Journal helvétique: ou, Annales littéraires et politiques de l'Europe et principalement de la Suisse

Copertina anteriore
la Société Typographique, 1760
 

Pagine selezionate

Altre edizioni - Visualizza tutto

Parole e frasi comuni

Brani popolari

Pagina 229 - je marcherais dans la vallée de l'ombre de la « mort, je ne craindrais aucun mal ; car tu es avec « moi ; ton bâton et ta houlette sont ceux qui me
Pagina 234 - L'esprit d'irréligion fait tous les jours des progrès ; il avance à pas de géant et gagne insensiblement tous les états et toutes les conditions. Les philosophes modernes, les esprits forts me permettront-ils de leur demander quel est le fruit qu'ils prétendent retirer de leur conduite ? Un d'eux, le célèbre comte de...
Pagina 228 - Et néanmoins la la foi nous expose bien un autre spectacle devant les yeux; car elle nous fait voir les démons répandus par tout le monde, qui tourmentent et affligent tous les hommes en mille manières, et qui les précipitent presque tous d'abord dans les crimes, et ensuite dans l'enfer et dans la mort éternelle'.
Pagina 168 - Dieu, qui est la justice même, de ne faire à autrui que ce que nous voudrions qui nous fut fait *) , il serait contraire à ces maximes sacrées de...
Pagina 353 - Tout adore, en tremblant, fa fuprême puiflance, lavable & p/réfent , on le trouve en tous lieux : II remplit la terre & les cleux , Far lui tout fe meut, tout refpire s Sa durée eft l'éternité ; Et les bornes de fon Empire.
Pagina 370 - C'est un animal sot, superbe et misérable. Chacun de nous sourit à son néant, S'exagère sa propre idée: Tel s'imagine être un géant Qui n'a pas plus d'une coudée.
Pagina 311 - ZEHANGIR. La honte ? ... Mais jouis de la faveur du fort. Au fond de ton palais , je t'apponois la mort. Accablé par le tien , mon parti m'abandonne.
Pagina 145 - DIS-JE quelque chose assez belle, L'Antiquité, toute en cervelle, Me dit, je l'ai dite avant toi. C'est une plaisante donzelle; Que ne venoit-elle après moi, J'aurois dit la chose avant elle ? Contre un mauvais Juge.
Pagina 230 - Il parle , & dans la poudre il les fait tous rentrer. Au feul fon de fa voix, la mer fuit, le ciel tremble.
Pagina 374 - M'aura d'un vilain coup transpercé la bedaine, [ogt.: „£att er nur feinen Федеп"] Que par la ville ira le bruit de mon trépas, Dites -moi, mon honneur, en serez -vous plus gras? La bière est un séjour par trop mélancolique, Et trop malsain pour ceux qui craignent la colique. Et quant à moi, je trouve, ayant tout compassé, Qu'il vaut mieux être encor cocu que trépassé

Informazioni bibliografiche