The Influence of Italy on the Literary Career of Alphonse de Lamartine

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Columbia University Press, 1917 - 160 pagine
Traces the Italian influences on the literature of Alphonse de Lamartine from the time of his early adolescence to the end of his literary career while writing the Cours Familier de Litterature ten to twelve years prior to his death.
 

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Pagina 35 - Combien de fois, près du rivage Où Nisida dort sur les mers, La beauté crédule ou volage Accourut à nos doux concerts! Combien de fois la barque errante Berça sur l'onde transparente Deux couples par l'Amour conduits! Tandis qu'une déesse amie ^ Jetait sur la vague endormie Le voile parfumé des nuits!
Pagina 67 - Aria de' miei sospir calda e serena ; Dolce sentier, che sì amaro riesci; Colle, che mi piacesti, or mi rincresci, Ov...
Pagina 96 - Oh quante volte, al tacito morir d'un giorno inerte, chinati i rai fulminei, le braccia al sen conserte, stette, e dei di che furono l'assalse il sovvenir! E ripensò le mobili tende, ei percossi valli, e il lampo de' manipoli, e l'onda dei cavalli, e il concitato imperio, e il celere ubbidir.
Pagina 67 - Valle che de' lamenti miei se' piena, Fiume che spesso del mio pianger cresci, Fere silvestre, vaghi augelli, e pesci Che l' una e l' altra verde riva affrena; Aria de...
Pagina 97 - Au dieu qui t'avait envoyé. On dit qu'aux derniers jours de sa longue agonie, Devant l'éternité seul avec son génie, Son regard vers le ciel parut se soulever : Le signe rédempteur toucha son front farouche.... Et même on entendit commencer sur sa bouche Un nom... qu'il n'osait achever.
Pagina 97 - Sur ce rocher désert jeté par la tempête, Tu vis tes ennemis déchirer ton manteau ! Et le sort, ce seul dieu qu'adora ton audace, Pour dernière faveur t'accorda cet espace Entre le trône et le tombeau ! Oh ! qui m'aurait donné d'y sonder ta pensée, Lorsque...
Pagina 22 - Voilà l'homme en effet. Il va du blanc au noir : II condamne au matin ses sentiments du soir : Importun à tout autre , à soi-même incommode , 11 change à tous moments d'esprit comme de mode : 11 tourne au moindre vent , il tombe au moindre choc , Aujourd'hui dans un casque , et demain dans un froc.
Pagina 98 - C'est le Dieu qui règne et qui couronne, C'est le Dieu qui punit, c'est le Dieu qui pardonne : Pour les héros et nous il a des poids divers. Parle-lui sans effroi : lui seul peut te comprendre. L'esclave et le tyran ont tous un compte à rendre, L'un du sceptre, l'autre des fers. Son cercueil est fermé : Dieu l'a jugé.
Pagina 84 - Au murmure plaintif des vagues apaisées, Aux rayons endormis de l'astre élyséen ; Sous ce ciel où la vie, où le bonheur abonde, Sur ces rives que l'œil se plaît à parcourir, Nous avons respiré cet air d'un autre monde...
Pagina 142 - DES MORTS. Voilà les feuilles sans sève Qui tombent sur le gazon, Voilà le vent qui s'élève Et gémit dans le vallon , Voilà l'errante hirondelle Qui rase du bout de l'aile L'eau dormante des marais, Voilà l'enfant des chaumières Qui glane sur les bruyères Le bois tombé des forêts. L'onde n'a plus le murmure Dont elle enchantait les bois...

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