du Journal complet du Dict. des sciences médic.). Perpignan (et Paris, MéquignonMarvis), 1822, in-8.

GELÉ (dom), bénédictin. Voy. BauDRAND (Mich.-Ant. ).

pour

On a encore du pasteur de Gélieu: 1o Essais former des essaims artificiels, insérés dans les Mém.

de la Soc. économique de Berne, ann. 1770 ; 2o Instructions pour les habitants de la campagne, contenant en abrégé la manière la plus simple et la plus sûre de gouverner les abeilles; extrait de l'ouvrage inédit de feu J. de Gélieu, pasteur aux Venières, par son fils: inséré dans le même recueil, même

1650.

artificiels par le partage des ruches, insérée dans le même recueil, ann. 1772; 4° Lettre sur la durée de la vie de la reine abeille, insérée dans la Biblio

thèque univ. de Genève, en 1819.

GELLER (J.-H.-F.), pseudonyme. Atala et Musacop, histoire péruvienne, suivie des Petits orphelins des hameaux. Paris, Locard et Davy, 1821, 2 vol. in-12, 4 fr.

Chacune de ces deux nouvelles a été imprimée aussi séparément la même année, en 2 volumes in-18, I fr.

Elma, ou la Morte vivante. Paris, les mêmes, 1820, in-18, 1 fr. 25 c. -Paul et Virginie, ou les Amants des Bermudes; suivi de Victor, ou l'Enfant des bois. Paris, les mêmes, 1821, 2 vol. in-12, 4 fr.

Ces deux nouvelles ont été aussi imprimées séparément (1821, 1827), en 2 vol. in-18, 1 fr.

Les ouvrages publiés sous ce nom de Geller ont pour auteur la feconde madame Guénard.

GELLERT (Christian-Furchtgott), l'un des restaurateurs de la littérature allemande au XVIIe siècle.

Comtesse (la) suédoise, ou Mémoires de madame G***, trad. de l'allem. (par J, H. S. FORMEY). Berlin, Schutze, 1754 ou 1766, 2 part. in-12.

Le même ouvrage, sous ce titre les Aventures malheureuses de la comtesse de Suède (trad. de l'allem. par M. de B....). Paris, Mérigot, 1784, 2 part. in-12.

Cette traduction a été publiée dès 1779, à Paris, chez Valade, sous le titre de Comtesse de Suède, 2 part. in-12.

- Dévote (la), com. en 3 actes (en prose), trad. de l'allem. par M. POIZEAUX. Berlin, Haude et Spener, 1756, in-8.

Une autre traduction de cette pièce, sous le titre de la Fausse dévote, a été impr. dans un « Théâtre allemand», etc., par C. D. (Amsterdam, 1769, un vol. in-12), vol. dans lequel on trouve aussi la trad. d'une autre pièce de Gellert, intitulée: la Femme

malade, com. en un acte.

Deux autres pièces de Gellert ont encore été traduites en français; la première, intitulée les Sœurs amies, com. en 3 actes et en prose, par une demoi. selle de Hambourg, et impr. dans les « Progrès des Allemands dans les Sciences », etc., du baron de

Bielfeld (1768); la seconde, intitulée le Billet de loterie, et imprimée dans le « Théâtre allemand de Junker. >>

Extrait de ses OEuvres, contenant ses apologues, ses fables et ses histoires; trad. 39

de l'allem. par M. TOUSSAINT. Zullichow, de Fromman, 1768, 2 vol. in-12.

Fables et contes, trad. de l'allem. Strasbourg, 1750, pet. in-8.

Fables et Contes, en vers franç. (traduits principalement de l'allemand, de Gellert, par BOULENGER DE RIVERY). Paris, Duchesne, 1754, in-12.

-

Les mêmes, trad. de l'allem. en vers français, par une femme aveugle (Mme Mar. Wilh. de STEVENS). Breslau, 1776, in-8. - Hymnes et Odes sacrées, traduites de l'allem.(par ÉLISABETH-CHRISTINE de Brunswick, veuve de Frédéric II). Berlin, 1789, in-8.

-Leçons de morale, trad. de Gellert; on y a joint des Réflexions sur la personne et les écrits de l'auteur, par Ch. GARVE. Trad. de l'allem. par L. ES. PAJON de Moncets. Leipzig et Paris, 1772, ou Utrecht, Schonoven, 1775, 2 vol. in-8, 10 fr.; et Genève, Mourer, 1786, 2 part. en un vol. in-8.

Les mêmes (traduites par ÉLISABETHCHRISTINE de Brunswick). Berlin, de l'imp. roy., 1790, 2 vol. in-8.

-Lettres (ses) familières, trad. par HUBER, et précédées d'un Éloge de Gellert. Leipzig, 1770, 1777, in-12.

— Les mêmes, trad. par Mme LAFITTE, auxquelles on a joint la traduction de la Vie de Gellert par M. Cramer. Utrecht, 1775, in-8.

GELLERT (Christ. - Ehregott), frère aîné du précédent, métallurgiste allemand. Chimie métallurgique, dans laquelle on trouvera la théorie et la pratique de cet art; traduite de l'allemand (par le baron D'HOLBACH). Paris, Briasson, 1758, 2 vol. in-12.

GELLUS (Anlus). Voyez AULU-Gelle. GELONE * Manuel-Guide des voyageurs aux États-Unis de l'Amérique du nord, etc. Paris, 1818, in-12.

GELOZAN (de). Teudimer, ou la Monarchie espagnole. 1805, in-12, 2 fr. GÉLY (B.), pasteur du canton de Vaud. Sermon prononcé pour la consécration de la chapelle de la nouvelle maison de détention du canton de Vaud. Lausanne, 1826, in-8.

· Art (l') de jouer du violon, avec des règles nécessaires pour la perfection, etc. Nouv. édit. publiée par M. SIEBER fils. Paris, Pleyel, 1801, in-4.

* Dictionnaire harmonique, vrai guide à la vraie modulation (trad. de l'ital.). Paris, 1756, ou Amsterdam, 1758, in-8.

Ou a encore de Geminiani plusieurs autres traités de musique, mais qui ne sont ni impr. en France, ni en langue française.

GEMINUS. Introduction aux phénomènes célestes, trad, du grec, etc. (1819), Voy. HALMA.

GEMMINGEN (le bar.).

Une pièce de lui, intitulée le Père de famille, a été trad. par Friedel et Bonneville, et impr. dans leur <<Théâtre allemand ».

GÉNARD (François), fils d'un marchand de vin de Paris; né vers 1722.

* École (l') de l'homme, ou Parallèle des portraits du siècle et des tableaux de l'Écriture - Sainte. Amsterdam ( Noyon, Nouvelles Rocher), 1752, 3 vol. in-12. édit. (sous la rubrique de Londres ), 1753, 1755, 2 vol. in-12.

Barb.

L'abbé Sepher a soutenu que cet ouvrage était d'un soldat aux gardes nommé Dupuis. Il y a des exempl. de l'édit, de 1752 qui ne por tent que le second titre.

On remarqua dans cette production des impiétés couvertes des passages de l'Écriture. On y distingua Pompadour, du prince Édouard, etc. La police saisit surtout les portraits de Louis XV, de la marquise de l'ouvrage et chercha l'auteur ; il fut arrêté et conduit à la Bastille, le 10 mars 1752.

Génard ayant recouvré sa liberté, alla en Hollande, où il fit imprimer, dit M. Barbier, un ouvr contre Louis XV, intitulé : la Comédie du temps,

et

l'Ecole de la femme, qui devait servir de pendant à l'École de l'homme. Il publia aussi, en 1755, recueil d'épigrammes contre la religion et les bonnes mœurs. Étant revenu à Paris en 1756, le lieutenant Ide police le fit conduire de nouveau à la Bastille.

GENCE ( (Jean-Baptiste - Modeste), archiviste au dépôt des chartes, anc. réviseur en chef à l'impr. roy.; anc. membre de la Société des Antiquaires de France, et de la Société de la morale chrétienne; né à Amiens, le 15 juin 1755.

Tableau méthodique des connaissances humaines, avec une explication. Paris, 1816, in-fol.

On doit encore à M. Gence: 1° une Notice sur le caractère des éditions ou traductions françaises les plus remarquables de l'Imitation de J.-C., insérée dans le Journal des curés, sept. 1810; 2o une Notice biographique des pères et auteurs cités par Bourdaloue, annexée à la table de l'édition des OEuvres complètes de ce prédicateur, Versailles, 1812; 3° Considérations sur la question relative à l'auteur de l'Imitation de J.-C., impr. à la suite de la Dissertation de M. Barbier sur les traductions françaises de ce livre (Paris, 1812): M. Gence soutient dans cet écrit que l'auteur de l'Imitation de J.-C. n'est point Thomas à Kempis, ni Gersen, mais bien Jean Gerson, célèbre chancelier de l'église et de l'université de Paris; 4° des Notices dans la Biographie universelle, entre autres, celles sur Gerson, Massillon, Montaigne, Poussin, Cl. Saint-Martin, etc.; 5° les Tables analytiques de l'Histoire des monuments de l'art, par Séroux d'Agincourt.

M. Gence a participé à la traduction française de l'ouvrage de M. Micali, intitulé : l'Italie avant la domination des Romains (1824), en traduisant sur la seconde édition italienne les additions et changements considérables qu'il a refondus dans la version faite par MM. Joly et Fauriel sur la première édition.

GENCY (de). * Calendrier des héros, ou le Manuel des militaires. Paris, Ve Duchesne, 1772, in-8.

GENDEBIEN. Mémoire sur les mines de houille des départements réunis, dans lequel elles sont considérées principale

Consultations médico-légales sur les faits relatifs à un accouchement terminé par la mutilation de l'enfant, et sur les questions adressées à ce sujet à l'Académie roy. de médecine par le tribunal de Domfront (Eure), saisi de la demande en dommages et intérêts dirigée contre l'accou cheur au nom de l'enfant mutilé, Paris, J.-B. Baillière, 1829, br. in-8, 2 fr.

– Éloges de Ph. Pinel et de B. J. H. Bertin; lus à la séance publique du Cercle médical de Paris, du 14 décembre 1817. Paris, Béchet jeune, 1828, br. in-8.

Impr. aussi dans les « Annales du Cercle médical.» - Histoire anatomique des inflammations. Paris, Béchet jeune; Gabon; J.-B. Baillière, 1826-27, 2 vol. in-8, 15 fr.

L'Institut a accordé à l'auteur, en 1827, un prix de 1500 fr., fondation Montyon en faveur de ceux qui par des ouvrages publiés dans l'année ont concouru au perfectionnement de l'art.

Recherches historiques sur les épidémies de fièvre jaune qui ont régné à Malaga depuis le commencement de ce siècle. Paris, impr. de Belin, 1824, in-8 de 104 pag.

Recherches physiologiques sur la motilité. Paris, Béchet jeune, 1822, br. in-8. - Recherches sur la nature et les causes prochaines des fièvres. Paris, Béchet jeune, 1823, 2 vol. in-8, 12 fr.

Une traduction du Traité des maladies encepha liques, du professeur Abercromby, par M. Gendrin, augm. d'un grand nombre de notes, est sous presse pour paraître prochainement.

GENDRON (Claude-DESHAIS), docteur en médecine de la Faculté de Montpellier, et ensuite médecin du frère de Louis XIV et du Régent, et l'un des plus célèbres oculistes de France; né dans la Beauce, en 1663, mort à Auteuil, près Paris, daus la maison qu'avait habitée autrefois Boileau, son ami, le 3 septembre 1750.

GENDRON (Pierre - André), arrièrepetit-neveu de Claude Deshais Gendron, et médecin fort habile; né à Büeil, en Tourraine, en 1765, mort à La Chartresur-Loir (Sarthe), le 17 avril 1814.

Il a écrit quelques Mémoires, qui sont dissémi nés dans le recueil de la Société de médecine de Paris, et dans les Annales cliniques de Montpellier. GENDRON ( Arsène-Pierre-Jean-Baptiste), fils de Pierre-André; médecin des épidémies de l'arrondissement de Vendôme, et médecin adjoint de l'hôpital et du collège de Vendôme; né à La Chartre, le 21 janvier 1793.

-

Dissertation sur le phlegmon des mamelles et sa terminaison par suppuration. Paris, 1815, in-4.

GÉNÉBRIER, médecin et antiquaire français du xvIIIe siècle.

* Dissertation sur une médaille de Magnia Urbica, où l'on fait voir que cette princesse n'est point femme de l'empereur Maxence, comme on l'a cru jusqu'ici. Paris, Lecot, 1704, in-12.

*Dissertation sur le Nigrianus. Paris, 1704, in-12.

* Histoire de Carausins, empereur de la Grande-Bretagne, collègue de Dioclétien et de Maximien, prouvée par les médailles. Paris, 1740, in-4.

Cette histoire reçut l'approbation du monde

savant.

On a encore de Génébrier une Lettre sur une médaille singulière de Carausius, adressée à mylord comte de Pembrok, et impr. dans le Mercure, sept. 1731.

GENERÈS-SOURVILLE fils (Édouard). Sacerdoce (du) et de la philosophie. Paris, Beaucé-Rusand, 1822, in-8 de 160 pag., 4 fr. 50 c.

GENEST (l'abbé Ch.-Cl.), abbé de SaintVilmer, aumônier ordinaire de Mme la duchesse d'Orléans, membre de l'Académie Française; né à Paris, le 17 octobre 1639, mort le 19 novembre 1719.

Dissertation sur la poésie pastorale, ou de l'Idylle et de l'Églogue. Paris, Coignard, 1707, in-12.

* Divertissements de Sceaux. Trévoux, 1712, in-12.

Joseph, tragédie (en 5 actes et en vers) tirée de l'Écriture sainte. Paris, Ét. Ganeau, 1711, in-12, ou 1731, in-8; et Paris, Ve Valleyre, 1743, in-8.

* Mémoire sur la vie et les vertus de Mme la princesse palatine de Bavière, abbesse de Maubuisson. Paris, Guillain, 1709, in-12.

* Pénélope (ou le Retour d'Ulysse de la guerre de Troie, pouvant servir de suite aux Aventures de Télémaque), tragédie (en 5 actes et en vers). La Haye, Adrian Moetjens, 1701, in-12.

Publ. sous le pseudon. de La Fontaine.

L'abbé Genest ne fit imprimer cette pièce qu'en 1703, à Paris, chez Boudot, in-12, et la dédia à la duchesse d'Orléans. Elle a été réimpr. en 1716,

Paris, Chr. David, in-12.

De quatre tragédies que Genest a composées, Pénélope est celle qui eut le moins de succès dans les temps, et cependant elle est la seule qui soit restée. «Elle est, dit Voltaire, au rang des pièces

d'un style lâche et prosaïque, que les situations font tolérer à la représentation. »>

naturelles de l'existence de Dieu et de l'immortalité de l'ame. Paris, Etienne ? 1716, in-8.

C'est la philosophie de Descartes mise en mauvais vers. « Cet ouvrage, dit encore Voltaire, signala plus la patience de Genest que son génie; et il « n'eut guère rien de commun avec Lucrèce que de «versifier une philosophie erronée presqu'en tout ». Voyageurs (les), com. en 5 actes et en vers. Utrecht, Ét. Néaulme, 1736, in-12. Pièce qui n'est citée par aucun catalogue ni dictionnaire d'auteurs dramatiques, ni par la Biographie universelle. Est-ce une nouvelle édition, ou bien est-elle posthume? voilà ce que nous ne pouvons affirmer.

L'abbé Genest est auteur de quelques autres ouvrages dont la publ. est antérieure au XVIIIe siècle.

Bayle attribue à cet académicien l'ouvrage intitulé: Dialogues entre MM. Patru et d'Ablancourt, sur les plaisirs (1701). Voyez BAUDOT DE JUILLY.

GENEST (J.). Exposition du système naturel des nerfs du corps humain, trad. de l'angl. (1825). Voy. BELL (Ch.).

GENET (Fr. de), évêque de Vaison. Théologie (la) morale (dite de Grenoble), ou Résolution des cas de conscience, selon l'Écriture Sainte, les Canons et les Saints Pères. Nouv. édit. Paris, Pralart, 1715; Rouen, Ve Ferrand, 1739, 8 vol. in-12; ou Paris, 1763, 7 vol. in-12.

La Vergne de Tressan a eu part à cette théologie, qui fut publ. pour la prem. fois en 1676.

GENET (Edme-Jacq.), secrétaire-interprète de Monsieur, membre de la Société littéraire d'Upsal ( Appolini Sacra), mort en 1781.

* Essais historiques sur l'Angleterre. Paris, frères Étienne, 1761, 2 vol. in-12. -* État politique actuel de l'Angleterre, ou Lettres sur les écrits publics de la nation anglaise. 1757-59, 10 vol. in-12. -*Histoire des différents siéges de Bergop-Zoom. 1747, in-12.

- Table ou Abrégé des 135 vol. de la Gazette de France, depuis son commencement, en 1631, jusqu'à la fin de l'année 1765. Paris, 1768, 3 vol. in-4.

Genest a donné diverses traductions de l'anglais, que: 1° Lettres choisies de Pope (1754), telles voy. POPE; 2° la Vérité révélée (1755), voyez ce titre à la Table des Anon.; 3° le Peuple instruit (1756), Voy. SHABBEAR; 4° le Peuple juge (1756); 50 Petit Catéchisme des Anglais (1757); 6° Mém. pour les ministres d'Angleterre contre l'amiral Byng (1757); 7° Lettre au comte de Bute (1761). Voy. ces titres à la Table des Anonymes.

GENET, fils du précédent.

Re

A traduit: Histoire d'Éric, roi de Suède, etc., traduit du suédois (1777); voyez CELSIUS. cherches sur l'ancien peuple finois, etc. (1778);

Voy. IDMAN.

GENET, * pharmacien. Analyse des eaux minérales de Segray. Pithiviers, 1776, in-12.

GENET-CAMPAN (Mme). Voy. CAM

PAN.

GÉNEVAUX (l'abbé). * Histoires choisies, ou Livre d'exemples tirés de l'Écriquelques réflexions morales. Paris, Desprez, ture et des auteurs ecclésiastiques, avec 1718. Nouv. édit. (revue et augm. par PACCORI). Paris, le même, 1747, 1758, in-12.

Le nom de Génevaux se trouve à la suite du pri. vilége dans les anciennes éditions; mais les nouvelles sont tout-à-fait anonymes. Barb.

GENÈVE (Cl.-Fr. de), prêtre, attaché à la cour de Victor - Amé II; né à Tho

non.

Abrégé de l'histoire des quatre monarchies et des dignités romaines. Turin, 1716.

- Catalogue historique du vieux et du nouveau Testament et des auteurs célèbres grecque et latine. Turin, 1707. qui ont écrit l'histoire ecclésiastique,

le royaume de Sicile. Turin, 1714.

Recueil historique et géographique sur

Relation du couronnement de Victor Amé II à Palerme, en 1713.

On doit aussi à cet ecclésiastique une carte du diocèse de Genève, publ. en 1720.

GÉNÉVOIS. Procès (le) de Louis XVI, réduit à ses vrais termes. 1792, in-8. GÉNIN (J.-L.), professeur de rhétorique à Paris.

On lui doit les traductions, du grec, des Discours de Flavien et de Libanus (1826), voy. FLAVIEN, et de Lettres de saint Rasile-le-Grand, saint Grégoire

de Nazianze, etc. (1827). Voy. BASILE (S. ).

GENISSET (F.-J.), ex-professeur de seconde au collège de Dôle.

Examen oratoire des Églogues de Virgile, à l'usage des lycées et autres écoles. Paris, Lefort, 1801, in-8 de 320 pag., 4 fr. 50 c., et pap. vél., 8 fr.

GENLIS (Stéphanie - Félicité DUCREST marquise de SILLERY, ex DE SAINT-AUBIN, comtesse de ), et depuis, gouvernante des enfants du duc d'Orléans; l'une des plus fécondes femmes auteurs de ce siècle; née à Champcéri, petit village près d'Autun en Bourgogne, en 1746.

Adèle et Théodore, ou Lettres sur l'éducation, contenant tous les principes relatifs aux trois différents plans d'éducation. Paris, Lambert, 1782, 3 vol. in-8, 12 fr.; et 3 vol. in-12, 7 fr. 50 c.

Réimpr. à Hambourg, en 1783, 3 vol. in-8; à Maestricht, en 1784, 3 vol. in-12; à Paris, en 1785 et 1789, 3 vol. in-8; à Londres, en 1792, et de nouveau à Paris, pour Maradan, 1798, 1802,