Oeuvres de P. Corneille: avec les notes de tous les commentateurs ...Chez Lèfevre, libraire, rue de L'Éperon, No.6., 1824 |
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... théâtre , Le public , dont le goût n'étoit pas encore formé , prenoit pour beau ce qui n'étoit que bizarre , ou même extravagant . Les Visionnaires de Desmarets , comédie qui n'étoit remplie que de personnages aussi outrés que celui de ...
... théâtre , Le public , dont le goût n'étoit pas encore formé , prenoit pour beau ce qui n'étoit que bizarre , ou même extravagant . Les Visionnaires de Desmarets , comédie qui n'étoit remplie que de personnages aussi outrés que celui de ...
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... théâtre , et j'ose dire que la représentation de cette pièce capricieuse ne vous a point déplu , puisque vous m'avez commandé de vous en adres- ser l'épître quand elle iroit sous la presse . Je suis au désespoir de vous la présenter en ...
... théâtre , et j'ose dire que la représentation de cette pièce capricieuse ne vous a point déplu , puisque vous m'avez commandé de vous en adres- ser l'épître quand elle iroit sous la presse . Je suis au désespoir de vous la présenter en ...
Pagina 18
... théâtre . ) SCÈNE II . MATAMORE , CLINDOR . CLINDOR . Quoi ! monsieur , vous rêvez ! et cette ame hautaine , Après tant de beaux faits , semble être encore en peine ! N'êtes - vous point lassé d'abattre des guerriers ? Et vous faut - il ...
... théâtre . ) SCÈNE II . MATAMORE , CLINDOR . CLINDOR . Quoi ! monsieur , vous rêvez ! et cette ame hautaine , Après tant de beaux faits , semble être encore en peine ! N'êtes - vous point lassé d'abattre des guerriers ? Et vous faut - il ...
Pagina 57
... théâtre . Viens çà . Tu sais ton crime , et qu'à l'objet que j'aime , Loin de parler pour moi , tu parlois pour toi - même ? CLINDOR . Oui , pour me rendre heureux j'ai fait quelques efforts ' . MATAMORE . Je te donne le choix de trois ...
... théâtre . Viens çà . Tu sais ton crime , et qu'à l'objet que j'aime , Loin de parler pour moi , tu parlois pour toi - même ? CLINDOR . Oui , pour me rendre heureux j'ai fait quelques efforts ' . MATAMORE . Je te donne le choix de trois ...
Pagina 99
... théâtre en cette extrémité . Mon fils comédien ! PRIDAMANT . ALCANDRE . D'un art si difficile Tous les quatre , au besoin , ont fait un doux asile ' ; Et , depuis sa prison , ce que vous avez vu , Son adultère amour , son trépas ...
... théâtre en cette extrémité . Mon fils comédien ! PRIDAMANT . ALCANDRE . D'un art si difficile Tous les quatre , au besoin , ont fait un doux asile ' ; Et , depuis sa prison , ce que vous avez vu , Son adultère amour , son trépas ...
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Oeuvres de P. Corneille: avec les notes de tous les commentateurs ... Pierre Corneille Visualizzazione completa - 1824 |
Parole e frasi comuni
ACTE ADRASTE aime Albe ALCANDRE amant amour ARIAS Aristote assez avoit beau beautés bras Camille Castille charmes cher Chimène chose ciel CLINDOR cœur colère combat comédie comte Corneille coup courage crime CURIACE d'Horace déja desirs devoir DIEGUE dieux digne dire discours dois doit don Diégue don Sanche douleur doux duumviri ELVIRE ennemis époux ÉRASTE esprit étoit femme FERNAND flamme Florilame foible foiblesse frère GÉRONTE gloire grace honneur honte hymen ISABELLE j'ai j'en joie JULIE l'amour l'honneur L'INFANTE laisse larmes lauriers LÉONOR LYSE m'en Madame main maîtresse malheur marquis de Vauvenargues MATAMORE Maures mort mourir noble parceque parler paroître passion père pièce pleurs poëte pouvoit PRIDAMANT punir qu'un raison rien Rodrigue rois Romain Rome Sabine sais sang SCÈNE Scudéri sentiments seroit seul Sire sœur sort souffrir soupirs supplice théâtre tragédie trépas vaincu vainqueur Valère venger vertu veux victoire VIEIL HORACE vois Voltaire yeux
Brani popolari
Pagina 367 - Puisse-je de mes yeux y voir tomber ce foudre, Voir ses maisons en cendre, et tes lauriers en [poudre, Voir le dernier Romain à son dernier soupir, Moi seule en être cause, et mourir de plaisir!
Pagina 217 - Mais bientôt, malgré nous, leurs princes les rallient, Leur courage renaît, et leurs terreurs s'oublient : La honte de mourir sans avoir combattu Arrête leur désordre, et leur rend leur vertu.
Pagina 150 - II faut venger un père, et perdre une maîtresse : L'un m'anime le cœur, l'autre retient mon bras. Réduit au triste choix ou de trahir ma flamme, Ou de vivre en infâme, Des deux côtés mon mal est infini.
Pagina 195 - Me force à travailler moi-même à ta ruine. Car enfin n'attends pas de mon affection De lâches sentiments pour ta punition. De quoi qu'en ta faveur notre amour m'entretienne, Ma générosité doit répondre à la tienne : Tu t'es, en m'offensant, montré digne de moi ; Je me dois, par ta mort, montrer digne de toi.
Pagina 194 - Tu n'as fait le devoir que d'un homme de bien, Mais aussi, le faisant, tu m'as appris le mien. Ta funeste valeur m'instruit par ta victoire; Elle a vengé ton père , et soutenu ta gloire ; Même soin me regarde, et j'ai pour m'affliger, Ma gloire à soutenir, et mon père à venger.
Pagina 145 - D'un insolent discours ce juste châtiment I Ne lui servira pas d'un petit ornement. SCÈNE V. D. DIÈGL'E. O rage ! ô désespoir ! 6 vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie? Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers?
Pagina 306 - Que désormais le ciel, les enfers et la terre. Unissent leurs fureurs à nous faire la guerre; Que les hommes, les dieux, les démons et le sort, Préparent contre nous un général effort ! Je mets à faire pis, en l'état où nous sommes, Le sort et les démons, et les dieux et les hommes...
Pagina 178 - Moi, dont les longs travaux ont acquis tant de gloire, Moi, que jadis partout a suivi la victoire, Je me vois aujourd'hui, pour avoir trop vécu, Recevoir un affront, et demeurer vaincu. Ce que n'a pu jamais combat...
Pagina 175 - Sire, mon père est mort : mes yeux ont vu son sang Couler à gros bouillons de son généreux flanc; Ce sang qui tant de fois garantit vos murailles, Ce sang qui tant de fois vous gagna des batailles, Ce sang qui tout sorti fume encor de courroux De se voir répandu pour d'autres que pour vous, Qu'au milieu des hasards n'osait verser la guerre, Rodrigue en votre cour vient d'en couvrir la terre.
Pagina 151 - Et l'autre indigne d'elle. Mon mal augmente à le vouloir guérir ; Tout redouble ma peine. Allons, mon âme ; et puisqu'il faut mourir, Mourons du moins sans offenser Chimène. Mourir sans tirer ma raison!