bar... (de Barrett, composés par La Beaumelle). Strasb., 1754, in-12. Cette brochure renferme l'idée d'une république, où l'auteur développe un système peut-être singulier pour avoir une génération constante de beaux hommes et d'hommes vertueux; une ode écrite à la Bastille, sur les couches de madame la Dauphine; une dissertation sur Horace, avec un essai de traduction; des poésies mêlées, dont quelques-unes sont très ingénieuses; et une lettre sur le combat

judiciaire. Belestat (le marq. de). 397; Bekrinoll (le voyaDugeur). L'Asiatique, 553; mont. Préservatif, 2088; Gonia de Palajos. Mes Pensées, 2841; -Krinelbol (le voyageur). Amours,

melle », par M. Ch. Nisard, imprimée dans (1) Une « Étude littéraire sur La Beau«l'Atheneum français» du 3 juillet au décembre 1852, renfermant plusieurs faits erronés, a donné lieu aux deux publications suivantes, pour la défense de l'anta

goniste de Voltaire contre l'Étude de M. Nisard: 10 « Notice sur la vie et les écrits de Laurent Angliviel de La Beaumelle » (sur

son fils, Victor-Laurent-Suzanne-Moïse La Beaumelle, et son gendre, Jean-Antoine Glei-, zes); par Michel NICOLAS, Paris, Cherbuliez, Ledoyen, 1852, in-8 de 4 pag.; 20 Observations sur un écrit de M. Ch. Nisard contre L. Angliviel de La Beaumelle, suivies d'une Notice biographique et d'une Lettre de La Beaumelle publiée en 1770. (Par M. Maurice ANGLIVIEL, bibliothécaire du départ. de la Marine). Paris, les mêmes, 1853, in-8 de 63 p.

3458;-La Beaumelle. II. 338; Pierre (le czar). Lettre à Voltaire, 5802.

ANGLIVIEL DE la Beaumelle (Vic.Laur.-Suz.-Moise), fils du précédent. A. L. B., auteur de cinq ou six ouvrages, publiés avec ces initiales, et cités dans notre « France littér. » à l'article La Beaumelle. ANGOT-DESROUTOURS, et non Anot ni Agnot (Noël-Franç.-Mathieu). Desrotours, t. IV, p. 355; trogothus (André). Quelques Réflexions, 5398.

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ANNAT (le P. Fr.), jésuite. Docteur de l'église catholique (un). RabatJoye, 1770;- Père théologien de la Compag. de Jésus (un). Libelle, 5632 ; — Philadelphus (Eugenius). Exercitatio, 5680; De Scientiâ mediâ, 5681;- Severinus (Vinc.). Catholica disceptatio, 7469. ANNE (Louis-Franç.-Théod.), ancien garde du corps, rédacteur des journaux «la France » et «l'Union». Garde-du-corps (un). Relation fidèle du voyage de Charles X, depuis son départ de Saint-Cloud jusqu'à son embarquement. Paris, Dentu, 1830, in-8 de 56 pag. Sec. édit. Paris, le même, 1830, in-8 de 44 pag.; Théodore. Le Bandit, 8137; Vaudevilliste (un). Un de plus,

8529. V. aussi CALAIS. ANNÉE (Ant.). Jouy. Morale, 3386;

Société d'hommes de lettres (une). Bibliomappe, 7665. ANOT (Cyprien), de Mezières, né le 27 avril 1792. Icilius. Lettres, 3162. On a de cet écrivain des fragments d'une tragédie « Charles Ier, roi d'Angleterre », impr. en 1825.

ANSAULT DU VIVIER. Citoyen (un). Observations d'habitant de Paris et membre de l'assemblée du district des Filles de Saint-Thomas, du 21 avril 1789. In-8. ANSQUER DE LONDRES (l'abbé Théophile-Ign.). Londres (de). III, 628. ANSQUER DE PONÇOL (l'abbé), frère du précédent. L. D. L. Traduction, 3964.

ANTHEAUME (Denis). Fiacre (le vén. frère). II, 71.

ANTHEAUME. Solitaire au milieu du monde (un). Abeilles, 7774. ANTIER - CHEVRILLON (Benjamin), auteur dramatique. Benjamin. II, 115. Premières pièces de l'auteur,

qui ne sont point rappelées dans la « Littérature française contemporaine»: Avec M. Tévoly (Viollet d'Epagny). La Maison de plaisance, vaud. en un acte (et en vers). Représenté sur le théâtre du Vaudeville, le 8 octobre 1823. Paris, Mme Huet, 1823, in-8; Attila et le Troubadour, comédie-vaudeville en un acte. Représentée sur le théâtre du Vaudeville, le 7 février 1824. Paris, Mme Huet; Barba, 1824, in-8; Avec M. Louis Ponet (Portelette), le Grenier du poète, vaudeville en un acte, représenté sur le théâtre de l'Ambigu-Comique, le 13 mai 1824. Paris, Barba; Quoy, 1824, in-8; - A*** (Benj.). Avec M. Alexis (Decomberousse). le Pauvre de l'HôtelDieu, mélodrame en trois actes, à grand spectacle. Représenté sur le théâtre de la Gaîté, le 16 août 1826. Paris, Quoy, 1826, in-8;-***(MM.) Deux Ecots, 9363.

ANTOINE (le P. Gabriel), jésuite. Père de la Comp. de Jésus (un). Lectures, 5616; Méditations, 5617. ANTOINE (Antoine), ingénieur. Binosimil (le R. P.). Dissertation, 674.

ANTOINE (Ant.). Société de militaires (une). Dictionnaire, 7695. ANTOINE (Emmanuel), fils du précédent. Homme de lettres (un). Dictionnaire, 3092.

ANTONELLE (P.-A.). Citoyen de la Croix (le). Le Contraste 1124. AQUAVIVA (le P. Claude), général des jésuites. Rollin (Ch.), sans en rien dire, traduit pour son « Traité des études » un ouvrage peu répandu de son temps et presque inconnu du nôtre, le « Ratio studiorum » du P. Aquaviva. ARAGO (Et.-Vinc.). Amiel. (Ern.). Correspondance parisienne, feuilletons, dans le « National >> ;

en

Destagel. Le Rabot, II, 641 ;Electeur peu blanc... (un), quoique fort de la halle aux farines. Le Nez, chanson_anti-bonapartiste en six couplets. Impr. en placard, sans nom d'imprimeur (Bruxelles, Labroue et Comp.);-Etienne. II, 42;-Ferney (Jules). II, 69;-Morat (Fréd.). III, 301; Proscrit (un). La Vile multitude, chanson en neuf couplets. Impr. d'abord dans le « Messager du Nord » de

Lille, du 7 juin 1850, puis répétée par les journaux belges; Taponier (Jules). IV, pag. 445; Tautavel (le bar. de). IV, p. 445. ARAGO (Jacq.-Et.-V.), frère du précédent, Bouvier (Félix). Dessins vivants, ou Tatouages. Impr. dans « l'Illustration », no 208, février 1847 le Groupe fossile. Imp. dans le même journal, no 218, 1er mai 1847. Ces deux articles ayant donné lieu à une réclamation, adressée au rédacteur en chef de «l'Illustration»>, ce dernier répondit par une note qui parut dans le no du 19 juin 1847, p. 256: Nous avons accueilli par bienveillance, non moins que pour leur valeur littéraire, deux articles qui nous ont été présentés par un jeune homme du nom de Félix Bouvier, lequel s'est annoncé à nous comme parent d'un des plus respectables et des plus grands écrivains de notre temps et de notre pays. L'un de ces articles a été publié dans le no 208, au mois de février dernier; le dernier plus récemment, le 1er mai, dans le no 218. Nous étions loin de nous attendre à une réclamation du genre de celle qui nous est adressée par M. Jacques Arago, Mais nous sommes bien obligés de dire, en insérant cette réclamation, que M. Arago, dont la sincérité d'ailleurs n'était pas pour nous l'objet d'un doute, nous a fourni une preuve irrécusable, en récitant par cœur un de ces articles, qu'il n'avait pas su, avant qu'il l'eût appris de nous, avoir été publié dans « l'Illustration »>, sa réclamation ne portant d'abord que sur le dernier le Groupe fossile.

<< Monsieur,

:

>> C'est parce que votre journal est une chose sérieuse que vous devez tenir à ce que les yeux des lecteurs ne s'y reposent que sur des signatures respectées. Je dénonce donc un larcin littéraire à votre franchise abusée, et j'affirme sur l'honneur que deux articles, intitulés, l'un: Dessins vivants, ou Tatouages; l'autre le Groupe fossile, sont de moi, de moi seul, depuis le premier mot jusqu'au dernier, hors une ligne que je signalerai plus tard au parquet.

>> Il m'eût été doux d'user de clé

mence envers un jeune copiste, un commensal, quelque odieux que fût le vol commis au préjudice d'un aveugle; mais j'apprends l'instant que le sieur Félix Bouvier ose protester contre ma loyale accusation; dès-lors, je me décide. En vérité, je ne croyais pas que ma cause pût devenir meilleure; je rougis presque d'avoir trop raison, et puisqu'on me donne le droit de ne pas me montrer généreux, j'en use en toute liberté. Les plus honorables témoins sont debout pour parler devant nos juges. Je ne voulais qu'infliger une correction paternelle; mais comme tout ceci devient une question d'honneur, comme le sieur Bouvier veut une réputation, je la lui ferai. Sa protestation n'est une joie, et je le remercie du rayon de jour qu'il jette sur ma paupière éteinte.

>> Agréez l'assurance de ma plus parfaite considération, >> J. ARAGO.

» Paris, 14 juin 1849. » Lacenaire. Lacenaire, 3505;-Refay de Lusignan, Ibid. ARAGO (Emmanuel), avocat, neveu des deux précédents. Emmanuel. Ses Vaudevilles et Poésies, 22072213.

ARAGON (Mme Anne-Alexandrine). Roger (Mme Renée). Ses ouvrages, 6581 à 6585. ; Société de jeunes dames (une). Petit Dictionnaire des anecdotes de l'Amour. Paris, r. St-André-des-Arcs, n. 51, 1825, in-18.

ARANDA (le comte d'). Figaro (le véritable). Dénonciation, 2424; Raynal (l'abbé). Histoire philosophique, 6323.

ARBAUD (Franç.-Ant.), mort évêque de Gap. Gaillard, prêtre. Complément, 2638.

ARBAUD DE ROUGNAC (d'). R*** (de). Relation, 6215. ARBLAY (d'). Ancenis (le chev. d'). Des Poésies, impr. avant la Révolution. M. d'Arblay était capitaine d'artillerie. Il fut adjudant-général de l'armée parisienne sous Lafayette, au 5 et au 6 octobre, et assista à toutes les premières scènes de la Révolution. Il était à Sedan quand les troupes refusèrent de marcher contre la Convention

(1793). Il passa à l'étranger, se rendit à Londres, refusa de servir dans la marine anglaise, mais épousa miss Burney, l'auteur de romans célèbres. M. d'Arblay rentra en France sous le Consulat (1800), et fut nommé, par M. de Montalivet, chef de bureau au ministère de l'intérieur. ARBOUVILLE (la comtesse d'). Voyez LOYRE D'ARBOUVILLE. ARBUTHNOT (le doct. Jean). Swift (J.). Procès, 7919.

ARCHBOLD, D.-M. Soc. de l'Harmonie de Guyenne (la). Recueil,7675. ARCIS CHAZOURNE, avocat. Français (un). Sentiments, 2524. ARCLAIS DE MONTAMY (d'). Montamy. III, 291.

ARCONVILLE (Mme). Voyez THIROUX

D'ARCONVILle.

ARCO (le chev. d'). Cadmus de Milet. Le Palais, 880. AREMBERG (Pierre-François), mar

quis de LA CHAUME. Beragrem, marquis d'Almachu. Ses Mémoires. Amsterdam, Lejeune, 1677, pet. in-12.

ARGAND DE BARGES, aut. dramat. Debarges. Le Café 1432; Folie, 1433; Une Matinée, 1434. ARGEBOUSE (Mme d'). *** (Mme de). Elisa, 9254.

ARGENS (Jean-Baptiste de Boyer, marq. d). François d'Oraison (le P.). Lettre d'un très révérend père capucin du couvent de Liége, à M. Aubert de la Chesnaye, au sujet de la « Critique des songes philosophiques ». Liége, Broncard, 1747, in-12 de 23 pag.;- Mirone. Nouv. Mémoires du comte de Bonneval. 1737, 4 vol. in-12. ARGENT (IS.-Etienne d'). Phylarethes (J.-E.-D.). Lettres, 5783. ARGONNE (dom Noël - Bonaventure d'), chartreux. Vigneul-Marville. IV, p. 618.

ARMAND (Jean d'), Turc de nation. Mustapha. Voyages, 5027. ARMAND (Charles-Victor), plus connu sous le nom d'Armand Séville. Armand. Quaterne, 300;-Séville (A.). Tom. IV, 321;-Thorre (P.). Bariolés, 8226; Orme, 8227. ARMELY. Prêtré (un). Séparations, 6006; Avantages que peuvent et doivent retirer les fidèles de la Révolution française. Bourg, Janinet, 1803, in-12.

ARMYNIAU DUCHATELET (

transfuge de l'Ecole de Chartres. Duchâtelet. Beaucoup d'articles archéologiques sur le Paris qu'on abat, impr. dans le journal « le Siècle » de 1851 à 1853. Il est à désirer que M. Duchâtelet réunisse un jour ses articles pour en faire l'objet d'une publication spéciale, qui ne peut manquer d'inspirer beaucoup d'intérêt. ARNAUD (Eug.-Franç.-Aug. d'), baron de VITROLLES. Vitrolles (de). IV, p. 625.

ARNAUD (Jean). (Avec M. Mathieu Dairnvael). Des Arcs (J.). La Thierséide, poème. (Extrait du recueil intitulé: « Je casse les vitres ». Paris, 1842, gr. in-8. ARNAULD (Ant.), avocat. François retenu dans Paris (un). Fleur de Lys, 2554.

ARNAULD (Antoine), docteur en théologie, fils du précédent. Beaubourg (le sieur). Eléments, 506; -Bonneval (le sieur). Remarques, 763;-Démosthènes français (un). L'Anti-Espagnol, 1543; - Docteur en théologie (un). Lettre, 1800:

Godefroy (Antoine). Conduite, 2837; Jacquet (Franc.). Bibles, 3228;- L. D. M. Histoire et Concordances des quatre Evangélistes, contenant selon l'ordre des temps, la vie et les instructions de NotreSeigneur Jésus-Christ, traduites du latin (d'Ant. Arnauld, par lui-même, sous les initiales L. D. M.). Paris, 1679. Deux. édition. Paris, veuve Charles Savreux et Pierre Esclassan, 1670, in-16 de 6 ff. non chiffrés, 436 p. et 14 ff. non chiffrés pour la table. Arnauld a rédigé cet ouvrage d'après les Concordes de C. Jansenius et de Jean Du Buisson. Cet ouvrage d'Arnauld a été inséré dans le tome III de la « Sainte-Bible », trad. en français. Paris, Desprez, 1717, 4 vol. in-fol. Le Bon. La Logique, ou l'Art de penser, etc. (par Ant. Arnauld et P. Nicole). sous le nom du sieur Le Bon, avec un avis de l'éditeur (P. Nicole). Paris, Savreux, 1662, in-12; souvent réimpr.

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ARNAULD (Ant.) Boissière. Éléments,

717.

ARNAULD D'ANDILLY, frère d'Antoine

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