Histoire du gouvernement parlementaire en France: 1814-1848, Volume 8

Copertina anteriore
(p. 349-354) Dans un chapitre sur l'état des partis en 1814-1815, analyse des similitudes et différences d'idées entre les royalistes du "Journal Général" et les constitutionnels. Constant et le "Censeur"; sa théorie de la responsabilité ministérielle dans ses "Réflexions sur les constitutions". L'auteur rapproche son opinion sur la monarchie constitutionnelle de celle de Tracy et de Lanjuinais.
 

Pagine selezionate

Altre edizioni - Visualizza tutto

Parole e frasi comuni

Brani popolari

Pagina 171 - ... grande consolation à préparer les moyens de fermer les dernières plaies de la révolution. Le moment est venu d'exécuter les sages desseins qu'il avait conçus ; la situation de nos finances permettra d'accomplir ce grand acte de justice et de politique sans augmenter les impôts , sans nuire au crédit , sans retrancher aucune partie des fonds destinés aux divers services publics.
Pagina 412 - France de corporations religieuses défendues par les lois, ainsi que des doctrines ultramontaines hautement professées depuis quelque temps par une partie du clergé français, et dont la propagation pourrait mettre en péril les libertés civiles et religieuses de la France...
Pagina 410 - ... que de signaler soit des actes notoirement constants qui offensent la religion même ou les mœurs, soit les dangers et les excès non moins certains d'une doctrine qui menace tout à la fois l'indépendance de la monarchie, la souveraineté du roi et les libertés publiques, garanties par la Charte constitutionnelle et par la Déclaration du clergé de France en...
Pagina 516 - Des maximes reçues dans l'Eglise de France sont dénoncées hautement comme un attentat contre la divine constitution de l'Église catholique, comme une œuvre souillée de schisme et d'hérésie, comme une profession d'athéisme politique.
Pagina 405 - Considérant que ce n'est ni manquer à ce respect, ni abuser de la liberté de la presse, que de discuter...
Pagina 517 - Pères. 11 en est aussi qui. sous prétexte de ces libertés, ne craignent pas de porter atteinte à la primauté de saint Pierre et des pontifes romains ses successeurs, instituée par Jésus-Christ, à l'obéissance qui leur est due par tous les chrétiens et i la majesté si vénérable, aux yeux de toutes les nations, du siège apostolique, où s'enseigne la foi et se conserve l'unité de l'Église.
Pagina 273 - Il n'ya plus de Dominique, et nous ne sommes pas non plus des Albigeois. La théocratie de notre temps est moins religieuse que politique ; elle fait partie de ce système de réaction universelle qui nous emporte : ce qui la recommande, c'est qu'elle a un aspect contre-révolutionnaire.
Pagina 14 - ... il le proscrit; il nous punit de ne savoir pas renoncer à notre estime et à celle des autres. Vos pères, Messieurs , n'ont pas connu cette profonde humiliation; ils n'ont pas vu la corruption placée dans le droit public, et donnée en spectacle à la jeunesse étonnée, comme la leçon de l'âge mûr. « Voilà où nous sommes descendus : le mal...
Pagina 233 - Elle n'est, dit-il, ni une punition infligée aux uns, ni une récompense décernée aux autres ; c'est une mesure indispensable au complément de la Restauration, à la réunion de tous les Français, à la sécurité et à la force du pays...
Pagina 14 - Qu'avez-vous à emprunter de là, vous mandataires, non des siècles, mais d'une Charte qui n'a pas deux fois les sept ans que vous vous arrogez contre elle? vous, pouvoir écrit, et qui vous êtes vu écrire!

Informazioni bibliografiche