*Τῇ τῶν Συνάδον Φρυγίας Σαλουταρίας du Cabinet de France par un capitaine de ma306. ὁ Λύστρων.

400 fr.

E 9. R**** Médaille nouvelle- | venus de Mysie, de Phrygie et d'Aeolide, mais ment découverte et complétement inconnue. dans l'intervalle des temps elle s'abaissa de Unique et très-bel exemplaire au Cabinet de nouveau pendant que sa rivale le Nouveau France. Vu l'extrême importance géographique Ilion (Ilium Novum), ville voisine, commende cette médaille nous en donnons ici le dessin çait à devenir florissante. Son emplacement et fait par M. L. DARDEL d'après l'unique exem- ses prétendues Ruines qu'on a presque de la plaire du Cabinet de France. peine à apercevoir aujourd'hui doivent être le nom de Bunar-Baschi, endroit, où le cécherchées près du village qui porte maintenant lèbre Docteur SCHLIEMANN opère présentement ses fouilles. - Iliacus, adj. le même que chez HORACE; Macer chez OVIDE; amores, TROJANUS, CLASSIS, chez VIRGILE; carmen MARTIAL.; dans SILIUS ITALICUS Synonyme à celui de romanus; ILIǎdes, ae, i. c. Trojanus, OVIDE; Ilias, adis, adj. i. q. trojanus, femina, VIRGILE; musa, OVIDE; Ilius, adj. VIRGILE; Illii i. q. Trojani dans PLAUTE.

Note. Au règne d'Antonin le Pieux et de Philippe Arabe nous reviendrons encore sur ces deux médailles d'Ilistra, et nous ajouterons des notices supplémentaires sur cette ville qui pourront se trouver dans notre riche et abondant répertoire. Aujourd'hui nous ne les avons citées que pour prouver l'existence de cette ville nouvelle et inconnue dans la géographie numismatique.

ILIUM VETUS, ville de Troade.

(Aeolis Septentrionale.)

§ 1. L'emplacement où se trouvait l'antique Iliou des Grecs est impossible à déterminer, car

[Aujourd'hui Ruines auprès du village BUNAR- les indices qu'on trouve dans les poésies d'Ho

BASCHI.]

=

mère ne répondent point à l'aspect général que présente cet endroit aujourd'hui. Cette question Ilium Vetus [cfr. VIBIUS SEQUESTER de Flu- équivoque a été déjà discutée dans l'Antiquité: minibus, 1. c.; SERVIUS ad Virgil. Aeneid. on se perdait dans des conjectures à propos de init.; TITE-LIVE, ll. cc.; Ilion HORAT. III, l'emplacement du Nouveau Ilion aeolien et un od. III, v. 18]; en grec: tò' Ilov HOMER. autre, du même nom, qui se trouvait sur une Iliad. II, v. 113. 288; IV, v. 508; V, hauteur avoisinante. La haute antiquité de ce v. 638-446. 460. 716; VI, v. 433. 512; VII, coin de terre où se trouvait une ville très con21. 443-465; IX, v. 20; XX, v. 30; XXI, sidérable nous est confirmée par les explorations v. 295. 446; XXIV, v. 700; cfr. IDEM. Iliad. de ce sol faites en derniers temps par M. le VI, v. 88. 257. 297. 317; VII, v. 345; XX, Docteur SCHLIEMANN, et par les fouilles, qui v. 52; XXII, v. 172. 383; IDEM. Odyss. VIII, ont amené la trouvaille des objets appartenant v. 494. 504; TZETZ. ad. Lycophr. v. 29; Ilion, à l'art primitif et grossier et qui attestent inalta Urbs OVIDE, 1. c.; Ilios OVIDE; dubitablement une domination étrangère avant mais plus souvent Troja, TITE-LIVE; OVIDE, l'établissement des Grecs. Pour se rendre compte I, 3; 76; ID. II; ID. Trist. V, 10; 4; cfr. Ho- du résultat des fouilles opérées par les soins de RAT. II, Satyr. III, v. 191; Tooía SUIDAS M. le Docteur H. SCHLIEMANN consultez: LEXIKON; EUSÈRE, 1. c.; en russe: Lion'ь a) Archaeologische Forschungen: Ithaka, d. (Tрoa); ville en Troade, au dessous du confluent Peloponnes und Troja, von H. Schliemann. de Scamandre ou Xanthe [avec un port qu'on Leipzig, 1869. Du même auteur: b) Troy appelait Achéen et qui était située à l'embou- | and its remains. A narrative of researches and chure du Simoïs et devait son nom au debarque- | discoveries made on the site of Ilium and on ment des Grecs (Axaiãov) avant le siège de Troie. Cfr. STRABON, XIII, p. 595; PLINE, IV, 12-26 et V, 30 ou 33], sur le bord méridionale du Scamandre, au N. O. de Cocylium, 100 stades à peu près (5 heures) au N. O. de Tenedos, à 3 lieues à l'O. de la mer-Aegée, entre le mont Ida et le promontoire de Sigée. Cette ville fameuse fut bâtie par DARDANUS (av. J. C. 1547), son premier roi, et nommée DARDANIA. Tros, un de ses successeurs, la fit appeler TROIE, et ILUS (av. J. C. 1423) qui|| succéda à Tros, nomma la citadelle ILIUM ou ILION, nom qui fut donné en suite à la ville. Cette ville était assiégée par les Grecs sous la conduite d'AGAMEMNON et détruite après un siège de 10 ans (en 1183 av. J. C.); elle se releva ensuite et reçut des nouveaux habitants

the Trojan plain. Ed. by Ph. Smith. (Avec
cartes, plans, vues et planches représentant plus
de 500 objets antiques découverts dans cette
contrée.) London, 1875. gr.-in-8. [Prix 2 £
2 sh.] c) Troia und seine Ruinen. Rostock,
1875. in-8. [Prix 14mark.] d) Trojanische
Alterthümer. Bericht über die Ausgrabungen
in Troja. Leipzig, 1874. in-8o [Prix 8 fr.] —
e) Atlas trojanischer Alterthümer. Photogra-
phische Abbildungen zu dem Berichte über die
Ausgrabungen in Troja. In-fol! Leipzig, 1874.
Avec 218 planches. En portefeuille. [Prix
72 fr.] f) Il existe de cet ouvrage une édition
française de la même date et du même prix.
En 1869 parut aussi l'autobiographie de M.
SCHLIEMANN qui est fort curieuse et intéres-
sante. Pour ceux qui voudront se rendre compte

AR

du mérite scientifique et de la valeur des ou- | appartenait encore à plusieurs villes et signivrages et des découvertes de M. le Docteur fiait qu'elles étaient libres d'impôts et toutes H. SCHLIEMANN, nous recommandons de parcourir les savantes récensions de ces ouvrages, publiées par un des plus grands maitres de l'Archéologie des temps modernes le Feu Professeur C. B. STARK de l'Univ. de Heidelberg, et insérées dans: Jenaer Litteraturzeitung. 1874. Art. 330, p. 15; et Ibid. An. 1877. n. 44, p. 46, sous le titre: STARK, Neueste Litteratur zur trojanischen Frage. Nous croyons nécessaire d'ajouter que celui, qui, après avoir lu les récensions de M. le Prof. Stark, tenterait à faire une leçon quelconque à ce grand maitre en Archéologie en sera pour ses frais d'érudition.

Histoire. §2. [Prise de Troie. Chronologie de Larcher, d'après Hérodote. An du monde: 2734, av. J. C. 1270.] L'enlèvement d'HÉLÈNE, femme de MÉNÉLAS, roi de Sparte, par Alexandre, appelé vulgairement Paris, fils du roi Priam, alluma la guerre de Troie, à laquelle prirent part tous les princes de la Grèce. La 10-ème année du siège les Grecs firent construire un grand cheval de bois, dans lequel on renferma des troupes. Ils le laissèrent dans leur camp, qu'ils parurent abandonner. Les Troyens, trompés par cette feinte, se jetèrent dans le camp, mirent des roues sous les pieds de cette machine, et faisant une grande brêche à leurs murailles, ils la traînèrent eux-mêmes dans la ville. Mais pendant la nuit, les soldats en sortirent, donnèrent le signal, et Troie fut saccagée et réduite en cendres. [MARBRES DE PAROS. Av. J. C. 1209. Suivant le PERE PETAU, An du monde 2820, av. J. C. 1184. Assyrie SÉMIRAMIS.]

= JEPHTÉ.

§3. Il faut distinguer l'ILIUM VETUS de l'ILIUM NOVUM OU ILIUM RECENS. En numismatique, sans doute, il doit toujours s'agir de la ville nommée ILIUM RECENS [aujourd'hui HISSARDGIK Гиссарджикъ] que les Romains considérèrent comme ayant succédé à l'ancienne Troie, mais qui était réellement située plus près du rivage.

autres contributions. Nous décrirons plus tard
une monnaie d'Alabanda de Carie qui porte:
AΤΕΛΕΙΑΣ ΑΛΑΒΑΝΔΕΩΝ]. Ιλιον
RIAN. Alex. I, p. 34; en russe: Троя, Hовый
Irioн', ville en Troade (Troas), près l'em-
bouchure du fleuve SCAMANDER, à XXX stades
W. (11⁄2 h.) de l'ancienne Troie, à 2 lieues au
N. O. des Ruines de cette dernière, bâtie par
les Grecs après la destruction de Troie. Au dire
de TITE-LIVE, à l'époque du passage par
ALEXANDRE LE GRAND du GRANIQUE (av. J.
C. 334, de Rome 420), ce n'était qu'une simple
bourgade lorsque cet immortel héros s'y rendit
pour faire un sacrifice à la déesse Minerve. Il

y fit des riches présents, l'honora du titre de
ville, et laissa des ordres pour l'agrandir. A
cette époque on respectait la nouvelle Ilion,
parce qu'elle portait le même nom que l'an-
cienne, et que son temple de Minerve, que nous
dans cette ville, tenait lieu de celui de Troie,
voyons figurer sur plusieurs médailles frappées
où l'on avait si longtemps conservé le Palladium,
c'est-à-dire la très-sacrée statue de Pallas ou
Minerve. — LYSIMAQUE compléta les bienfaits
construire autour d'elle un mur qui avait XL
d'Alexandre le Grand pour cette ville en faisant
stades de circonférence.

des Romains (av. J. C. 84, de Rome 670) prit FIMBRIA, général et brûla Ilion, sans épargner même le temple les habitants et fit rétablir la ville, qui, plus de la déesse. SYLLA qui défit Fimbria consola tard, sous la domination Romaine se releva entièrement et devint même florissante. Au dire de SUÉTONE, on soupçonna même JULES-CÉSAR, qui se regardait comme un descendant d'Enée, d'avoir eu un moment le ferme dessin de quitter Rome pour transporter à la NOUVELLE ILION le siège de l'empire. On eut la même crainte sous Auguste. Aujourd'hui cet endroit porte le nom de Troja, Trojahi [Трояки?], et n'est qu'une petite bourgade.

a) SCHLIEMANN, Doct. Heinrich. Voy. tous § 4. Ilium Novum, en grec: 'Ilov, ő vvv eși ses ouvrages que nous avons cités à la page 1060, STRABON, XIII, p. 408; Ilium ITINE-au § 1 de ce volume, dans notre article sur Ilion

RAIRE D'ANTONIN; TITE-LIVE, XXXV, 43;
XXXVII, 9; JUSTIN. XXXI, 8; TACITE,
Annal. II, 54; VI, 12; Ilium Immune
PLINE, V, 30 [le titre IMMUNIS, ATеAHC,

ou Troie.

b) HERCHER'S (R.) Abhandlung über die homerische Ebene von Troja. Berlin, 1876. [Savant et excellent ouvrage que nous recom

c) BRYANT, J., Observations upon,,Lechevalier, descr. of the plain of Troy." Eton. 1795. gr.-in-4, de 49 pages. [Rare.]

d) FORCHHAMMER, P. W., Observations on the topography of Troy. Avec un plan et cartes. [C'est le résultat de ses premières excursions en Troade que l'auteur avait fait en 1837 en compagnie de SPRATT, célèbre voyageur anglais.] Voy. du même auteur: Topographische und physiographische Beschreibung der Ebene von Troja. Frankfurt, 1850. in-4, et une sec. édit. IBID. 1863. Avec une grande carte. FORCHHAMMER a rendu de grandes services à l'Archéologie et contribua beaucoup pendant son séjour à Kiel à propager le goût pour cette science dans tout le Nord de l'Allemagne.

--

h) LECHEVALIER, Voyage dans la Troade. Avec cartes et planches. 2-ème édit. Paris, 1798. gr.-in-8. Atlas in-4. Le même ouvrage traduit en allemand parût sous le titre: Reise nach Troas. Frei bearbeitet von C. G. LENZ. Altenburg, 1800. in-8. Avec 8 pl. et 1 carte. i) MAUDUIT, A. F., Découvertes dans la Troade. Avec 4 cartes et 3 pll. Paris, 1840. gr.-in-4 [Prix 10 fr.]

Du même auteur:

o) RAUCH (Baron Adolph von), voy. son article dans: KÖHNE's (Baron et Commandeur de) Zeitschrift für Numismatik. Berlin, 1842. voy. à la p.. 12: médaille d'Antonin le Pieux.

p) CHOISEUL-GOUFFIER, Voyage pittoresque dans l'Empire Ottoman, en Grèce, dans la Troade, etc. 2-ème édit. p. Hase et Miller. 4 vols. de texte et 2 de planches. Paris, 1842. in-8. Atlas in-fol! [Prix 75 fr.] —

q L. WELZL DE WELLENHEIM (Leopold), Cat. de sa collection. Vienne, 1844. Voy. vol. I, p. 225, n. 5125. médaille de Jules-César. E 3. Vend. 1 fl. 20 kr. [Quoique M. DUMERSAN dans la Descr. des méd. du Cab. de M. Allier de Hauteroche. Paris, 1829. in-4. p. 78, y voit la tête d'Auguste, mais elle est bien celle de Jules-César.]

r) BEGERI (Laur.), Bellum et excidium Troianum ex antiquitatum reliquiis, tabula presertim, quam Raph. Fabrettus edidit, Iliaca delineatum et Commentario illustratum. Berolini et Lipsiae, 1699. in-4 Avec planches et figg. de monnaies.

s) DICTYS Cretensis et Dares Phrygius de bello Trojano, in usum Delphini, cum interpretat. Annae Daceriae. Acc. in hac nova Edit. notae varior. integrae, nec non Jos. Iscanius, mis, historiam illustrantibus, exornavit Lud c. not. Sam. Dresemii, numismatibus et gemSmids. Diss. de Dictye Cretensi praefixit Jac. Perisonius. Amstelodami, 1702. in-8.

t) LINCKII (Matthiae), Exercit. histor. de bello Trojano. Jenae, 1674. [Auctor huius libelli ostendere conatus est, Troiam a Graecis in bello illo, poëtarum fabulis toties decantato, flammis ruinisve non fuisse deletam, ad quam rem tria) Erreurs dans les traductions d'Homère. Pa- bus (fictis et falsis) nummis usus est, quorum ris, 1841. in-4.—b) Réponses aux observations primus Priamum cum Baouléos titulo excritiques de RAOUL-ROCHETTE sur les Décou-hibet, in aversa Troiam; alter Menelaum et vertes dans la Troade“. Paris, 1841. in-4° (de 146 pages).

j) D'ANVILLE, Géographie Ancienne et Historique. Paris, 1823. Voy. Tom. I, p. 247, et les

suivantes.

k) PocockE, R., Beschreibung des Morgenlandes und einiger anderer Länder. Aus dem Englischen von Windheim. Erlangen, 1754--1755. 3 tomes. in-4. Avec cartes et planches.

1) SCHLIE, FR., Die Darstellungen des troischen Sagenkreises auf etruskischen Aschenkisten. Stuttgart, 1868.

m) HÜLLMANN, K. D., Anfänge der griechischen Geschichte. Königsberg, 1814.

ioon est, cum Felicitate, ara et face.] — pugnam, tertius Helenam, quae illic Bao

u) ROQUE, Lettre au sujet d'une médaille latine de Troade. Voy. Mercure de France. Année 1731. Juin, p. 1262-1275.

v) ROTH (Eberhard Rudolph), Exercitatio de bello Troiano, in qua contra omnes fere historicos ostenditur, Troiam in illo bello, quod decennale putatur, minime a Graecis flammis ruinisve fuisse deletam. Jenae, 1674. [Avec les figg. des monnaies de Priam, Menelas et Hélène!]

Monnaies:

n) KOUTORGA [Kуropra], Recherches cri- Auguste. · 1977) ΣΕΒΑΣΤΟΣ. L'Emtiques sur l'histoire de la Grèce pendant la pé-pereur debout en habit de sacrificateur, tenant riode des guerres médiques. Paris, 1861. in-4 dans la main droite le simpulum. B: IAI. Tête (Ouvrage de grand mérite, contenant 168 pages.) de Pallas, à droite. E 3. R'.

30 fr.

MIONNET, Descr. des méd. Gr. T. II, p. 660,
n. 204. E 32
R. F. o. = 15 fr.
Cabinet de France. ROLLIN ET FEUAR-

p. 559, n. 410.

18 fr.

Manque au Cab. de France.

1986) Tête nue d'Auguste, à dr. B: IAI. DENT, Cat. des méd. Gr. (Paris, 1863), Vol. II, Femme debout, à droite, auprès d'un autel? p. 317, n. 4921. Æ 4. Vend. 6 fr.

tenant une statuette de Minerve. Pet. br.
R®.
15 fr. Pas dans Mion-
[Variété.]— Cfr. H. HOFFMANN, Bul-

1978) Tête nue d'Auguste.

B: IAL·
CAT. DE MOU-

....

Mod. 21/4
net.

Apollon debout. Pet. bronze.

-

STIER (Paris, 1872), p. 16, n. 239. Vend. 8 fr. let. pér. Paris, 1864. Empire Romain, n. 124.

- Inédite. ·

........

-

1979).. Tête d'Auguste. B: KAAΛΕΝΤΙΟΣ·ΙΛΙΕΩΝ. Aigle; sous son aile, un caducée. E 5. Ro. 25 fr. VAILLANT, Num. Graeca, 1. c. MIONNET, Descr. des méd. Gr. T. II, p. 660, n. 205. Æ 5. R3.-F. o. Manque au Cabinet

de France.

15 fr.

1988) La même; dans le champ du Revers, KEO. en monogramme. Æ 1. Ra. 20 fr. Inédite et inconnue à Mionnet. Cfr. ROLLIN ET FEUARDENT, Cat. des méd. Gr. (Paris, 1863), mée d'Auguste, à droite. B: IAI. légende écrite | Vol. II, p. 317, no 4923. Æ 1. Belle. Vend. 3 fr. [mais aujourd'hui beaucoup plus cher].

1983) Sans légende. Tête nue d'Auguste, à droite. B: Légende effacée. Victoire debout, à droite, tenant une palme. Æ 21. R'. 25 fr. - Nous la donnons sous la foi de MIONNET, qui la décrit dans son Suppl. T. V, p. 559, n. 408. Æ 212 15 fr. R5. F. o. = - Inconnue dans les ventes. 1984) IAI. Tête casquée de Pallas; dessous: AHMOC. B: Tête nue d'Auguste. E 42 40 fr. SESTINI, Lettere numismat. Continuaz. T. VIII, p. 43, no 18. · MIONNET, Suppl. T. V, p. 559, n. 409. E 4. R. 18 fr. Manque au Cabinet de

Auguste et Caligula.

1989) ΓΑΙΟΣ • ΚΑΙ CAP • ΘΕΟΣ • ΑΥΤΟKPATÓP · CEBACTOI. Têtes affrontées et nues d'Auguste et de Caligula. B:ЄA•PMH. EPA CYNKAHTOCIAI. Pallas debout sur un cippe, entre les têtes de Rome et du Sénat. E 6. R. = 60 fr. GUSSEMÉ, Diccionar. 1. c. MIONNET, Descr. des méd. Gr. T. II, Ꭱ . p. 660, n. 206. 24 fr. CAT. JULES GRÉAU (Paris, 1867), méd. Gr. p. 148, n. 1727. Vend. (lot de 3 p. diff.) 10 fr. 50 c. Manque au Cab. de France.

1990) Variété de la précédente: ПAIOC. KAICAP OЄOC AYTOKPATWP.CЄBACTOI. Têtes affrontées et nues d'Auguste et de Caligula, chacune posée sur un piédouche. B: O¤Ã•P@Mн•IЄP·CYNKAHTOC·IAI. nerve debout sur un cippe, vue de face, et placée entre les têtes en regard de la déesse Rome - R. 80 fr. et du Sénat. MIONNET, Suppl. T. V, p. 559, n. 411. E 6. R5. — F*. 24 fr. CAT. PERICLÈS EXEREUNETÈS, Esq. Londres, 1871, p. 25, n° 202. E 634. Vend. 1 16 sh. [Curt].

Auguste et Claude.

1991) KAAYATOC KAICAP. Tête nue de Claude, à dr. B AYTOKPATNР.☺EOC. Tête radiée d'Auguste, à dr.; devant, Minerve 60 fr. MIONNET, Iliade debout. 6. R'. ÆE 6. R5. Suppl. T. V, p. 559, n. 412. 24 fr. DUMERSAN, Descr. du Cab. de Feu M. ALLIER DE HAUTEROCHE. Paris, Manque au Cabinet 1829. in-4. voy. p. 78. de France.

- F*.