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violente attaque ennemie tendait à ébranler geait lui-même, en avant du parapet, dans la

leur moral.

LEVESQUE DE BLIVES (Octave-Marie-JosephRoger), me 2161, maréchal des logis appartenant à la batterie d'auto-canons mitrailleuses et provenant du 2 rég. d'artillerie à pied, ile batterie de dépôt T. chef de pièce d'une automitrailleuse, a toujours fait preuve d'un courage et d'un calme parfaits. Au combat du 9 mai. sa mitrailleuse étant écrasée par un tir à courte distance de l'ennemi, s'est immédiatement occupé de la remettre en état de tirer, dans des conditions particulièrement dangereuses. A été tué en la nettoyant sous le feu.

COCHIN (Augustin), lieutenant de réserve au 146 rég. d'infanterie: le 25 septembre, à l'attaque d'une position, malgré deux blessures graves, a conservé le commandement de sa section et, par son énergie, a maintenu celle-ci sur le champ de bataille sous un feu violent de

l'ennemi.

PAGES (Come-Damien-Michel. chef de batail lon au 281 reg. d'infanterie officier supérieur d'une valeur hors de pair. A fait preuve, une fois de plus, le 11 mai, d'une bravoure remarquable en s'élançant hors des tranchées à la tête d'une compagnie de son bataillon sous un feu violent d'artillerie et de mitrailleuses. Glorieusement tué au moment où il allait pénétrer

dans la tranchée enneinie.

GUIGOU (Marie-Albert), chef de bataillon au 281 rég. d'infanterie officier supérieur de grande valeur. Déjà blessé en août et revenu aussitôt guéri. Glorieusement tué le 9 mai au moment où sous un feu violent de mitrailleuses, il entraînait deux compagnies de son bataillon à l'assaut d'une tranchée ennemie.

FALCONETTI (Julien-Pierre), capitaine au 281 rég. d'infanterie: glorieusement tué à la tête de sa compagnie en marchant à l'assaut d'une tranchée ennemie. N'ayant pas cessé depuis le début de la campagne de faire preuve d'une énergie et d'une bravoure remarquables qui lui avaient valu plusieurs citations et sa nomination d'officier de la Légion d'honneur. INCONNU (Jean-Marie), soldat de 1re classe au 281 rég. d'infanterie le 9 mai, a pénétré dans une tranchée allemande, en explorant un boyau s'est trouvé seul en présence de trois soldats allemands. Les a tenus en respect pendant toute l'après-midi et, à la nuit, les a ramenés dans nos lignes.

CALAGE (Pierre), soldat au 281 rég. d'infanterie a entraîné ses camarades à l'assaut d'une position ennemie en marchant larme sur l'épaule et chantant la Marseillaise sous un feu violent de mitrailleuses et dobus.

DEJEAN (Marius-Benjamin-Joseph), adjudant au 281 rég. d'infanterie: le 11 mai, a entrainé trois fois de suite sa section à l'assaut d'une position ennemic fortement défendue. Ayant de nouveau rallié sa section, sous un violent bombardement, est reparti une quatrième fois, entraînant les hommes d'une autre compagnie jusqu'à ce qu'il tombât, blessé.

BRESSE (Octave - Hippolyte - Henri - Gustave), lieutenant de réserve au 1er rég. d'artillerie lourde a fait preuve depuis le début de la campagne des plus belles qualités de commandement et de bravoure. Dirigeant avec un sang froid imperturbable le tir de sa section sous un bombardement intense d'artillerie ennemie, a été tué à son poste par un éclat d'obus.

nuit du 3 au 4 février, l'installation de reseaux
de fils de fer barbelės.

RUDYNSKI Léon-Marie', aumônier volontaire
au 60 rég. d'artillerie: aumônier volontaire,
n'hésite jamais à se rendre aux tranchées de
première ligne pour apporter aux combattants
les secours immediats de son ministère, les
animant par ses paroles et le mépris du dan-
ger. Le 9 mai, arrivant dans les tranchées con-
quises derrière les troupes d'as-aut, a essuyé à
bout portant le feu d'un soldat ennemi qui
était dissimulé dans un abri. immédiatement
après cet incident, a continue sa mission
avec le plus grand calme. Attitude superbe au
feu.

(Ordre du 31 mai 1915.)

POISSON (Marie-Antoine-Bernard), capitaine à la compagnie 20,3 du 10 reg. du genie: conmandant la compagnie du génie chargée de coopérer à l'attaque d'une position, a pris les dispositions qui ont aide au succès. A participe trant un magnifique courage. Est tombe frapps lui-même à l'enlèvement des tranchées, monmortellement en entrainant, sur le parapet d'un ouvrage, un groupe d'assailants.

PONCELET (Henri, me 15832, adjudant au 224 rég. d infanterie: a brillamment entraîné sa section à l'attaque et a ete grièvement blessé à l'instant où il atteignait le premier objectif

fixé.

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MEYER (Pierre-Henri-Balthazar, de reserve au 221a rég, d'infanterie: devait, par son âge, être affecte à larmée territonale. A demandé à rester dans la réserve de l'armée active. Blessé le 3 août et revenu sur le front, a pris immediatement le commandement d une compagnie. Blessé de nouveau, le 11 mai, d'un eclat d'obus, alors qu'il maintenait sa compagnie dans le plus grand ordre sous un feu

MAITRINAL (Joseph), m'e 1001, caporal au
329e rég. d'infanterie : bien qu'atteint de 5 bles-Violent d'artillerie.
sures aux jambes pendant un bombardement
qui avait blessé ou enseveli tous les servants
de sa mitrailleuse, a garde tout son sang-froid,
s'est mis immédiatement à deterrer ses
hommes, à les panser et à les reconforter par
ses paroles et son attitude, puis s'est mis à la
recherche de sa pièce complètement enterree
et l'a rapportée sur son dos."

RISER (Marcel Marie), me 3655, médecin
auxiliaire au 329e reg. d'infanterie: toujours aux
postes les plus perilleux où il a conquis admi-
ration des combattants, sest fait remarquer
pendant le combat du 11 mai, en prodigant ses
soins dans le voisinage immédiat de la ligne de
combat; en particulier, a panse seul avec le
plus grand sang-froid, pendant une demi-heure.
sous une rafale incessante et ajustee, une dizaine
d'hommes grièvement blessés quil avaient appelé
à leur secours.

PUNTOUS Hubert-Théodore', chef de bataillon au 329 rég. d infanterie: a fait preuve, depuis le debut de la guerre, des plus brillantes quahtes de bravoure, d'initiative et déan Le 11 mai, a entra.né son bataillon à lattaque, sous un feu extrêmement viel nt de grosse artillerie; demeuré seul officier supérieur du regiment, en a pris le commandement et, 52e en première ligne, dans les plus dures prive de tous ses auxiliaires, a ma.utenu le conditions, a reorganisé le regiment par un travail ininterrompu sous le feu, et en a refait, en trois jours, une unité de combat prête à

tout.

MOREAU (François), sous-lieutenant au 37 reg. dinfanterie à l'attaque du 9 mal, est parti avec son chef de bataillon en toe de toutes les unités lancées à l'assaut, entra nant MIGNOT, lieutenant-colonel, commandant le ainsi par sou exemple tous les homines places sous ses ordres, Le 11 mai, est alle reconnaitre, 158 rég. d'infanterie: a préparé l'attaque du 15 de sa personne, les ouvrages ennemis et a remars dans ses moindres détails, a su commu-cueil de précieux renseignements A ète blesse niquer à sa troupe les nobles sentiments dont grievement, alors qu'il était à la tête de sa il est animé et developper chez elle au plus compagnie charge d'attaquer les ouvrages. alors que son regiment était soumis à un bomhaut degré l'esprit de sacrifice. Pendant jours, bardement d'une rare violence, a repousse les attaques allemandes, faisant preuve d'énergic, de sang-froid et de decision.

MOLLANDIN René-Félix), lieutenant-colonel
breveté hors cadres, chef d'état-major d'un
corps d'armée dans les fonctions de chef
d'état-major d'un corps d'armée qu'il remplit
depuis six mois, a affirmé ses hautes qualites
morales et ses connaissances tactiques; a con-
tribué puissamment et d'une maniere remar
donné d'heureux résultats.
quable à la préparation d'opérations qui ont

d'infanterie le 11 mai, l'attaque dinge sur un BUOT DE L'EPINE, sous-lieutenant au 27°rég. cimetière étant arretée par le feu d'une mitrailleuse qui en barrait li porte, sest offert a charger avec sa section. Irois fois de suite, nemi, et, par ces actes courageux, a permis à s'est bravement jete à la baionnette sur lenune autre section de contourner le cimetière.

balonnette.

nant colonel au 319 reg. d infanterio: le 12 mai BONVIOLLE Charles-Henri-Gabriel), lieute1915, a entrainé son regiment, sous un fea intense d'artillerie et de mitrailleuses ennem.es jusqu'à la position d'assaut. A éte blessé au mnoLEBRUN (Léonce-Marie), colonel comman-ment où il donnait le signal de l'abordage a la dant par intérim une brigade: a dirige avec DARBONNE (André, maréchal des logis au ble activité les travaux du secteur d'attaque de une remarquable compétence et une inlassa1er groupement d'artillerie lourde: sous-officier la division; a conquis avec sa brigade plutrès énergique et très dévoué. S'est porté jus- sieurs lignes de tranchées ennemies et des qu'à une tranchée avancée, malgré le feu vio- points d'appui fortifiés et en a assure la posseslent de l'artillerie ennemie pour observer le tirsion pendant quinze jours de combats incesde sa batterie. A été gravement blessé à ce sants. S'est affirmé comme un chef de premier poste dangereux, après avoir pu donner de pré- ordre. cieux renseignements.

LYARD (Emile), m1e 3887, 1er canonnier servant au 3 groupement d'artillerie lourde: étant téléphoniste dans un observatoire rendu entenable par l'artillerie ennemie, en est parti 'le dernier en emportant son poste téléphonique.

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GARCIN (Edmond-Victor-Eugène), chef de bataillon au 1i6e rég, d'infanterie appelé à prendre le commandement de son regiment en plein combat, a su par son energie, sa tena cité, son sang-froid, conduire les attaques d'un village, maison par maison, repoussant toutes les tentatives de l'ennemi, en communiquant à sa troupe un admirable esprit offensif. VERCHERE Albert', lieutenant de réserve à la compagnie 2012 du 10 reg. du genie: a fait preuve de la plus grande bravouve, de la plus grande énergie et d'un mépris total du danger au cours des attaques des 9, 11, 13 et 23 mai. Après ce dernier combat, atteint d'une balle en

FORMET Gustave-François-Xavier), chef d'esgroupe de batteries au cours des combats du cadron au 59 rég, d'artillerie: commandant un 9 au 16 mai, a fait preuve dans un poste de bardé, d'un dévouement et d'une activite cons commandement avance et frequemment romtamment en eveil et d'un sens tactique très juste.

dant au fer bataillon de chasseurs: tue à la téte CHAPUIS Jean-Marie-Louis), m'e 03502, adjude sa section au moment ou, de bouchant le premier de la tranchée, il se portait avec un bel élan à l'assaut de la position ennemie.

DE LA PILLIERE (Yves), sous-lieutenant au 1r bataillon de chasseurs: a brillamment entrainé son peloton à l'attaque d'une forte position ennemie, sous un feu très violent de mitrailleuses. A été mortellement blessé au moment ou il donnait le signal de la reprise du mouvement en avant.

DEBLANGEY (Louis-Victor), lieutenant a

204 rég. d'infanterie : venu récemment de la f cavalerie, commandait une compagnie qu'il a enlevée brillamment pour la porter à l'assaut des tranchées ennemies. Tué en arrivant au bord de la tranchée qu'il allait occuper.

(Ordre du 31 mai 1915.)

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GRULOIS (Gaston-Jules), mle 2447, adjudantchef au 280 règ, d'infanterie belle conduite au combat du 19 août 1914, au cours duquel il a été blessé.

JAILLET (Lucien), m' 189, sergent pilote à T'escadrille M. S. 15: le 16 mai, n'a pas hésité, avec un mousqueton, à attaquer un avion allemand armé d'une mitrailleuse qui survolait nos lignes. Après un combat de vingt minutes où il fit preuve des plus brillantes qualités de courage et d'adresse, a dù abandonner la lutte, atteint de deux balles dans la cuisse. A montré la plus grande énergie en atterrissant normalement, malgré sa blessure, et bien que son avion ait été atteint dans ses parties essentielles.

MOSCATI (Marcel), m'e 1135, soldat mécanicien à l'escadrille M. S. 15: le 16 mai, à bord d'un avion de chasse, a montré le plus grand sang-froid en attaquant, avec un mousqueton, un avion allemand armé d'une mitrailleuse, et n'a abandonné la lutte que l'avion crible de balles et son pilote sérieusement blessé.

MAURIN (Louis-Félix-Thomas), lieutenantcolonel d'artillerie au grand quartier général : envoyé en liaison dans différents secteurs de corps d'armée, pendant la préparation de l'attaque par l'artillerie, s'est porté résolument en première ligne aux observatoires de tranchées, où il a donné à tous l'exemple de la plus audacieuse et calme bravoure.

GRUNEWALD (Heari), sous-lieutenant de l'escadrille M. F. 32: observateur en avion d'une énergie et d'un sang-froid remarquables. N'a pas hésité, le 11 mai, à engager le combat contre un avion puissamment armé, qu'il a forcé à rentrer dans les lignes allemandes.

DEVIN (Charles), lieutenant de l'escadrille M. F. 32 officier de grande valeur et briliant pilote. A rendu de grands services comme observateur d'artillerie. N'a pas hésité, le 11 mai, à engager le combat contre un avion allemand puissamment armé, qu'il a forcé à rentrer dans ses lignes.

:

CORVAISIER (Pierre-Eugène), me 2933, adjudant au 31 bataillon de chasseurs a entrainé sa section en avant à la baïonnette avec un superbe mépris du danger sous un feu intense d'artillerie. A su communiquer, par son exemple, à sa troupe, l'ardeur magnifique qui l'animait. S'est maintenu plus de vingt-quatre heures sur la position qu'il avait atteinte avec quelques hommes de sa compagnie.

DE BOURVA (Lucien-Marie-Adolphe). capitaine au 31 bataillon de chasseurs: a conduit sa compagnie avec un sang-froid admirable, est tombé mortellement frappé au moment où il portait ses chasseurs en avant.

DITTE (André François), lieutenant au 31 bataillon de chasseurs officier remarquable, d'une bravoure communicative; blessé par une balle d'obus à la jambe droite, n'a cessé de commander sa compagnie jusqu'au moment où il a été frappé mortellement d'une deuxième balle

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GERRIET (Charles-Jules-François), sous-lieu- | tenant de réserve au 31 bataillon de chasseurs : officier aussi brave que modeste et d'une énergie exceptionnelle: Devant se porter en avant, n'a pas hésité à sortir des boyaux encombrés. Tué glorieusement en traversant volontairement un terrain battu par un feu violent pour amener plus vite sa section à sa place.

MORITZ (Georges), mle 01003, adjudant-chef au 31 bataillon de chasseurs très brave sousofficier. Par son sang-froid et son énergie, a contribué à reprendre une partie de tranchée qui avait été évacuée à la suite d'un bombardement intense, s'y est installé et a été tué glorieusement quelques instants après.

DE BLEGIER (Albert-Louis), mle 0524, sergent au 31 bataillon de chasseurs: a donné les preuves de la plus belle énergie et d'un superbe mépris du danger. Gravement blessé, est tombé en criant Vive la France, je meurs content: >>

DE CANTELOUBE DE MARMIES (Paul-MarieJoseph-Raymond), pilote;

DE CASTELLANE (Jean-Henri-Marie-MarcArnoult), observateur :

Capitaines du service de l'aviation d'une armée, étant chargés d'une mission spéciale, ont exécuté cette mission à la suite d'une reconnaissance de voies ferrrées, ayant juste le minimum d'essence nécessaire pour pouvoir effectuer leur retour dans nos lignes ont été canonnés plusieurs fois, et ont eu l'hélice et une pièce de leur avion endommagées par un éclat d'obus. Grâce à leur présence d'esprit et à leur sang-froid, ont réussi à maintenir en place la pièce endommagée et à atterrir sans accident, donnant ainsi un bel exemple de calme, d'énergie et de bravoure à l'aviation de l'armée.

DAMBERVILLE (Robert), pilote à l'escadrille M. S. 15, sous-lieutenant: a rendu comme pilote les plus grands services à l'aviation depuis le début de la guerre. A peine remis d'un très grave accident, a demandé à revenir sur le front où il a trouvé la mort au départ d'une mission de chasse.

PERET (Edmond), soldat, mécanicien à l'escadrille M. S. 15: au départ d'une mission de chasse où son pilote a trouvé la mort, a été gravement blessé et a fait preuve des plus belles qualités de sang-froid et de courage.

BANNELIER (Lucien), 2 canonnier servant, m'e 4290, du 4e rég. d'artillerie lourde: a fait preuve, depuis le début de la campagne, d'un dévouement absolu en toutes circonstances. Le 16 mai, étant téléphoniste à un observatoire de première ligne, a été blessé par un éclat d'obus et n'a quitté son poste, pour aller se faire soigner que sur l'ordre du maréchal des logis observateur.

HUET (René-Georges). m'e 04855, maréchal des logis au 1er rég. d'artillerie lourde: étant observateur au 1er étage d'une maison dans un village bombardé, fut précipité à terre par la chute d'un projectile de gros calibre qui démolit en partie la maison; constatant qu'il n'était que contusionné, remonta à son poste et continua à observer le tir bien que le bombardement n'eût pas cessé.

ISIDOR (Jacques). sous-lieutenant au 79 rég. d'infanterie officier d'une belle intelligence et d'un grand cœur. A brillamment enlevé sa section, le 9 mai, à l'assaut des tranchées ennemies et s'y est maintenu sous le feu le plus violent. Mortellement blessé après douze jours de combat sans interruption.

SÉROT-ALMEIRAS-LATOUR (Ludovic), lieutenant-colonel au 160 rég. d'infanterie: chef de corps de première valeur. Blessé au moment où il se portait à la tête de son régiment pour l'entrainer à l'attaque sous un feu violent d'artillerie et de mitrailleuses, a continué à encourager ses hommes qui se portaient en avant. (Ordre du 31 mai 1915.)

CHARBONNIER (Joseph-Edouard), sous-lieutenant de réserve au 31 bataillon de chasseurs : ROGER (Arsène), mle 8611, sergent à la comtué à la tête de sa section en l'entrainant bra-pagnie 4/6 du 1er rég, du génie s'est porté en vement à l'assaut sous un feu violent d'artil- tête d'une colonne d'assaut pour organiser un lerie lourde. entonnoir et a trouvé une mort glorieuse dans un corps à corps avec l'ennemi.

GRANDIN (Gaston-Joseph-Fernand), sous-lieutenant au 31 bataillon de chasseurs: le 11 mai, MACAIRE (Charles), lieutenant à la compas'est porté bravement en avant, entraînant sa gnie 4/6 du 1er rég. du génie depuis deux mois compagnie à l'assaut. A été tué debout sur le à exécuté avec le plus grand dévouement des parapet de la tranchée en criant: «En avant! | travaux de sape. A pleinement réussi à exécu

ter son travail sans donner l'éveil à l'ennemi. Au jour de l'attaque, a montré à la tête de ses sapeurs le plus bel exemple de conrage et de mépris du danger. A su les maintenir sous un feu violent d'artillerie pour l'exécution de ces travaux de mise en défense des entonnoirs conquis.

LES GROUPES D'ECLAIREURS DES 1er ET 4 REGIMENTS DE MARCHE DE SPAHIS: chargés de l'attaque d'un ouvrage allemand très fortement organisé, se sont formés pour l'assaut avec autant de calme qu'au terrain de manœuvre; se sont élancés à l'assaut, officiers en tête, avec une fougue et un courage admirables. Ont occupé la plus grande partie de l'ouvrage, s'y sont maintenus avec un mépris absolu du danger, malgré les fortes pertes que leur a fait subir le feu de l'artillerie et de l'infanterie allemandes.

POUGET (Ernest-Séraphin), m'e 420, maréchal des logis au 1er rég. de marche de spahis: après la disparition de son officier, a pris lo commandement de son groupe. A occupé des boyaux qu'il a fait aménager et a résisté à do violentes contre-attaques de l'ennemi. Ayant eu un bras emporté, a passé ses armes à un autre sous-officier, en lui disant: « Prends mes carto iches, je commanderai le feu.» A été tué peu de temps après d'une balle au front.

DROUARD (Henri), médecin major de 2 classe à la brigade de spahis: a donné un magnifique exemple de courag et de dévouement. Bieszé au cou par une balle et un éclat d'obus au moment où une attaque allait se déclincher, a refusé de quitter son poste. Pendant la nuit, a donné des soins à 200 blessés, a assuré Tevacuation vers l'arrière et n'a quitté son poste que le 10 au matin, sur un ordre forme, pour aller se faire extraire son éclat d ́obas. A rejoint son poste de première ligne deux jours après.

PAOLI (Charles-Orso-Fidèle), capitaine au 4 rég. de spahis: commandant un groupe d'attaque, l'a brillamment enlevé, s'est porte this rapidement aux entonnoirs proojus par une explosion de mines, puis dans un clan maznifique, s'est emparé de tranchées allemandes de première et de deuxième lignes. Sous un feu très violent d'artillerie et de lancement de grenades, a tenu les entonnoirs et la première ligne pendant six heures. A été blessé."

SIMON (Jean-Simon-Louis), m'e 1670, maréchal des logis au 4 reg. de spabis: a rait preuve des plus belles qualités de bravoure, de courage et d'énergie au cours de l'attaque des tranchées de première et de deuxie ne lignes. A organisé remarquablement la défeuse. Blessé grièvement, a refusé d'être pause et n'est revenu aux premières lignes de combat que complètement épuisé.

BACH (Charles-Edouard), mle 2511,maréchal des logis au 4e rég. de spahis: a donné à tous un bel exemple de courage et de bravoure en maintenant sous un feu violent d'artillerie et de grenades sa fraction qu'il avait conduite avec énergie jusqu'aux tranchées allemandes de deuxième ligne. Blessé une première fois, a refusé de se faire panser et est reste avec ses hommes jusqu'à ce qu'un éclat d'obus le tuất.

GAUDIN (Octave), m'e 012604. soldat au 204 rég. d'infanterie soldat intelligent et dévoué. Exemple constant du soldat parfait. N'a pas hésité, le 15 mai 1915, à se porter, sous un feu violent, au secours d'un camarade blessé qu'il a trainó dans nos lignes. S'est porté une deuxième fois en avant et a été tué au moment où il pansait un camarade.

TERRAZ (Adolphe), me 017459, caporal au 201 rég. d'infanterie au front depuis le début des hostilités, a toujours fait preuve du plus grand courage. S'est fait tuer héroïquement le 15 mai, en entrainant ses hommes à l'assaut dun fortin ennemi puissamment défendu.

SAGNER (Elie-Auguste-Emile), sous-lieutenant au 3 bataillon de chasseurs: commandait une section de mitrailleuses qui suivait les troupes d'attaque. Voyant hésiter une fraction de ces troupes, passa spontanément le commandement de la section de mitrailleuses à un sousofficier pour entrainer cette fraction à la tête de laquelle il tomba mortellement frappé.

LE GROUPE DES GRENADIERS DU 3o BATAILLON DE CHASSEURS A PIED: à l'attaque d'un ouvrage allemand très fortement organisé, se sont conduits d'une façon héroïque.

BIHAN (Albert), ml 4528, 2o canonnier servant

au 59 rég. d'artillerie : étant agent de liaison d'artillerie de tranchée auprès d'un commandant de bataillon de chasseurs, a suivi celui-ci sur la première ligne allemande, et, l'ayant vu tomber mortellement blessé, l'a ramassé et ramené, avec l'aide d'un camarade, dans les lignes françaises sous une pluie de balles.

BAJOLOT (Paul-Albert), sous-lieutenant au ge bataillon de chasseurs à pied; a fait preuve, A l'attaque de l'ouvrage blanc, d'un entrain remarquable. Blessé à la main droite, a pris son revolver de la main gauche et a continué à tirer. A reçu deux autres blessures dont une mortelle.

Au grade de sous-lieutenant et maintenus à leur corps.

(A dater du 18 septembre 1914.)

M. Lefrançois, adjudant au 1* reg. d'infanterie.

M. Badie, adjudant au 81 reg. dinfanterie.
M. Debie, adjudant au Ɛle rég. d'infanterie.

(A dater du 23 juin 1915.)

Au grade de lieutenant et maintenus à leur corps. (A dater du 24 juin 1915.)

M. Meunier, sous lieutenant au 329 rég. d'infanterie.

M. Ribaud, sous lieutenant au 42′′ règ, d'iufanterie.

M. Schulteiss, sous-lieutenant au 42 rég. d'infanterie.

M. Rémond, scus lieutenant au 12a règ, din

M. Simon, sergent-major au 323 rég. d'in- fanterie.

fanterie.

M. Carnus, sergent-major au 234 rig, d'infanterie.

M. Dumas, sergent-major au 234e reg. d'infan

CHRISTIANI (Pierre-Joseph-Gabriel), sous-lieutenant au 1er bataillon de chasseurs au moment où la compagnie était sur le point d'être accablée sous les efforts d'une violente contreattaque ennemie, a reporté en avant les chas-terie. seurs groupés par lui, s'est installé dans un entonnoir formé par l'explosion d'une mine dans lequel il a tenu malgré plusieurs offen-terie. Bives et sans liaison possible pendant dixsept heures, avec la première ligne. 1

GIRARDOT (Maurice-Marie-Charles-Joseph), lieutenant de réserve au 158e reg. d'infanterie : officier tout à fait remarquable par l'ardeur, Tintelligence, la bravoure calme. Blessé une première fois, le 14 septembre, une deuxième fois le 16 mars, blessé enfin le 10 mai de deux éclats d'obus, a assuré le commandement et T'action de sa compagnie avant de se faire panser.

BICHAT (Pierre-Ernest-Albert). chef de bataillon au 149e rég. d'infanterie: a conduit le 9 mai. son bataillon à l'attaque de positions ennemies fortement organisées et defendues, et a contribué puissamment au succès de l'opération. S'est maintenu le lendemain sur les hauteurs conquises, malgré la pluie de projectiles qui a fauché plus de la moitié de son effectf. (Ordre du 31 mai 1915.)

SERVICE D'ETAT MAJOR

MUTATIONS

Armée active.

Par décision ministérielle du 29 juin 1915:

M. Fournier, chef de bataillon breveté au 49e bataillon de chasseurs est mis ei activité hors cadre (état-major) (service), a dater du 22 juin 1915.

M. Perrochia, capitaine au 6 rég. de hussards, est détaché à l'état-major du 5e corps d'armée service), à dater du 20 juin 1915.

INFANTERIE

PROMOTIONS ET MUTATIONS

Armée active.

Par décision ministérielle, en date du 28 juin 1915, et par application du décret du 2 janvier 1915. les promotions et mutations à titre temporaire et pour la durée de la guerre, ci-après, Bont ratifiées:

Au grade de chef de bataillon.

(A dater du 23 juin 1915.)

M. Fatou, capitaine an 25e rég. d'infanterie.Affecté au 47 rég. d'infanterie.

Au grade de lieutenant et maintenus
à leur corps.

(A dater du 23 juin 1915.)

M. Nerrant, sous-lieutenant au 150 rég. d'infanterie.

M. Thomasi, adjudant au 2:2 rég, d'infan

M. Teilh, adjudant au 212 rég. d'infanterie. M. Noguès, adjudant au 212 reg. d infanterie. M. Bouzigues, adjudant au 212 reg. d'infanterie.

M. Courtiade Labardac, sergent au 212 rég. d'infanterie.

M. Harang, adjudant au 47 rég. d infanterie. M. Guillaume, adjudant au te reg. d'infanterie.

M. Grillet, aspirant au 47° rég. d'infanterie. M. Richard, sergent au 47 rég. d'infanterie. M. Michel, adjudant au 47 reg. d infanterie. M. Hourquebie, aspirant au 18° rég, d'infanterie. Affecié au 49 rég, d'infanterie.

M. Tréhout, sergent-major au 327 rég. d'infanterie.

M. Grouard, sergent-major au 2 reg dinfanterie.

M. Lecrioult, sergent-major an 23 reg. din fanterie.

M. Adam, adjudant au 25 rég d'infanterie. M. Bironneau, adjudant au te reg. dinfanterie.

M. Robin, aspirant, au 6ie rég. d'infanterie.

MUTATIONS

M. Fouchard, chef de bataillen, au 3 rég his de zouaves, passe au 4 bataillon de chasseurs.

M. Hue, chef de bataillon au 19 reg. dinfanterie, passe au 250 rég. d'infanterie.

M. Pommarède, chef de bataillon au 108 reg. d'infanterie, passe au 81 reg. d infanterie. M. Mercier, capitaine an 26 rég. d'infanterie, passe an 3ise reg. dinfanterie a dater du 13 juin 1915).

Au grade de sous-lieutenant et maintenuS a leur corps.

'A dater du 25 mars 1915)

M. Rémond, sous ofûcier au 42a rég, dinfanterie.

(A dater du 24 juin 1915)

M. Pidolle, adjudant au rég d'infanterie. M. Le Gouellec, al,udant an 2a règ. dinfanterie.

M. BonLissent, adjudant au 2 rég. d'infanterie.

M. Louvel, adjudant au 2 rég, di Lentorie.
M. Pillet, adjudant au 2′′ rég, dinin

M. Larchou, ajudint au 2o reg d... ...C. M. Gambini, adjudant au S reg dinfanterie. M. Babou, adjudant chef au 18 bataillon de chasseurs.

M. Fauré, adjudant-chef au 356* rig. d'in'anterie.

M. Saussard, adjudant chef au 36* reg. dinfanteric.

M. Desmyttère, maréchal des log's zu Vitreg. taillon de chasseurs. de dragons. - Vfecte temporalement au ye la

M. Brunel, maréchal des logis an A* rée de dragons. — Alfecte temporairement au de 1€5. dinfanterie.

MUTATIONS

M. Buhler, licatenant colonel au métrég dinfanterie, passe au 24o reg. d'nfanterie.

M. Bondet, lieutenant colonel an 37′ rég. d .nfanterie, passe au îe rég, dinfanterie.

M. Roland, lieutenant closel au 4 rég. de territorial, passe au reg. dinfanterie. M. Vary, chef de bataillon au 47′′ rezid infanterie, passe au 49 bata nou de chassears.

M. Jehenne, chef de batxilon au 19% reg. d'infanterie, passe an i reg. dinfanterie.

M. Delinas, chef de batuilon an 373 rég, dinfanterie, passe au 213 reg. d'infanterie.

M. Barberot, chef de bataillon au 133° rég.

Par décision ministérielle en date du 28 juin d'infanterie, passe au 5 batailion de chas

1915 et par application du decret du 2 janvier 1915, les promotions et mutations à titre temporaire et pour la duree de la guerre, ci-après, sont ratifiées.

Au grade de chef de batalion.

(A dater du 23 juin 1915.)

M. Guédon, capitaine au 130e reg. d'infanterie. Affecte au 2 reg. dinfanterie.

(A dater du 24 juin 1915.)

M. Latour, capitaine au 42 rég. d'infanterie. Maintenu.

M. Le Fer de la Gervinais, capitaine au rég. d'infanterie. - Maintenu.

Au grade de capitaine et maintenus à leur corps. (A dater du 21 juin 1915.)

M. Louvet, lieutenant au 2 règ. de marche

M. Gigodot, sous-lieutenant au 62 bataillon de tirailleurs. de chasseurs.

M. Delahaye, lieutenant au 3 rég. de marche M. Guizol, sous-lieutenant au 62 bataillen de de chasseurs d'Afrique. Affecte temporairechasseurs. ment au 2 rég. de zouaves.

seurs.

M. Pajon-Bardon, chef de bataillon an S reg. d'infanterie, passe au tuo reg. d'infanterie.

M. Gros, chef de bataillon au 2 rég. de marche du 1er étranger, passe zu 47 reg. dinanlerie à dater du is juia 1915),

M. Fusil, chef de batalion au 5 rég, d'infanterie, passe au 88 reg, diufanterie.

M. de Blois. sous lieutenant au 14 rég. de hussards, est affecte temporairement au 115” rég. d'infanterie.

GENDARMERIE

MUTATION

Armée territoriale.

Par décision ministérielle du 28 juin 1915, M. Thery, chef d'escadron, alfecté à l'état-major du département de la Seine, passe à la garde républicaine cavalerie) (service).

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M. Lanton (L.-A.), du 10° rẻg. à pied. 7e reg. à pied (service des chemins de fer à voie de 60 centimètres. exploitation et traction).

M. Meyrieux-Drevet (A.-J.), du 10 rég. à pied. 7e rég. à pied (service des chemins de fer à voie de 60 centimètres, exploitation et traction), M. Salomon (A.-F.), du 10° rég. à pied.- 7e rég. à pied (service des chemins de fer à voie de 60 centimètres, exploitation et traction).

SERVICE DE L'INTENDANCE

NOMINATIONS

Armée active.

1915, et par application des dispositions du déPar décision ministérielle en date du 27 jain temporaire, ci-après, sont approuvées: cret du 2 janvier 1915, les nominations à titre

Au grade d'officier d'administration de ♬ classe. Bureaux de Fintendance.

(A dater du 19 juin 1945.)

M. Alviset (Claude-Eugène, adjudant-chef à la & section de commis et ouvriers militaires d'administration.

M. Cazajeux (Henri-Louis-Marguerite, adjudant à la 15e section de commis et ouvriers militaires d'administration.

M. Odon (Edouard). adjudant à la 14 section de comunis et ouvriers militaires d'administration.

M. Maucourant (Léonard), adjudant à la Se section de commis et ouvriers militaires d'administration.

M. Rosset (Claude-Germain, adjudant à la 8 section de commis et ouvriers militaires d'administration.

Ces officiers d'administration sont maintenus dans leur affectation actuelle.

CADRE AUXILIAIRE DU SERVICE

DE L'INTENDANCE

NOMINATIONS

Réserve et armée territoriale.

Par décision ministérielle en date du 27 juin 1915, et par applications des dispositions du decret du 2 janvier 1915, les nominations à titre temporaire, ci-après sont approuvées:

Au grade d'officier d'administration de se classe. Bureaux de l'intendance.

(à dater du 19 juin 1915.)

M. Rioux André-Léon, adjudant du cadre auxiliaire, à la se section de commis et ouvriers militaires d'administration.

M. Saurage (Paul), adjudant du cadre auxiliaire à la o section de commis et ouvriers militaires d'administration.

M. Pinquet Barthelemy-Pierre-Fernand, adjudant du cadre auxiliaire à la 12 section de commis et ouvriers militaires d'administration.

M. Dauphinot (Georges-Léonard, sergent à la Ge section de commis et ouvriers nilitaires d'administration.

M. Pierrard Charles-Eugène) sergent à la 6e section de commis et ouvriers militaires d'administration.

Ces officiers d'administration sont maintenus dans leur affectation actuelle.

SERVICE DES POUDRES PROMOTIONS

Armée active.

Par décrets du 29 juin 1915, ont eté promus : Dans le corps des ingénieurs militaires des poudres, pour prendre rang à la date du 1er juillet 1915:

Au grade d'ingénieur en chef de 1re classe. M. Koehler (Marie-Gustave-Albert), ingénieur en chef de 2o classe (organisation).

Au grade d'ingénieur en chef de 2o classe. M. Vennin (Louis-Joseph-Marie ingénieur principal, en remplacement de M. Lheure.

Au grade d'ingénieur principal

M. Briotet (Emile-Claudius), ingénieur de 1re classe, en remplacement de M. Vennin. M. Marotel (Joseph-Lucien), ingénieur de 1re classe (organisation).

Au grade d'ingénieur de fre classe.

M. Gorgeot (Jean-Pierre-Charles-Henri, ingênieur de 2 classe, en remplacement de M. Briotet.

Dans le corps des agents chimistes militaires des poudres :

Au grade d'agent chimiste de re classe.
(Pour prendre rang du ferjuillet 1915.)

2 tour choix). M. Gabillion Robert-DenisConstant), agent chimiste de 2 classe organisation).

1er tour ancienneté. M. Friederich (JulesEugène), agent chimiste de 2 classe (organisation).

Au grade d'agent chimiste de classe.
(Pour prendre rang du 19 mai 1915.)

M. Desvergnes (Emile-Louis-Marcel), agent chimiste de 3e classe, en remplacement de M. Gabillion.

M. Despian Marcel, agent chimiste de 3e classe, en remplacement de M. Friederich. M. Scohy (Arthur), agent chimiste de 3r classe (organisation).

(Pour prendre rang du 1er juillet 1915.) M. Tricot (Eugène-François), agent chimiste de 3 classe (organisation

Dans le corps des agents techniques miätaires des poudres :

Au grade d'agent technique de classe, (Pour prendre rang du 1er juillet 1915.) M. Vigouroux (Jean), agent technique de 3 classe organisation).

M. Noguès (Edouard), agent technique de 3 classe organisation).

dans le corps des sous-agents techniques millPar décision du 29 juin 1915 ont été promus taires des poudres. à compter du 1er juillet 1945:

Au grade de sous-agent technique principal 1re classe.

2e tour 'choix). Bracq, Le Bouchet.

3e tour (choix). Labatut, Saint-Médard.

4 tour (choix. Le Gall (J.-P., Moulin-Blanc.

5e tour choix). Coiffard, Esquerdeq.

1er tour (ancienneté, Gasc, Saint-Médard.

Au grade de sous-agent technique principal de 2 clusse

2e tour (choix). Moussu, Ripault.

Au grade de sons-agent technique principal de s classe.

5 tour choir). Gourmelon, Moulin-Blanc. 1er tour (ancienneté. Charricau, Le Bouchet. 2e tour (choix), Kerhoas, Germain, Moun Blanc.

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Au grade de sous-agent technique de pre classe. 1er tour (ancienneté). Dargacha Sablé, SaintMédard.

2e tour (choix). Cailleau, Sevran-Livry.

Au grade de sous-agent technique de 2o classe. 1er tour (ancienneté). Quilichini, Angoulême. 2 tour (ancienneté). Allery, Sévran-Livry. 3 tour (choix). Betbeder, Angoulême.

1er tour (ancienneté). Maurin, Saint-Médard. 2 tour (ancienneté). Bayoux, Saint-Médard.

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M. Schneider (Jules-Auguste), adjudant au 28e bataillon de tirailleurs sénégalais.

M. Bourgeon (Auguste) adjudant-chef au 6e rég.

M. Singer (Joseph-Henri), adjudant-chef au 21¢ rég.

M. Klein (Louis-Marie-Eugène), adjudant au 5e rég.

M. Vergne (Paul), adjudant au 5e bataillon de tirailleurs sénégalais.

M. Leveque (Charles-Auguste) adjudant-chef au 6e rég.

M. Perignon (Félix-Justin), adjudant au 22e rég.

M. Vittori (Paul-Michel), adjudant au 24a rég. M. Chadenson (Aimé), adjudant au 6 rég. M. Fabre (Fernand), adjudant au 23 bataillon de tirailleurs sénégalais.

M. Merou (Désiré-Jean-Bertrand-Urbain), adjudant au 24e rég.

M. Bouteillier (Alexis), adjudant au 20 batail lon de tirailleurs sénégalais.

M. Serpaud (Robert - René), aspirant au 4. reg.

M. Espil (Jean), adjudant au 3 rég.
M. Spinosi (Camille Joseph), sergent-major au des femmes de France, à Saint Dié.

Mme Levy (Alphonsine) infirmière de l'union

22. rég.

M. Durandard (Joseph), sergent au 1er rég.

Réserve.

Par décision ministérielle en date du 30 juin 1915, les sous-officiers ci-après ont été nommés Sous-lieutenants à titre temporaire par application du décrot du 12 novembre 1914:

M. Guiu (Léon-Jules), adjudant-chef de réserve au 24 rég.

M. Negrerie (Marc-Basile), adjudant-chef de réserve au 24 rég.

M. Foulquier (Jean-Joseph), adjudant de réserve au 3 rég.

M. Monter (Antoine, adjudant de réserve au 23 rég.

M. Lescarret (Jean), adjudant de réserve au 7 rég.

M. Gazan (Joseph-Henri-Marie), sergent de réserve au 23 rég.

M. Calvet (Georges-Jules', sergent de réserve au 22e rég.

M. Dubosc (Fernand-Henri, sergent de réserve au 20 bataillon de tirailleurs sénégalais.

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Mlle Guetat (Germaine-Marguerite', dite Carmen, infirmière bénévole à Thopital annexe V. G. 3 (école polytechnique).

Me de Fourcade, née Layet, directrice de l'hôpital auxiliaire n° 115, à Bordeaux.

M. Daubois (David-Joseph, médecin aidemajor de 1re classe de l'armée territoriale, attaché à l'hôpital complémentaire n° 8, a Valence.

Me Duparc (Jeanne-Anatolie-Julie), infirmière de Tunion des femmes de France, à l'hôpital auxiliaire n° 101, à Amiens.

M. Langeron (Léon), médecin aide major de 2 classe de réserve, a l'hôpital regional pour contagieux militaires, à Bondonneau Drome.

Medailles de bronze.

Mme Cochin (Georgette), infirmière de l'union des femmes de France, à Saint-Dié.

Mile Lombard (Rose), infirmière de l'union des femmes de France, à Saint-Dié.

Mlle Savidan (Marie), infirmière de la société de secours aux blessés militaires, à SaintDié.

Mme Hulot (Marguerite), infirmière de l'union de femmes de France, à Saint-Dié.

Mile Reiss (Marguerite, infirmière de l'union des femmes de France, à Saint-Dié.

Mme Picaud (Aline), infirmière de l'union des femmes de France, à Saint-Dié.

Mme Pierrat (Jeanne infirmière de l'union des femmes de France, à Saint-Die.

Erratum au Journal officiel du 19 juin 1915;' page 4021, 1 colonne, du 5 au Se alinéa inclus, au lieu de MM. Ravinet. Cozette, Counierq, Coignard et Loubatière, heutenants au 96e paz, d'infanterie, passent au 81 rég d'infanterie, lire Maintenus au 96 reg. d'infanterie ».

Erratum au Journal officiel du 29 juin 1915: page 4359, 1re colonne, 15 alinea, au lieu de: M. Wesphalon-Lemaitre, sous lieutenant au 2286 rég. dinfanterie, lire : - M. Wesphalen. Lemaitre ..

Errata au Journal officiel du 1er juillet 1915: Page 4145, 3 colonne, 27 ligne, au lieu de: M. Fouan est affecte au rég. de cuirassiers, lire : « est affecté au 4 reg. de cuiras

siers .

Page 116, 2 colonne, 1 lgae, au lieu de: M. de Bourgoing Noel Antoine Charles-Mar, du 20 rég, de dragons, est affecte au reg de dragons », lire: M de Bourgoing Nontoine-Charles-Marie, du 2 réz dy dragons, est affecté au 29 reg. de dragons », 3′ colonne, ju lieu de Artillerie, nomination. Par decision | ministérielle du 26 juin 1945 », lire : » Artuier.e. nomination. Par décision ministérielle da 28 juin 1915.

MINISTÈRE DE LA MARINE

Par décret en date du 30 juin 1915 est promu dans la réserve de l'armee de mer:

Au grude de médecin de re classe. M. le médecin de 2 classsa de reserva d'Adhemar de Lantagnac (Victor-Hug) Leaadre-Aymar,.

Par décision ministérielle du 30 juin 1915 fes quartiers maltres dont les noms suivent out éle promus (comptes de notes completes.

(Pour compter du 1 janvier 1915.) Au grade de se oni mitre de man ruire. Le quartier-maltre de maneuvre Bourhis Henri Marie, Quimper 86, 71 points.

(Pour compter du 1er avril 1915.) Au grade de secon 1 maître de man xuire. (Jean-Marie, Brest 43128, 78 points. Le quartier-maître de manovre Abguillerm

Au grade de second maitre timonier. Le quartier-maître timonier Le Jeune (LouisFrançois-Marie, Brest 4981, 631 points.

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