Soit donc lorfque z = 90°, ƒX dz fin. z=A'. SXdz cof. z= B'. SY dz(1-cof. z) = D'. Et on mettra à part ces quantités pour en faire ufage: en tems & lieu.. 27. De plus on fera depuis A jufqu'en K, 94 = P^. 20 R'.. 28. Par ces valeurs de P', Q', R', V', & par ·les valeurs de X & de Y trouvées ci-deffus, on calculera la valeur algébrique des aires XP'dz fin. z,SXQ'dz cof.z, fRYdz,Y P'dz ( 1 - cof. z),ƒX Qʻdz lin. z, JYVdz, en fuppofant ces aires = a, lorsque z=0. Ces aires fe trouveront toujours, ou par des intégrales éxactes, ou par des arcs de cercle, ou par des Logarith mes; il faudra avoir recours pour cela aux formules du §. XXXIII, en substituant, selon qu'il paroîtra plus commode, dans les différentielles à intégrer, ou lieu de x, ou 29. 2 a I + col.z au Ensuite on supposera que lorfque z =.90°, on ait Et on mettra à part chacune de ces quantités, pour en faire ufage en tems & lieu. 30. On fe fouviendra que pour Jupiter 3021 J I S 1067 ; & on fera le calcul de toutes les quantités fufdites pour l'action de chacune des deux Planètes féparément; mais pour abréger ce calcul le plus qu'il fera poffible, on aura foin; 1°. de mettre à part les fractions qui doivent multiplier tous les ter J S mes dans chacun de ces calculs. 2°. Quand on aura trouvé l'expreffion algébrique en x de chacune de ces quantités, de faire dans chacune x=2a, pour avoir les valeurs arithmétiques répondantes à z= 90°. 3°. De mettre à part les valeurs des conftantes, comme 4 a4 हुउ 32 cof. 2 A 32 fin. z. A &c. qui multi plient chacune de ces quantités, afin de ne pas les calculer deux fois. 31. Depuis le point Koù z = 90°. jufqu'au point C où SC la diftance moyenne de Jupiter, il faut faireun autre calcul. Soit à cette distance moyenne, & on aura l'angle ASC que j'appelle, par l'équation fuivante; 32. Ainfi depuis le point où z= 90°, jufqu'à celui où z=∞, on calculera d'abord, Les pofitions de la Planète pour chaque tems £; ce qui donnera les & & les C, c'est-à-dire, les distances de la Planète au Soleil, rapportées fur l'orbite de la Comète, & les distances des lieux de la Planète à ceux de la Comète, aussi rapportées fur l'orbite de la Comète ; ces diftances ou élongations fe compteront toujours de la Planète à la Comète, en suivant le fens felon lequel la Comète fe meut. On aura auffi les diftances réelles de la Planète au Soleil; qu'on nommera '. 33. Enfin on connoîtra les distances réelles de la Planète à la Comète, l'on nommera k. , que On cherchera enfuite de degré en degré les quantités J. x2 a2 & cof. C 1.x3 a2 Jx2 a2 Ecof.C S.p.ka 34. Dans ce calcul on aura encore foin, comme dans les précédens; 1o. de mettre à part la quantité chaque. Planète perturbatrice, ou les fractions I 3021 P & p. 0 J pour S & 10670 I ; 2°.de mettre auffi à part les quantités conftantes. ou leurs Logarithmes, afin de ne pas les calculer plufieurs fois ; & de ne les multiplier par les variables, ou plutôt de ne leur donner leur valeur arithmétique, qu'à la fin de l'opération dont on parlera. dans les n°. 35 & 36. qui fuivent. 35. Ces précautions prifes, on cherchera par les qua-dratures, fuivant les méthodes connues des Géome-tres, & expliquées ci-dessus §. XXXV, les valeurs de SX'dz fin. z depuis le point où z=90°. jufqu'à celui où z. On cherchera de même les valeurs de X' dz cof. de Y'dz, de Y'dz (1 そっ cof. z), & de fr'dz fin. z; on obfervera que ces valeurs foient = o lorfque z = 90°. 36. Soit donc lorsque z=wy fX' dz fin. z |