Oeuvres de P. Corneille: avec les notes de tous les commentateurs ...Chez Lèfevre, libraire, rue de L'Éperon, No.6., 1824 |
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Pagina 19
... seul bruit de mon nom renverse les murailles , Défait les escadrons , et gagne les batailles . Mon courage invaincu contre les empereurs N'arme que la moitié de ses moindres fureurs ; D'un seul commandement que je fais aux trois Parques ...
... seul bruit de mon nom renverse les murailles , Défait les escadrons , et gagne les batailles . Mon courage invaincu contre les empereurs N'arme que la moitié de ses moindres fureurs ; D'un seul commandement que je fais aux trois Parques ...
Pagina 29
... seul je manque un peu de foi . Que vous ayez quitté des princesses pour moi ! Que vous leur refusiez un cœur dont je dispose 2 ! MATAMORE , montrant Clindor . Je crois que la Montagne en saura quelque chose . Viens çà . Lorsqu'en la ...
... seul je manque un peu de foi . Que vous ayez quitté des princesses pour moi ! Que vous leur refusiez un cœur dont je dispose 2 ! MATAMORE , montrant Clindor . Je crois que la Montagne en saura quelque chose . Viens çà . Lorsqu'en la ...
Pagina 47
... seul . Le souverain poltron , à qui , pour faire peur , Il ne faut qu'une feuille , une ombre , une vapeur ! Un vieillard le maltraite , il fuit pour une fille , Et tremble à tous moments de crainte qu'on l'étrille . Lyse , que ton ...
... seul . Le souverain poltron , à qui , pour faire peur , Il ne faut qu'une feuille , une ombre , une vapeur ! Un vieillard le maltraite , il fuit pour une fille , Et tremble à tous moments de crainte qu'on l'étrille . Lyse , que ton ...
Pagina 55
... seul enfin j'aime à voir la lumière . Un rival par mon père attaque en vain ma foi , Votre amour seul a droit de triompher de moi : Des discours de tous deux je suis persécutée ; Mais pour vous je me plais à me voir maltraitée , Et des ...
... seul enfin j'aime à voir la lumière . Un rival par mon père attaque en vain ma foi , Votre amour seul a droit de triompher de moi : Des discours de tous deux je suis persécutée ; Mais pour vous je me plais à me voir maltraitée , Et des ...
Pagina 57
... seul coup de revers , Ou te jeter si haut au - dessus des éclairs , Que tu sois dévoré des feux élémentaires . Choisis donc promptement , et pense à tes affaires2 . CLINDOR . Vous - même choisissez . MATAMORE . Quel choix proposes - tu ...
... seul coup de revers , Ou te jeter si haut au - dessus des éclairs , Que tu sois dévoré des feux élémentaires . Choisis donc promptement , et pense à tes affaires2 . CLINDOR . Vous - même choisissez . MATAMORE . Quel choix proposes - tu ...
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Oeuvres de P. Corneille: avec les notes de tous les commentateurs ... Pierre Corneille Visualizzazione completa - 1824 |
Parole e frasi comuni
ACTE ADRASTE aime Albe ALCANDRE amant amour ARIAS Aristote assez avoit beau beautés bras Camille Castille charmes cher Chimène chose ciel CLINDOR cœur colère combat comédie comte Corneille coup courage crime CURIACE d'Horace déja desirs devoir DIEGUE dieux digne dire discours dois doit don Diégue don Sanche douleur doux duumviri ELVIRE ennemis époux ÉRASTE esprit étoit femme FERNAND flamme Florilame foible foiblesse frère GÉRONTE gloire grace honneur honte hymen ISABELLE j'ai j'en joie JULIE l'amour l'honneur L'INFANTE laisse larmes lauriers LÉONOR LYSE m'en Madame main maîtresse malheur marquis de Vauvenargues MATAMORE Maures mort mourir noble parceque parler paroître passion père pièce pleurs poëte pouvoit PRIDAMANT punir qu'un raison rien Rodrigue rois Romain Rome Sabine sais sang SCÈNE Scudéri sentiments seroit seul Sire sœur sort souffrir soupirs supplice théâtre tragédie trépas vaincu vainqueur Valère venger vertu veux victoire VIEIL HORACE vois Voltaire yeux
Brani popolari
Pagina 367 - Puisse-je de mes yeux y voir tomber ce foudre, Voir ses maisons en cendre, et tes lauriers en [poudre, Voir le dernier Romain à son dernier soupir, Moi seule en être cause, et mourir de plaisir!
Pagina 217 - Mais bientôt, malgré nous, leurs princes les rallient, Leur courage renaît, et leurs terreurs s'oublient : La honte de mourir sans avoir combattu Arrête leur désordre, et leur rend leur vertu.
Pagina 150 - II faut venger un père, et perdre une maîtresse : L'un m'anime le cœur, l'autre retient mon bras. Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme, Ou de vivre en infâme, Des deux côtés mon mal est infini.
Pagina 195 - Me force à travailler moi-même à ta ruine. Car enfin n'attends pas de mon affection De lâches sentiments pour ta punition. De quoi qu'en ta faveur notre amour m'entretienne, Ma générosité doit répondre à la tienne : Tu t'es, en m'offensant, montré digne de moi ; Je me dois, par ta mort, montrer digne de toi.
Pagina 194 - Tu n'as fait le devoir que d'un homme de bien, Mais aussi, le faisant, tu m'as appris le mien. Ta funeste valeur m'instruit par ta victoire; Elle a vengé ton père , et soutenu ta gloire ; Même soin me regarde, et j'ai pour m'affliger, Ma gloire à soutenir, et mon père à venger.
Pagina 145 - D'un insolent discours ce juste châtiment I Ne lui servira pas d'un petit ornement. SCÈNE V. D. DIÈGL'E. O rage ! ô désespoir ! 6 vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers?
Pagina 306 - Que désormais le ciel, les enfers et la terre. Unissent leurs fureurs à nous faire la guerre; Que les hommes, les dieux, les démons et le sort, Préparent contre nous un général effort ! Je mets à faire pis, en l'état où nous sommes, Le sort et les démons, et les dieux et les hommes...
Pagina 178 - Moi, dont les longs travaux ont acquis tant de gloire, Moi, que jadis partout a suivi la victoire, Je me vois aujourd'hui, pour avoir trop vécu, Recevoir un affront, et demeurer vaincu. Ce que n'a pu jamais combat...
Pagina 175 - Sire, mon père est mort : mes yeux ont vu son sang Couler à gros bouillons de son généreux flanc; Ce sang qui tant de fois garantit vos murailles, Ce sang qui tant de fois vous gagna des batailles, Ce sang qui tout sorti fume encor de courroux De se voir répandu pour d'autres que pour vous, Qu'au milieu des hasards n'osait verser la guerre, Rodrigue en votre cour vient d'en couvrir la terre.
Pagina 151 - Et l'autre indigne d'elle. Mon mal augmente à le vouloir guérir ; Tout redouble ma peine. Allons, mon âme ; et puisqu'il faut mourir, Mourons du moins sans offenser Chimène. Mourir sans tirer ma raison!