Œuvres de Denis Diderot, Volume 15Chez Desray ... et Deterville, 1798 |
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Pagina 81 - Parva metu primo ; mox sese attollit in auras, Ingrediturque solo, et caput inter nubila condit...
Pagina 267 - C'est de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parler aux yeux; Et par les traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du corps aux pensées.
Pagina 184 - Éclairez vos objets selon votre soleil, qui n'est pas celui de la nature; soyez le disciple de l'arc-en-ciel, mais n'en soyez pas l'esclave.
Pagina 429 - Clairon traversant la scène, à demi renversée sur les bourreaux qui l'environnent, ses genoux se dérobant sous elle, les yeux fermés, les bras tombants , comme morte; si vous entendiez le cri qu'elle pousse en apercevant Tancrède, vous resteriez plus convaincu que jamais que le silence et la pantomime ont quelquefois un pathétique que toutes les ressources de l'art oratoire ' n'atteignent pas. J'ai dans la tête un moment de théâtre où tout est muet, et où le spectateur reste suspendu...
Pagina 187 - J'ai dit que l'artiste n'avait qu'un instant; mais cet instant peut subsister avec des traces de l'instant qui a précédé, et des annonces de celui qui suivra. On n'égorge pas encore Iphigénie ; mais je vois approcher le victimaire avec le large bassin qui doit recevoir son sang, et cet accessoire me fait frémir.
Pagina 491 - La nature n'a fait ni serviteur ni maître; Je ne veux ni donner ni recevoir de lois. » Et ses mains ourdiraient les entrailles du prêtre Au défaut d'un cordon pour étrangler les rois, Tu pâlis, vil esclave!
Pagina 173 - Les muses sont femmes, elles n'accordent pas toujours leurs faveurs à ceux qui les sollicitent le plus opiniâtrement. Combien elles ont fait d'amants malheureux, et combien elles en feront encore ! Et pour l'amant favorisé, encore y at-il l'heure du berger. * La sotte occupation que celle de nous empêcher sans cesse de prendre du plaisir, ou de nous faire rougir de celui que nous avons pris!... C'est celle du critique.
Pagina 429 - Ah ! mon cher maître, si vous voyiez la Clairon traversant la scène, à demi renversée sur les bourreaux qui l'environnent, ses genoux se dérobant sous elle, les yeux fermés, les bras tombants , comme morte; si vous entendiez le cri qu'elle pousse en apercevant Tancrède...
Pagina 439 - Le Franc de Pompignan. Tout le monde s'en moque à la cour comme à Paris. Il n'ya pas longtemps qu'un homme dont les paroles sont quelque chose dit au roi qu'on persécutait en France les seuls hommes qui faisaient honneur à la France.
Pagina 410 - Mais voilà l'été dans sa force. Le lit des fleuves se resserre, les fontaines sont desséchées, le grain se détache de l'épi, la chaleur accable l'homme et les animaux ; et le poète haletant s'écrie : Ah! que ne puis-je errer dans ces sentiers profonds Où j'ai vu des torrents tomber du haut des monts!