30 Lire. = 6 fr. fam. di Roma (Napoli, 1843) p. 119, n. 25. 2 fr. - = p. 172, no 20. RICCIO (édit. de 1843) p. 192, = 3 fr. 4 fr. H. MIONNET, méd. Rom. T. 1. p. 45. CAT. FONTANA (Paris, 1860) p. 23, no 424. Vend. 5 fr. 50 c. CAT. GOSSELLIN (Paris, 1864) p. 17, no 217. Vend. 4 fr. 90c. RICCIO, Catalogo (Napoli, 1855) p. 186, no 59. - RICCIO, Mon. delle Ant. fam. di Roma (Napoli, 1843) p. 120, no 27. Pl. XXVI, no 19. R. 1 piastra. H. HOFFMANN (Bull. pér.) 1862, Livr. no 4, p. 68, no 423. Vend. C2. 10 fr. CAT. JUL. SAMBON (Naples, s. a.) p. 36, n 517. Vend. C'. 10 fr. 212) Tête casquée de Mars, à dr. avec une Note. Le plectrum servait à frapper des barbe naissante. B: Même légende qu'au n cordes d'un instrument pour en tirer des sons. précédent. Deux trompettes gauloises (carnyx) Suivant Pollux, dans les temps anciens, ce en en sautoir. Dans le champ, deux boucliers. R. fut d'abord que la patte ou une corne de chèvre = 8 fr. COHEN, méd. Cons. p. 272 (f. Po- qu'on employait pour cet usage, mais en suite stumia), Pl. XXXV, no 9. = 4 fr. MION- on en fit de matières et de formes différentes. A NET, méd. Rom. T. 1. p. 45. = 3 fr. CAT. Paris, au Cab. de la Bibliothèque Impériale on GREAU (Paris, 1869) n. 385. Vend. 2 fr. conserve un plectrum d'ivoire. Consultez à ce CAT. FONTANA (Paris, 1860), p. 16, n. 259. sujet: FILL. BUONARROTTI. Osservazioni istoVend. 7 fr. - H. HOFFMANN (Bull. pér.) 1862, riche sopra alcuni Medaglioni antichi. Roma. Livr. n. 4, p. 66, no 384. Vend. C1. = 3 fr. 1698. in-4. p. 368, où le plectrum a l'air C2. 2 fr. W. S. LINCOLN CAT. Londr. d'une feuille en fer de flèche légèrement re1861, p. 13, no 257. Vend. 4 sh. CAT. COM- Courbée. Le sarcophage de Tyrannia conMARMOND (Paris, 1845, All. des Arts) p. 10, servé à Arles, que L. MILLIN a publié dans ses n° 140. Vend. 5 fr. - ROL. ET F. CAT. R. no 670. „Monuments antiques inédits", fait voir Vend. 2, 3, 4, 5 et 8 fr. RICCIO, Cat. (Na- comment on fixait le plectrum sur la lyre poli, 1855), p. 172, no 21. (f. Postumia). quand on n'en jouait pas. Voy. encore: LES RICCIO, Mon. delle Ant. fam. di Roma (Napoli, OEUVRES DE CAYLUS, Tom. VII. Pl. 82, f. 3. 1843) p. 121, no 32. Pl XXVI, no 24. C. PITTURE D'ERCOLANO, T. 1. Pl. VIII et ibid. T. II. Pl. VI. 4 carlini. 213) A POSTVMIVS COS. Tête nue d'Aulus Postumius Albus (Regillensis), à dr. B: ALBINVS (quelquefois: ALBINV) BRVTIF. en deux lignes dans une couronne d'épis. R3. 10 fr. COHEN, méd. Cons. p. 272. (f. Postumia), Pl. XXXV, no 10. 6 fr. BROKE CAT. Londr. 1848, p. 118, lot n 532. Vend. 1 sh. [Cash]. CAT. W. CHAFFERS JUN. Londr. 1853, p. 12, no 258 Vend. 7 sh. Doni (Jo. B.), auteur italien, dans un ouvrage intitulé: ,,LYRA BARBERINA" a recueilli les différentes figures de la lyre. GORI, éditeur de cet ouvrage, y a rassemblé en 2 grs. vol., après la mort de Doni, tout ce que celui-ci avait écrit sur la musique des Anciens. C'est un ouvrage qui a encore jusqu'aujourd'hui beaucoup d'intérêt. 215) Tête laurée d'Apollon, à dr. sans légende. B: Q CAEPIO BRVTVS. IMP. Trophée entre deux captifs. R'. = 80 fr. COHEN, méd. Cons. p. 297 (f. Servilia) Pl. - XXXVIII, no 8. = 100 fr. - CAT. GOSSELLIN Note. Laucius Sestius était l'an de R. 709, (Paris, 1864), p. 16, no 214. Vend. 23 fr. 10 c. questeur de M. J. Brutus. Après la chute de ce dernier qu'il suivit en Asie en qualité de MIONNET, méd. Rom. T. 1. p. 65, (f. Ser-proquesteur, titre, que nous prouve cette médaille, vilia) = 6 fr. ROL. ET. F. CAT. R. n. 717. il retourna depuis à Rome près d'Auguste quí (Fruste) 50 fr. RICCIO, Catalogo (Napoli, B. Civ. III, p. 540, 541). le gracia et devint son ami intime (voy. Appian. 1855) p. 127, n° 129, (l'attribue à la fam. Junia) et dit que cette rarissime pièce a été acquise par M. Oct. Fontana, de la trouvaille de Puglia. Cependant elle n'est pas citée dans le Cat. Fontana, et, par conséquent, ne figurait pas à la vente de sa collection. Note. Riccio, Mon. delle Ant. fam. di Roma (Napoli, 1843) p. 211, no 17. Pl. XLIV, no 13, décrit aussi une pièce analogue, avec cette diffé rence: = 218) L.SESTI.PROQ. Même tête. B: Q CAEPIO.BRVTVS.PRO COS. Victoire debout, à dr. tenant une palme et une couronne. Quinaire. R'. 100 fr. COHEN, Cons. p. 300, (f. Sestia) Pl. XXXVIII, no 2. 80 fr. PEMBROKE CAT. Londr. 1848, p. 119, lot 539. Vend. 1 13 sh. [Cureton]. MIONNET, méd. Rom. T. 1. p. 65. 20 fr. (Musée de Vienne). ROL. ET F. CAT. R. CAT. JUL. SAM 216) M.SERVILIVS.LEG. (très souvent cette légende manque, d'après l'affirmation de RICCIO n. 720. Vend. 30 et 80 fr. lui-même). Tête laurée de la Liberté (qu'on BON (Naples, s. a.) p. 36, n. 519. Vend. C'. 65 fr. prend souvent pour celle d'Apollon). BQf. Sestia, p. 186, n. 5, Pl. ÏV, n. 23: RICCIO, Catalogo (Napoli, 1855) CAEPIO-BRVTVS IMP. Trophée entre deux figures assises qui pleurent. RR. 10 pi astre. D'AILLY. nario rarissimo". » QuiRICCIO, (édit. de 1843) CAB. DE RICCIO. CAB. DU BARON P. 212, no 4. Pl. LXIV, no 2. RR. La même médaille en or est 10 piPublié pour la décrite plus haut, à notre no 198. La note qui prémière fois par Liebe, d'après les indices d'Eckhel. CAB. BORGHESI le possédait aussi. d'exacti suit après le n. 198 nous prouve VERCHON (Cologne, 1863) p. 10, n. 235. Vend. 1 Rth. 12 Sgr. méd. suspecte. MIONNET, méd. Rom. T. 1. p. 65. 12 fr. CAT. JUL. SAMBON (Naples, s. a.) p. 36, n. 518. Fl. d. c. (f. Sestia). Vend. 25 fr. RICCIO, Catalogo (Napoli, 1855) p. 186, no 60 (f. Servilia). RICCIO, Mon. delle Ant. fam. di Roma (Napoli, 1843) f. Junia, p. 120, n. 28. Pl. XXVI, n° 20. RR. 4 piastre. CAT. CAMPANA (Londr. 1846) p. 185, lot no 1475. Vend. 1 £. [Curt]. f. Sestia. Remarque. Dans le catalogue de Riccio (Napoli, 1855) que je viens de citer, la même pièce est attribuée à la fam. Servilia; il est à désirer qu'on mette fin à des contradictions pareilles: c'est profaner les dates chronologiques que de mélanger les monnaies frappées par des triumvirs monétaires des familles, qui ne sont pas contemporaines l'une à l'autre. En 1848, à la vente de la collection PEMBROKE, on assurait que l'exemplaire de ce dernier était le second connu. Je l'ai marqué 100 fr. parce que je suis convaincu qu'il vaut cela, car il manque presque partout, à l'excéption du Musée de Vienne. 30 fr. 219) Même légende. Chaise curule avec une haste; dessous, le modius. B: Même légende. Trépied entre le simpule et l'apex. R. 35 fr. Pl. XXXVIII, no 3. COHEN, Cons. p. 300, (f. Sestia) Quinaire. ROL. ET F. CAT. R. n. 720 bis. Vend. 30 fr. Quinaire.MIONNET, méd. Rom. T. 1. p. 65. 15 fr. CAT. COMMARMOND (Paris, 1845, All. des Arts) p. 15, n. 222. Vend. 16 fr. H. HOFFMANN (Bull. pér.) 1862, Livr. no 4, p. 68, n. 426. Vend. C1. 35 fr. САТ. (Prix de vente manque). FONTANA (Paris, 1860) p. 24, n. 429. Quinaire. RICCIO, Catalogo Napoli, 1855) p. 186, n. 6: altro,,quinario, Ant. fam. di Roma (Napoli, 1843) p. 212, meno importante“. RICCIO, Mon. delle f. Sestia, no 2. Pl. XLIV, no 2. RR. · 219 bis) L.PLAET CEST. Tête voilée de femme, le modius sur la tête. B: BRVT IMP. Une hache et le simpulum. R. 15 fr. COHEN, méd. Cons. (f. Plaetoria) no 10. Pensez que 20 fr. ROL. ET F. CAT. ROM. n. 622 bis. - CAT. L. WELzl de WellEN HEIM (Vienne, 1844) T. II, p. 59, no 9413. cette même pièce est attribuée encore par le Vend. 20 fr. Note. Le modius est un espèce de boisseau ou panier qu'on voit sur la tête de plusieurs 92 e) Savaron, Notes sur Sidonius Apollinaris. ailé. B: BRVTVS IMP. Caducée ailé, globe et divinités. Quelques savants pensent que le modius n'est que le symbole de l'abondance. Sérapis est toujours figuré ayant le modius sur la tête. Macrobe dit que c'est parce qu'il a inventé l'agriculture. Le génie tutélaire sur les médailles de beaucoup de villes est représenté sous les traits d'une femme ayant un modius sur la tête. Ainsi on le voit sur les médailles d'Ephèse, de Mytilène, de Tyr, d'Antioche en Pisidie, de Corinthe, de Magnésie sur le Maeandre, de Sardes de Smyrne etc. Diane, sur les médailles d'Ephèse a également le modius sur la tête. Némésis (sur les méd. de Laodicée en Syrie), Isis, la Fortune, la déesse Roma, Astarte (sur les méd. des rois du Bosphore), Janus et beaucoup d'autres divinités, sont quelquefois sur les médailles, représentées avec le modius. Sur un denier de la fam. Livineia, on voit un modius rempli de blé, placé entre deux épis symbole de la magistrature de l'Aedilité, chargée d'approvisionner la ville de Rome. Je pense aussi que sous les traits de la femme voilée et coiffée du modius qu'on voit sur la dernière médaille que je viens de décrire on Médailles grecques. pourrait reconnaitre la déesse Annona, comme signe de l'Abondance et de la Fertilité? d'au-l als Villes: 1232J (FIS tant plus que sur les médailles de plusieurs em-2V98.0 pereurs, entr'autres de Titus, de Trajan, d'Ha- Or. drien, d'Antonin le Pieux, etc. on voit un mo- Brutus marchant à g, suivi de deux licteurs; Cossea (Thraciae): 222) KOMON, dius rempli d'épis, placé aux pieds d'une femme dans le champ quelquefois le monogramme qui n'est autre que la deésse Annona. trouve ensuite ce même type sur les médailles : Aigle éployé, à g., sur un sceptre, tenant On LB, qu'on a pris pour celui de Lucius Brutus. d'Afrique et d'Alexandrie en Egypte, frappées une couronne dans ses serres. sous Hadrien. =40 fr. COHEN, méd. Cons. p. 175. Vend. 14 sh. [Dantziger]. 40 fr. PEMBROKE CAT. Londr. 1848, p. 114, n. 507. COMBE CAT. Londr. 1855, p. 69, n. 734. Vend. C. W. Los19 sh. [Chaffers]. W.S. LINCOLN CAT. ROL. ET F. CAT. R. n. 787.4 et 6 fr. Londr. 1861, p. 7, n. 125. Vend. 25 sh. H. HOFFMANN (Bull. pér.) 1862, Livr. n. 4, 157. Vend. 16 sh. [Ford]. CAT. C. G. HUBER, Londr. 1862, p. 15, n p. 71, n. 472. Vend. C'.. 8 fr. CAT. GOSCAT. BELLET SELLIN, (Paris, 1864), p. 17, lot n° 218. Vend. Vend. 32 fr. MIONNET, Descrip. des méd. DE TAVERNOST, (Paris, 1870), p. 3, n. 21. 3 fr. 35 c.- CAT. FONTANA (Paris, 1860) Gr. T. 1. p. 97 et Suppl. T. II, p. 277, n. 446. p. 26, n. 470. Vend. 5 fr. MIONNET, méd. Rom. T. 1. p. 72. 3 fr. RICCIO, Catalogo Vend. 40 et 45 fr. 48 fr. ROL. ET F. CAT. GR. n. 2215. (Napoli, 1855) p. 201, nos 92, 93. Mon. delle Ant. fam. di Roma (Napoli, 1843) (Cologne. 1862), p. VII, no 295. Vend. 8 Rth. NEUMANN, Pop. et Reg. num. vet. T. II, p. 128 et suiv.-CAT. F. KOCH p. 120, no 34. Pl. XXVI, n. 26, R. 2 pi- 1 Sgr. CAT. DE LA COLL. CAPPE (rédigé par Vend. 5 Rth. T. O. Weigel), Leipzig, 1860, p. 11, n. 183. CAT. L. WELZL DE WELLENVend. 12 fl. 15 kr. HEIM (Vienne, 1844) T. 1. p. 66, n. 1437. CAT. KNOBELSDORF Ouvrages à consulter (Berlin, 1839, in 8°) p. 11, attribue cette mémentatio de personis, vulgò larvis seu mascheris. daille à la ville de Cosae en Etrurie, et l'apFrancof. et Wittemb. 1723. gr. in-40. las Bondin, Discours sur les masques et les ha d'or. b) Nico-précie 48 fr. - Poids 127/10 grs. bits de théâtre des anciens. Tom. IV. p. 132 des Mém. de l'Acad. des Inscrip. et Belles-Lettc) Mercure Galant, Tome XIV, p. 234, traité sur l'origine de Masques, par un Anon. d) Boettiger, sa dissertation, intitulée:,,de Personis scenicis vulgo larvis." Vimariae, 1794. in-40. astre. Remarque. Le masque de Pan, qu'on voit au Droit de cette médaille, doit, il me semble, faire allusion aux jeux que Caius Vibius Pansa fit célébrer (en honneur de Brutus?) pendant qu'il était édile-curule. sur les masques: a) Chr. Henr. de Berger, Com res. Moneta castrensis. Statère ment inadmissible pour des raisons fort simples: 2o On les trouve au contraire en masse dans la Basse Hongrie, en Bessarabie et dans la Transylvanie. 3. On ne connait point de médailles étrusques en or; et l'on sait combien l'on en possède de ce métal, frappées dans la Macédoine et dans la Thrace, contrées si célèbres d'ailleurs par leurs mines d'or et d'argent. 223) Même pièce, devant les figures XP (ou d'après RICCIO BR. initiales du nom BRUTUS) en monogramme. (Voy. MIONNET, monogr. n 1233 et 1234). Ꭱ. 60 fr. CAT. THOMAS, Londr. 1844, p. 116, n. 852. Vend. 1 C. W. LOSCOMBE CAT. Londr. 4 sh. [Curt]. 1855, p. 69, no 735. Vend. 1 £ 13 sh. [Webster]. ROL. ET. F. CAT. GR. n. 2216. Vend. 40 fr. MIONNET, Méd. Gr. Suppl. T. II, p. 276, n. 445. 48 fr. RICCIO, Catalogo (Napoli, 1855), p. 128, n. 150. CAT. L. WELZL DE WELLENHEIM (Vienne, 1844) T. 1. p. 66, n. 1436. Vend. 12 fl. CAT. DE LA COLL. CAPPE rédigé par T. O. Weigel) Leipzig, 1860, p. 11, n. 182. Vend. 8 Rth. 15 Sgr. (ce dernier persiste de l'attribuer à la ville de Cosae en Etrurie).-CAT. DE Mme MERTENS-SCHAAFFHAUSEN (Cologne, 1860) p. 2, n. 55 (l'attribue aussi à la ville de Cosae en Etrurie). Vend. 8 Rth. 20 Sgr. MUSÉE HUNTER, p. 112, n. 1. ECKHEL (Doctr. num. vet.) 1. c. GUSSEME, Dic. T. II, p. 384. Poids 128/10 grs. Note. Ces deux pièces ont dû être frappées par ordre de Marcus Junius Brutus, qui, selon le témoignage d'Appien (Appian. Civil. L. IV, p. 633) à son passage par la Macédoine se servit des trésors que Polémocratia reine de Thrace lui avait mis en dépôt pour en faire de la monnaie. Consultez à ce sujet: a) RATHGEBER, Trakische Münzen des Herzogl. Münzcab. zu Gotha. b LEITZMANN, Numismat. Zeitung. 1838, Nos 4-20.- ID. 1839, Nos 1-11. - c) Bull. del'Institut. di Corresp. archeol. An. 1870. p. 193-201 (article de Mr. le Dr. J. FRIEDLÄNDER, intitulé: „Medaglie Macedoniche di Marco Bruto."); Roma. 1870. Avec 6 fig. en bois. WACHTER, Archaeologia nummaria, p. 104. — RASCHE, J. CHR. Lex. univ. reinum. T. 1. pars post. p. 1044, a aussi soutenu la fausse attribution des anciens auteurs de ces pièces à la ville de Cosae en Etrurie. Petit bronze. Le Feu Chev. GENNARO RICCIO, dans son Catalogue, imprimé à Naples en 1855, à la page 128, n. 151, cite un pet. br. qu'il attribue à Brutus: 224) Tête d'Hercule jeune couverte de la peau de lion. BQ.CEP. Massue et autres lettres peu distinctes. Mr. FEUARDENT père, dans son Cat. de méd. Grecques. Paris, 1862, p. 299, au n. 3176 bis, nous fait connaître une médaille de Nicopolis en Epire, sur laquelle il croit voir la tête de Brutus: 225) Tête nue et barbue, à g. (peut-être de Brutus?) B: [I]EPA NIKOПOAIE. Dauphin et trident en sautoir. Æ 4. -- Inédite. fr. 20 Comp. a) MIONNET, Descr. des méd. Gr. Suppl. T. III. 374. 100. CAT. L. WELZL DE WELLENHEIM (Vienne, 1844) T. 1. p. 139, n. 3329, mentionne une pièce analogue qu'il attribue à Auguste. Note. Il existe encore des médailles en bronze de Brutus frappées à Dim en Macédoine, l'an 42 av. J. C., mais malheureusement, ces quand il fit le voyage d'Athènes en Thessalie, pièces, d'une rareté suprême, n'ont pas été jusqu' à présent soigneusement étudiées. tent au Droit la légende: -- Elles por 226) PRINCIPI FELIX. (colonia) autour de la tête de Brutus, et au B: Une charrue attelée de deux boeufs, avec la lég.: VE (en monogr.) TER. (en monogr.) I-VIR-COLON. IVL. Musées: de Madrid et de Turin. Autrefois, COLL. DE MR. LE Cte LÉON PÉROWSKI, à St. Pétersbourg. FLOREZ attribuait cette médaille à la colonie JULIA BÆTICA en Espagne; MIONNET, malgré les indices d'Eckhel, soutint l'attribution de Florez, et SESTINI la déclara fausse et faite d'après une médaille de Parium. Junie, soeur de Brutus, etait femme de son collégue Caius Cassius Longinus. Ses médailles sont inconnues. Je retrouve cependant une note manuscrite de l'illustre numismatiste JOACHIM LELEWEL (qui me la donna personnellement à voir reconnaître les traits de Junie sous la tête voiBruxelles, en 1857) d'après laquelle il croît poulée de la Liberté qui figure sur les médailles d'or et les deniers de C. Cassius Longinus, décrits ci dessus aux nos 229 et 232, mais ce n'est qu'une supposition de la part de l'illustre savant, qui, comme on le sait, par la douceur et l'extrême aimabilité de son caractère, ne refusait jamais à ceux qui avaient le bonheur de l'approcher de leur communiquer ses idées et ses aperçus pour éclaircir toutes sortes de problèmes scientifiques. Mr. J. C. DE JONGE dans sa ,,Notice sur le cab. des méd. et pierres gravées de Sa Maj. le Roi des Pays-bas", imprim. à la Haye. 1823. in-8, p. 168, n. 10, cite une intaille antique sur onyx représentant la tête barbue et en profil de M. Junius Brutus. Voy. aussi, à ce sujet: Planches de Thoms, Tab. II, n. 9. Mr. M. CHABOUILLET dans son Catal. des pierres gravées du Cab. de France (Paris, 1858) à la page 276, n. 2111, cite une intaille en améthyste (H. 15 mill. L. 12 mill.) représentant le buste en profil de Brutus l'ancien, à g., la tête nue, barbue. Cette admirable intaille dont le travail rapelle le faire de Dioscoride a été rapportée de Syrie en 1848, par M. Guys, consul de France, à Beyrout. Aujourd'hui, elle est au Cabinet de France. Graveurs sur pierres fines: BIEHLER, über Gemmenk. Wien, 1860, p. 146, no 92. (V classe). c) Aspasius, graveur sur pierres fines. On a de lui: a) Tête de Jun. Brutus, signée: ACПACIOY. Souf. de Stosch. RASPE, n. 10652. d) Cneius ou Gneius, gr. s. p. f. Signait: NAIOC. On a de lui: a) une tête de Brutus, en prof. corn. int. appart. au Chev. Azara. LIPPERT, II, p. 266; RASPE, no 10649. e) Pamphile, grav. s. p. f. Soufre de Stosch, sign.: ПАмIAОY. RASPE, n. 10654: -- Tête de Junius Brutus. a) En 1852, l'auteur de ce Dictionnaire a vu dans la collection du Feu Prince MICHEL OBоLENSKY, (Directeur de l'Archive Principal du f) RASPE, n. 1062, cite encore une tête de Min. des Aff. Etrang.) à Moscou, une magni- | Marcus Junius Brutus, sardoine intail. signée: fique intaille en jaspe rouge, représentant la CWCOCN. (Sosthènes)? Coll. de lord Aldtête de M. J. BRUTUS, à dr. et signée: AгO-borough. ΡΑΝΔΡΟΥ ΕΠΟΕΙ. nom de graveur inédit. b) Le Musée de Berlin possède une intaille de J. Brutus en crystal de roche. Voy. T. Note. En mentionnant ici ces 4 graveurs sur pierres fines je ne puis affirmer s'ils étaient tous contemporains de M. Junius Brutus, - - quoique cependant ils se sont bien occupés de lui. — CAIUS CASSIUS LONGINUS. Amiral de Pompée, s'attache ensuite à Jules-César, qui lui pardonna et le mit fort en avant dans ses bonnes graces en le faisant préteur de Rome. Cassius, pour toute reconnaisance, devint un des principaux conjurés, qui otèrent la vie à Jules-César, l'an 44 av. J. C. Défait à Philippi, par Marc-Antoine il se fait donner la mort par un de ses affranchis l'an 42 av. J. C. — L'apothéose après sa mort ne lui a pas été accordée. Monnaies: An 43 ou 42 av. J. C. Or. 227) C-CASSEI (ou CASSI) IMP. Tête laurée de la Liberté, à dr. (d'après les anciens auteurs, mais plus juste, celle -- - Note. Je pense qu' au Droit de cette médaille il faudrait voir plutôt la tête d'Apollon que celle de la Liberté, car, en conséquence de cette remarque, Eckhel (Doctr. num. vet.) Vol. V, p. 311, en décrivant cette pièce dit:,,Caput suit après notre no 198). muliebre laureatum“. (Voy. encore la note qui 228) M·AQVINVS·LEG·LIBERTAS. Tête d'Apollon). BM.SERVILIVS LEG. Acro-diadémée de la Liberté, à dr. BC.CASSI⚫IMP. stolium. R'. = 500 fr. COHEN, méd. Cons. (ou PR.COS.). Trépied avec la cortine et deux p. 83 (f. Cassia) Pl. XI, no 12. 200 fr. branches de laurier. R. 650 fr. COHEN, CAT. PEMBROKE, Londr. 1848, p. 81, no 352. méd. Cons. p. 83. (f. Cassia) Pl. XI, no 10. Vend. 13 15 sh. [Cureton]. PEMBROKE 450 fr. R. ADDISON CAT. Londr. 1855, p. PLATES, p. 1, t. 7. C. W. LOSCOMBE CAT. 59, n. 711. Vend. 10 £. PEMBROKE CAT. Londr. 1855, p. 69, no 736. (f. Servilia). Vend. Londr. 1848, p. 81, no 353. Vend. 12 £. [Cure4 £. [Curt]. ROL. ET F. CAT. R. n. 334. ton]. ROL. ET F. CAT. R. n. 335. Vend. 450 Vend. 500 fr. ECKHEL (Doctr. Num. Vet.) et 600 fr. MIONNET, méd. Rom. T. 1. p. 25 Vol. V, p. 311. CAT. FONTANA (Paris, 1860) (f. Caecilia) 200 fr. CAT. D'ENNERY p. 23, (f. Servilia) exempl. avec C.CASSI (Paris, 1788) p. 133, nos 83 et 84. PEMIMP. n. 417. Vend. 275 fr. MORELL. THES. BROKE PLATES, p. 1, t. 8. ECKHEL (Doctr. 1734. in-f, tab. II, fig. 2. MIONNET, méd. num. vet.) Vol. V, p. 155. = f. Caecilia. Rom. T. 1. (f. Servilia) p. 65. 200 fr. MORELL. THES. 1734, in-f., tab. II, fig. 5 et 6. CAT. D'ENNERY (Paris, 1788) p. 133, no 86. - = L'exempl. qui figure dans le THES. MORELL. RICCIO, Catalogo (Napoli, 1855) p. 62 (f. au lieu de PRO COS. porte le titre IMP.). Cassia) n. 39: „In oro rara assai.“ IBID. RICCIO, Catalogo (Napoli, 1855), p. 53, n. p. 185, n. 58 (f. Servilia!): „Moneta di somma 78. Pl. 1, no 9 (f. Caecilia). RICCIO, Mon. rarità." RICCIO, Mon. delle Ant. fam. di d. Ant. f. di Roma (Napoli, 1843) p. 50, no 18. Roma, (Napoli, 1843) p. 211, no 18. (f. Servilia), Pl. XLIV, no 14. RRRR. 20 piastre. IBID. p. 50, n. 14 (f. Cassia), Pl. XÌI, n. 10. même prix. - Poids 124/10 grs. == = = 30 f. Cassia. Pl. XII, no 13. RRRR. piastre. Cab. de France. Musée des Médicis à Florence, même exempl., seulement avec la légende: C-CASSI PRO.COS. |