L'Esprit des journaux, françois et étrangersValade, 1775 |
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Parole e frasi comuni
affez affure ainfi alimens Anaximandre Anémones de mer Anglois au-deffus auffi avoient avoit befoin c'eft C'eſt caufe Céphanire chanté chofe compofée confeils conféquemment conferver confidérable connoiffance connoître defire déja difcours différens efpece efprit encens enfuite eſt Etna étoient étoit fage faifant fainte fans doute fanté favoir fe trouve feconde felon femble fentiment feroit fervir feul fiecle fieur le Lievre fimple fociété foibleffe foient foin foit foldat fomme font fous fouvent François fuccès fuis fuite fuivi fujet fupérieure fur-tout furface goût graces Hiftoire homme intéreffant Journal Encyclopédique jufqu'à jufte l'Abbé l'Amérique l'Auteur l'efprit l'hiftoire laiffe loix Lolme lorfque Macpherſon maiſon maniere ment motet mufique n'eft n'étoit néceffaires obfervations paffer paroît perfonnes philofophie phyfique Piron plaifir plufieurs poéfie poëme Poëte pourroit pouvoit préfente prefque premiere Prince profpérité propofe puiffance puiffe queftion raifon refte s'eft Sainte Genevieve ſes tems terre Théatre Théodon tion ufage William Davenant
Brani popolari
Pagina 392 - Nouvelle table des articles contenus dans les volumes de l'Académie royale des sciences...
Pagina 71 - ... s'appeloit le tympan. Le tyran avoit fait faire au bout du tympan un petit trou qui communiquoit à une chambre où il avoit coutume de fe cacher : il appliquoit fon oreille à ce trou , & il entendent diftinfkement tout ce qui fe difoit dans la caverne.
Pagina 278 - Lorfqu'on eoupe un morceau de fucre dans l'obfcurité avec un couteau & un marteau ; on voit à chaque coup de marteau une traînée de lumière fortir du morceau de fucre dans l'endroit où on le coupe : le même effet a lieu & d'une manière plus fenfible lorfqu'on frotte deux morceaux de fucre l'un contre l'autre ; ils répandent alors une odeur phofphorique très-femblable à celle que répand un conducteur électrique fortement...
Pagina 410 - J'e conferver en fanté , de prévenir ou de guérir les maladies par le régime & les remèdes fimples : ouvrage utile auxperfonnes de tout état t & mis à la portée de tout le monde.
Pagina 134 - Sire, si vous laissez, comme Charles * désire, Comme Diane veut, par trop vous gouverner, Fondre, pétrir, mollir, refondre, retourner, Sire vous n'êtes plus, vous n'êtes plus que cire.
Pagina 135 - Pour sa corde corder, trois cordons il accorde ; Mais si l'un des cordons de la corde décorde, Le cordon, décordant, fait décorder la corde.
Pagina 103 - D'un air d'audace abordez les cruelles, D'écrits galans inondez les ruelles ; Amans par faste , et Volages par goût , Vous n'aimez rien quand vous adorez tout , Mais vous plaisez par le charme suprême D'un air, d'un ton, d'un ridicule même ; Brillans auteurs des scandales du temps, Trop dangereux si vous étiez constans. Toi qui , loin d'eux , dans la route commune , N'es comme moi...
Pagina 6 - Ibériens , Corfes , &c. comme une forte de pénitence, fondée fur la honte & le repentir d'avoir donné le jour à un être de fon efpece.
Pagina 68 - On pourroit, avec autant de jufte'fe , les nommer la zone torride , la tempérée, & la glaciale. La premiere région environne le pied de la montagne, & forme de tous côtés le pays le plus fertile du monde , jufqu'à la hauteur d'environ quatorze...
Pagina 83 - Il ya des perfonnes qui les mettent en caiffe , & qui prétendent que c'eft un moyen d'avoir des figues plus précoces , en plus grande abondance & de meilleur goût : de plus on a l'avantage de pouvoir les mettre dans la ferre pendant l'hiver.