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jours pour la proece qu'il ot fete aus murs de Duraz, quant il retint touz seuz Pompée et ses hommes au nt abatu, si que onques ne lor en lut issir, et morut 5. Se Cesar eüst ensement leu de lui deffendre, il ne enist Lucans son livre (fol. 183 a).

nsuite le ch. LXIV de la

vie de César de Sué

e d'après 1391, fol. 184 b; il y a aussi Arcius dans

XV.

t-Georges s'applique proprement au Bosphore, c'estla mer de Marmara à la mer Noire. C'est là, sur la é le monastère de Saint-Georges. L'Hellespont, au étroit qui réunit la mer de Marmara à la mer Egée. signait communément toute la mer de Marmara, y à ses deux extrémités, sous le nom de Bras-Sainte le sens constant de ce nom chez Villehardouin. d'après VI, 141 et suiv. Ici l'exploit de Scæva est

Respexit in agmine denso

perpetuæ meritum jam nomina famæ s, Epidamne, tuos, ubi solus apertis uris calcontem moenia Magnum.

raphrase où on relèvera quelques mots interessants:

Il fesoit charroier les tables de marbre et de pourfire, quarées les regions ou il les trouvoit, a fere le pavement de Ronme. C ost et il trouvoit les riches coulombes d'ebenuz et d'autres marbr faisoit mener a Romme, ou par terre ou par mer (fol. 199 a b).

La traduction des fameux vers supposés rythmiques : subegit, Nicomedes Casarem est assez réussie:

Cesar a mis France sous soi, li autre disoient, Nicomede Cesa a eu triumphe qui a France soumise: Nicomede n'en a point a sousmis (fol. 199 c d).

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Moins heureuse est la traduction de ces mots qui termin

...

ad Pompedum Macrum cui ordinandas bibliothecas « Maqres qui s'entremetoit de bibles » (fol. 200 c). Il y a ici fondé sur la signification particulière que bibliotheca avait pris Jérôme. L'opposition de quirites et de milites (ch. LXX) est n cette phrase: << les clama anious serjans a glaives en leu de mais il faut avouer que l'équivalent propre de quirites n'éta

1. Ici et plus loin Mode.

: ce que contiennent les Faits des Romains : il est ons que la critique est tenue de poser, sinon applique pour la première fois à l'étude d'une tions sont celles qui concernent la personne de eu de la composition, le but de l'ouvrage, le

nnu, et, à moins de quelque découverte imrésigner à ne le jamais connaître. Il peut, à

César de Suétone.

lemoura Cesar en Egipte tant que dui an furent et ses degras avoec la royne Cleopatra; menjoient fabloioient après mengier que lor siege duroient de n; tant entendoient a deduire et a fabloier... Meintes el Nille seul a seul en .j. batel, fors seulement les atel menoient, et aloient encortiné parmi l'iave, et li ès lui chevauchant et sivoient le batel sur l'iave. Et e maniere au lonc d'Egipte parmi Ethiope, tout adès , se li chevalier les vousissent sivre, mès a desdaing distrent .j. jour: « Nous ne vouz sivronz pluz en ient sanz congié li auquant..... »

Si nous devons nous résigner jusqu'à nouvelle découver nom du laborieux compilateur de la vie de César, nou moins fixer avec assez de probabilité le temps et le lieu C'était au temps de saint Louis et à Paris. La seconde de sertions n'est que vraisemblable, mais la première peut êt

Brunet Latin, dont le Tresor fut achevé en 1266 au plu à citer au ch. xxxiv de son troisième livre un exem choisit le discours que Salluste 4 met dans la bouche de Cé à Silanus. Il le fait précéder d'un court avant-propos d est également empruntée à Salluste. Or, l'avant-propos

1. Voir ci-dessus, p. 2, note 2.

2. Aux vingt-quatre exemplaires mentionnés ci-dessus, p. 2ceux, au nombre de treize, où les Faits des Romains sont joi ancienne. Voir ci-après, p. 49-5!.

3. Les récits historiques qui vont jusqu'à 1269 ne se tro quelques mss.; voy. l'édition de Chabaille, p. XXIII. Dans cett sans aucune critique, la différence des deux états du Trésor n'e avec une précision suffisante, mais nous n'avons à tenir comp que du premier, dont la date est suffisamment établie.

4. Catilina, LI.

tormenté et Publius Fu'ublius UmDooient estre l'euls. Chastel, tant que

esar sa sen

tuit cil qui r des choses arder a ire tié. Car ces e lessier la er de droit n la ou hom enté... »

nier devoient estre livré a mort, et il et li autre que l'en pooit prendre; et quant il ot son conte finé, et que tuit li autre, par po, se acorderent a sa sentence, Jules Cesar, qui voloit les prisons deffendre, parla par coverture maistrielment en ceste maniere :

« Seignors peres conscrips, tuit >>cil qui veulent conseil doner des » choses doutouses, il ne doivent » esgarder a haine ne a ire ne a » amor ne a pitié, car ces .iiij. cho» ses pueent faire laissier a home la » voie de droiture et desvoier de » droit jugement: sens ne vaut >> riens la ou l'on veult dou tout » suire sa volenté... »

rla comparaison: le discours finit à la page 509

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