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la fabrication du papier avec les feuilles des arbres, le chiendent et le ligneux des asperges.

21° Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 24 février 1834, par MM. Lioret père et fils, mariniers, demeurant à Paris, rue Folie-Méricourt, n° 9, pour des voitures qu'ils nomment voitures-hectolitres, propres au transport des charbons de bois et de terre.

220 Le brevet d'importation de dix ans pris, le 24 février 1834, par M. Lehmann ( Charles-Antoine), négociant à Berlin, demeurant à Paris, rue du Port-Mahon, no 9, pour des procédés de préparation de toute espèce de paille, qui la rendent propre à remplacer le crin, la faine, la bourre, etc. 23o Le brevet d'importation et de perfectionnement de dix ans pris, le 24 février 1834, par M. Pallny (Hubert-Félix ) ferblantier-lampiste, demeurant à Paris, passage de la Trinité, no 65, pour un soufflet à vent continu produit par l'action d'une manivelle, à l'usage des ménages, des forges, des fourneaux, etc.

24o Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 3 mars 1834, par M. Thomas (Charles) de Rouen, faisant élection de domicile à Paris, rue Godot-deMauroy, no 43, poar un nouveau procédé à l'aide duquel on pourra traverser, les fleuves sans gêner la navigation.

25 Le brevet d'invention de quinze ans pris, le 24 mars 1834, par M. Moisson (Isidore-Alphonse-Théophile), faisant élection de domicile à Paris, rue de Bagneux, no 11, pour un nouveau procédé de teinture de ga-·

rance.

26o Le brevet d'invention de dix ans pris, le 25 mars 1834, par M. Étienhot (Jean-Baptiste-Adolphe), demeurant à Paris, rue de Grenelle SaintHonoré, no 9, pour un procédé propre à scier le bois à brûler.

170 Le brevet d'invention et de perfectionnement de cinq ans pris, le 25 mars 1834, par M. Mazeron (Marie-Gabriel - Sauveur), demeurant à Paris, rue Pavée-Saint-André-des-Arts, no 16, pour des cadres en carton, recouverts de papier, imitant tous les genres de bois avec incrustations.

28° Le brevet d'invention et de perfectionnement de dix ans pris, le 26 mars 1834, par MM. Doublet (Edouard) et Rouen (Pierre-Isidore), demeurant à Paris, et faisant élection de domicile chez M. Doublet, l'un d'eux, rue de la Boule-Ronge, no 13, pour une nouvelle cafetière.

290 Le brevet d'invention de quinze ans pris, le 26 mars 1834, par M. Forestier (Jacques-Benoît), demeurant à Paris, rue Pot-de-Fer, no 1, pour une machine qu'il nomme brosse horizontale à bascule destinée à l'assainissement des céréales, etc., à leur conservation, à la destruction des charançons et de tous les insectes et maladies qui les rongent et les dé-'

truisent.

30o Le brevet d'invention et de perfectionnement de cinq ans pris, te 26 mars 1834, par M. Fasbender (Chrétien-Joseph), fabricant, demeurant à Paris, rue Saint-Denis, no 368, pour un garde-fen mécanique qu'il nomme fasbenderien propre à empêcher les accidents produits par le feu,

31o Le brevet d'importation de cinq ans pris, le 26 mars 1834, par M. Baudouin (Jacques - François), demeurant à Paris, rue et avente de Villiers, n° 20, près les Thermes, pour la fabrication de sulfate de quinine sans alecol.

32o Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 26 mars 1834, par MM. Bow

quet, Bouillard et compagnie, demeurant à Paris, rue Michel-le-Comte, no 30, pour un genre de carton d'une espèce nouvelle, qu'ils nomment Carton dit Bouillard.

33o Le brevet d'invention, d'importation et de perfectionnement de quinze ans pris, le 31 mars 1834, par MM. Rivière (William-Arnous) et Braithwaite (John), représentés à Paris, par M. Bernard-Dessessarts, demeurant rue Godot-de-Mauroy, no 5, pour une machine produisant une bien plus grande puissance motrice avec une moins grande quantité de feu qu'auparavant.

34° Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 31 mars 1834, par M. Garrigues (Victor-Auguste), pharmacien, demeurant à Poissy, département de Seine-et-Oise, pour un appareil propre à garantir, corps et biens, tout bâtiment qui aurait éprouvé des avaries par suite d'une tempête.

35o Le brevet d'invention et de perfectionnement de cinq ans pris, le 31 mars 1834, par M. Daubrée (Jean-Baptiste- Alfred), demeurant à Paris, rue Saint-Georges, no 9, pour une machine qu'il nomme délisseuse mécanique.

36o Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 3 avril 1834, par M. Helfenberger (Denis-Joseph-Marie), demeurant à Bergerac, département de la Dordogne, pour un multiplicateur de forces applicable à toute espèce de moteurs.

37o Le brevet d'invention de dix ans pris, le 11 avril 1834, par M. Richard (Pierre), entrepreneur de menuiserie, demeurant à Paris, esplanade des Invalides, no 22, pour un procédé propre à éviter toute ferrure quelconque dans les ouvrages de menuiserie.

38° Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 26 avril 1834, par M. Laignet (Jean-Baptiste-Benjamin), demeurant à Paris, rue Chanoinesse, no 12, pour de nouveaux siéges inodores propres à être adaptés partout et surtout en l'absence des fosses d'aisances.

39o Le brevet d'invention de dix ans pris, le 30 avril 1834, par M. Biétre (Louis-Edme), demeurant à Paris, rue Saint-Dominique, no 161, pour un nouveau système de charpente sans assemblage.

40o Le brevet d'invention et de perfectionnement de dix ans pris, le 6 mai 1834, par MM. Rignon (Pierre-Maurice) et Pradel (Antoine), demeurant à Paris, rue du Ponceau, no 50, pour un soufflet à double courant et à réservoir d'air..

41o Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 20 mai 1834, par M. Petit (Louis-Nicolas - Edme), marchand de bois, demeurant à Paris, place Royale, no 11, pour un nouveau parquet qu'il nomme parquet lozange.

420 Le brevet d'invention de dix ans pris, le 20 mai 1834, par M. Mutel (Hubert), demeurant à Paris, rue Gaillon, no 25, pour la composition d'un sel de Vichy digestif, propre à l'usage de la table.

43° Le brevet d'invention de dix ans pris, le 27 juin 1834, par M. Henry (Joseph), fabricant de bijoux en acier, demeurant à Paris, rue Philippeaux, no 11, pour différents procédés appliqués à toute espèce d'ouvrages en matières minérales, végétales ou animales, afin d'imiter l'incrustation, la gravure, la mosaïque, etc.

44o Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 27 juin 1834, par M. Robert (Henri), horloger, demeurant à Paris, palais Royal, no 164, pour de nouvelles montres à secondes destinées aux observations scienti

fiques et pratiques, avec de nouveaux cadrans applicables tant à ces mêmes montres qu'aux pendules de commerce.

45o Le brevet d'invention de dix ans pris, le 30 juin 1834, par M. Lefebre (Léon), chapelier, demeurant à París, rue de Richelieu, no 46, pour des chapeaux sur sparterie, en bois ou en paille, conjointe à une mousseline, et pour l'apprêt qu'on y emploie.

46o Le brevet d'invention de quinze ans pris, le 11 juillet 1834, par M. Beaudemoulin (Jean-Baptiste-François), marchand boulanger, demeurant à Paris, rue Saint-Honoré, no 289, pour un nouveau procédé de panification.

47° Le brevet d'importation et de perfectionnement de cinq ans pris, le 11 juillet 1834, par M. Wansbrough (Jacques), représenté à Paris par M. Bertolacci, demeurant rue des Pyramides, no 2, pour des perfectionnements dans la fabrication des chapeaux de soie.

48° Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 23 juillet 1834, par M. Dien (Charles), ingénieur géographe, demeurant à Paris, rue Hautefeuille, no 13, pour un nouveau support parallèle au méridien servant au mécanisme des montures de globes et sphères.

49° Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 23 juillet 1834, par M. Delporte (Jean-Joseph), coutelier, demeurant à Paris, rue de Marivaux, no 4, pour un rasoir à anneau mobile.

50o Le brevet d'invention et de perfectionnement de cinq ans, pris, le 31 juillet 1834, par MM. Dida (Antoine) et Lamotte (Louis-Henri), fabricants, demeurant à Paris, rue du Temple, le premier, no 123, et le second, no 103, pour un crachoir dit tusma.

51o Le brevet d'invention de quinze ans pris, le 13 août 1834, par la société anonyme de la papeterie d'Echarcon, représentée à Paris, par M. Michel de Saint-Albin, demeurant rue du Mail, no 29, pour l'amollissement des chiffons, des vieux cordages, et des matières analogues employés dans la fabrication du papier et du carton.

52o Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 13 août 1834, par M. Jean (Benoît), marchand de charbon de terre, demeurant à Paris rue Folie-Méricourt, no 11, pour un appareil réunissant la chaleur de deux fours à coke et de deux fours à carboniser, dans un seul four à plâtre, avec combustion de gaz de manière à ne donner aucune fumée à l'extérieur. 530 Le brevet d'importation de quinze ans pris, le 22 août 1834, par M. Foissac (Pierre), docteur médecin, faisant élection de domicile à Paris, chez M. le marquis de Beaumont, rue de la Madeleine, no 31, pour un nouveau moteur nommé moteur-prédaval, applicable à toute espèce de machines.

540 Le brevet d'invention de dix ans pris, le 22 août 1834, par M. Pouydebat (Jean-Joseph), demeurant à Auch, département du Gers, pour une machine qu'il nomme moissonneuse, destinée à couper le blé, à le dépiquer et à le vanner dans une seule et même opération.

550 Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 22 août 1834, par M. Godefroy fils (Éléonor-Frédéric), facteur d'instruments à vent, demeurant à Paris, rue Montmartre, no 133, pour un nouveau ressort sans frottement pouvant s'adapter à toutes les clefs des instruments à vent.

56o Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 28 août 1834, par

M. Malizard (Jean-Baptiste), plombier, demeurant à Paris, faubourg Saint-Denis, no 105, pour des couvertures d'édifices en zinc lamine.

570 Le brevet d'invention de quinze ans pris, le 12 septembre 1834. par M. Stiger (Charles-Alexandre), horloger - mécanicien, demeurant à Montmartre, prés Paris, rue du Chemin-Neuf, no 10, pour un nouveau système de voiture qu'il nomme voiture stigerienne,

58° Le brevet d'importation et de perfectionnement de dix ans pris, le 13 septembre 1834, par M. Guilmard (Jean-Désire), demeurant à Paris chez M. Mellerio-Meller, rue Vivienne, no 20, pour des fermetures de boutiques qu'il nomme fermetures tachyalites.

59o Le brevet d'inveution de cinq ans pris, le 19 septembre 1834, par M. Caiman-Duverger, demeurant à Paris, rue du Petit-Musc, hôtel de la Herse d'or, pour une machine à filer à la main et au pied qu'il nomme filoir.

600 Le brevet de perfectionnement de cinq ans pris, le 19 septembre 1834, par MM. Dupuis et Leroux fils, grilleurs, demeurant faubourg Saint-Roch, à Amiens, département de la Somme, pour un nouveau système de grillage des tissus, en soie et en laine.

610 Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 24 septembre 1834, par M. Etienne (Pierre-François), professeur de mathématiques à l'école normale de Versailles, faisant élection de domicile à Paris, boulevart SaintAntoine, no 59, pour une planchette perfectionnée.

620 Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 26 septembre 1834, par M. Brewer (Henri), demeurant à Paris, rue Truffaut, no 6. pour une machine propre à couper le papier mécanique, au fur et à mesure de sa fa-` brication.

63o Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 30 septembre 1834, par M. Hacquet (Pierre - Charles), demeurant à Paris, rue du Montblanc, no 27 bis, pour une voiture à voile et pour un système de voiture et de lest applicable à toutes sortes de voitures.

640 Le brevet d'invention de quinze ans pris, le 3 octobre 1834, par M. Midy de la Greneraye, dit Surville (Eugène-Auguste-Georges-Louis), ingénieur des ponts et chaussées, demeurant à Paris, rue Coquenard, no 6, pour un système de construction à employer dans les plans inclinés des chemins de fer.

65o Le brevet d'invention de cinq ans pris, fe octobre 1834, par M. de Braux d'Anglure ( François-Nicolas ), fabricant de cire à cacheter, demeurant à Paris, faubourg Saint-Honoré, no 60, pour des bâtons de cire à cacheter de formes arrondies sur le dessus.

.

66o Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 23 octobre 1834, par M. Vincart Bonaventure Auguste), artiste typographe, demeurant à Paris, quai aux Fleurs, no 21, pour des encriers mécaniques, à l'usage des cachets, griffes et timbres de toutes les administrations.

67° Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 24 octobre 1834, par M. Besset (Jacques), fabricant d'étoffes de soie de Lyon, faisant élection de domicile à Paris, chez MM. Davril et Baillot, place des Victoires, no 9, pour une nouvelle machine qu'il nomme métier à rabat, propre à faire des étoffes façonnées, satins à double face ou sans envers, et velours coupé, fond satin et lancé, etc.

68° Brevet d'invention de cinq ans pris, le 24 octobre 1834, par M. Soudain, demeurant à Paris, rue de Provence, no 38, pour un porte-guitare.

69o Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 24 octobre 1834, par HEM. Varigard ( Martin), fabricant de socques, demeurant à Paris, rue des Saints-Peres, no 65, pour un dessous de pied à ressort.

170o Le brevet d'invention de dix ans pris, le 29 octobre 1834, par * M. Dubochet (Vincent), demeurant à Paris, rue Delaborde, no 24, Anne nouvelle espèce de papier dit papier roseau.

pour

71o Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 29 octobre 1834, par -M. Dunand (Maurice-Antoine), tourneur en cuivre, demeurant à Paris, rue Saint-Honoré, no 341, pour un nouveau bec de lampe.

790 Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 31 octobre 1834, par M. Vernet (Joseph ), lampiste, demeurant à Paris, rue du Bac, no 36 bis, pour une lampe qu'il nomme lampe Vernetz

730 Le brevet d'invention de cinq ans pris, Te 9 novembre 1834, par M. Debaín ( Alexandre-François), facteur de pianos, demeurant à Paris, rue du Renard-Saint-Méry, no 6, pour un nouveau mécanisme applicable aux pianos droits et aux pianos carrés.

74° Le brevet d'invention et de perfectionnement de cinq ans pris, le 22 novembre 1834, par M. Lamotte ( Gilbert), pompier mécanicien, demeurant à Paris, rue Faubourg-Montmartre, no 4, pour une nouvelle cuvette dite à la française, fermant hermétiquement.

75o Le brevet d'invention de quinze ans pris, le 24 novembre 1834, par MM. Vergne, Peyrounenc et Despruneaux, demeurant à Paris chez M. Peyrounene, l'un d'eux, demeurant à Paris, rue du Petit-Thouars, no 23, pour la fabrication et l'application aux arts de la pilonée ou huile extraite des divers produits da più maritime.

76o Le brevet d'invention et de perfectionnement de cinq ans pris, le 24 novembre 1834, par M. Michel ( Hubert-Antoine-Victor), limonadier, demeurant à Paris, rue Saint-Victor, no 79, pour un nouveau système d'éclairage avec abat-jour mobile, à l'usage des billards et autres établissements publics.

770 Le brevet d'invention de cinq ans pris, le 24 novembre 1834, par M. Domeny (Louis-Joseph), facteur de harpes et pianos, demeurant à Paris, rue du Faubourg-Saint-Denis, no 82, pour une fourchette mobile à Coulisse, propre à régler les seconds demi-tons dans la harpe à double

mouvement.

78° Le brevet d'invention de dix ans pris, le 2 décembre 1834, par MM. Dumont (Julien), manufacturier, et Duguen ( Henri), fabricant de sacre indigène, demeurant à Paris, rue Martel, no 11, pour un appareil å concentrer dans le vide et à air libre les sirops et jus de betteraves,

799 Le brevet d'invention et de perfectionnemen de dix ans pris, le 4 décembre 1834, par M. Cellier-Blumenthal fils (Gonzalve ), de Bruxelles, représenté par son père, faisant election de domicile à Paris chez M. FaureBeaulieu, rue du Ponceau, pour un appareil propre à cuire dans le vide les Fs de betteraves et sirops de sucre, ainsi qu'à concentrer toutes les dissoluuons salines.

80° Le brevet d'invention, d'importation et de perfectionnement de cinq

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