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CHAP. IV. Que ce que l'auteur de la Recherche de la Vérité dit
de la nature des idées, dans son troisième livre, n'est fondé que
sur des imaginations qui nous sont restées des préjugés de l'en-
fance..
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CHAP. V. Que l'on peut prouver géométriquement la fausseté des
idées, prises pour des êtres représentatifs. Définitions, axiomes,
demandes pour servir de principes à ces démonstrations.
CHAP. VI. Explication de ces façons de parler: Nous ne voyons
point immédiatement les choses: ce sont leurs idées qui sont
l'objet immédiat de notre pensée ; et c'est dans l'idée de chaque
chose que nous en voyons les propriétés.............
CHAP. VII. Démonstrations contre les idées prises pour des êtres
représentatifs, distingués des perceptions...
Propositions à démontrer..
Première démonstration..
CHAP. VIII. Deuxième démonstration..
CHAP. IX. Troisième démonstration.
CHAP. X. Quatrième démonstration...
CHAP. XI. Cinquième démonstration.
CHAP. XII. De la manière dont l'auteur de la Recherche de la
Vérité veut que nous voyions les choses en Dieu. Qu'il a parlé
peu exactement, ou beaucoup varié, touchant les choses qu'il
prétend que l'on voit en Dieu.....
CHAP. XIII. Qu'il a varié aussi dans l'explication des manières
dont nous voyons les choses en Dieu. Que la première était par
les idées. Qu'il ne s'en est départi qu'en niant qu'il y ait dans le
monde intelligible des idées qui représentent chaque chose en
particulier, ce qui ne se peut nier sans erreur......
CHAP. XIV. Seconde manière de voir les choses en Dieu, qui est
de les voir dans une étendue intelligible infinie que Dieu ren-
ferme. Que ce que l'on dit sur cela, ou est tout à fait indigne de
Dieu, ou se con!redit manifestement.........
CHAP. XV. Que l'étendue intelligible infinie ne nous saurait être un
moyen de voir les choses que nous ne connaissons pas, et que
nous voudrions connaitre.....
CHAP. XVI. Que ce que cet auteur fait faire à notre esprit pour
trouver ses idées dans son étendue intelligible infinte, est con-
traire à l'expérience et aux lois générales que Dieu s'est pres-
crites à lui-même pour nous donner la connaissance de ses ou-
vrages.....
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CHAP. XVII. Autre variation de cet auteur, qui dit tantôt qu'on
voit Dieu en voyant les créatures en Dieu, et tantôt qu'on ne le
voit point, mais seulement les créatures.
.....
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CHAP. XVIII. De trois préjugés qui pourraient empêcher qu'on ne
se rende si facilement à ce qui a été dit contre la nouvelle phi-
losophie des idées, dont le premier est l'estime que l'on fait de
celui qui en est l'auteur.....
CHAP. XIX. Du deuxième préjugé, qui est que cette nouvelle phi-
losophie des idées fait mieux voir qu'aucune autre combien les
esprits sont dépendants de Dieu, et combien ils lui doivent être
unis.
CHAP. XX. Du troisième préjugé qu'en n'admettant point cette
philosophie des idées, on est réduit à dire que notre âme pense,
parce que c'est sa nature, et que Dieu en la créant lui a donné
la faculté de penser..
CHAP. XXI. Que quand cet auteur dit qu'il y a des choses que nous
voyons sans idée, ce qu'il entend par là n'est point assez démêlé,
et cause tant de confusion qu'on n'en peut avoir aucune notion
claire.
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CHAP. XXII. Que s'il était vrai que nous vissions les choses maté-
rielles par des êtres représentatifs (ce qui est la même chose à
cet auteur que de les voir en Dieu), il n'aurait eu nulle raison de
prétendre que nous ne voyons pas notre âme en cette manière.. 181
CHAP. XXIII. Réponse aux raisons que cet auteur apporte pour
montrer que nous n'avons point d'idée claire de notre âme, et
que nous en avons de l'étendue......
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CHAP. XXIV. Conclusions des raisons de cet auteur contre la
clarté de l'idée de l'àme. D'où vient qu'il ne l'a pu trouver dans
lui-même......
212
......
CHAP. XXV. Si nous connaissons sans idées les âmes des autres
hommes.
224
CHAP. XXVI. Si nous voyons Dieu en lui-même et sans idée..... 226
CHAP. XXVII. De l'origine des idées. Qu'il n'y a aucune raison
de croire que notre âme soit purement passive, au regard de
toutes ses perceptions, et qu'il est bien plus vraisemblable
qu'elle a reçu de Dieu la faculté de s'en former plusieurs...... 235
CHAP. XXVIII. Diverses réflexions sur ce que dit l'auteur de la
Recherche de la Vérité : Qu'on ne peut être entièrement assuré
de l'existence des corps que par la foi..
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CHAP. Ier. La conduite que j'ai tenue touchant le Traité de la Na-
ture et de la Grâce, par rapport à M. Arnauld, n'a pas dû lai
inspirer le chagrin qui paraît dans sa critique......
CHAP. II. M. Arnauld n'a pas dû sous un faux prétexte prendre le
change ni le donner aux autres, examinant du livre de la Recher-
che de la Vérité ce qu'il y a de plus abstrait et ce qui n'a nul
rapport au Traité de la Nature et de la Grâce, pour prévenir
contre moi le grand nombre de ceux qui aimeront mieux le croire
sur sa parole que de se fatiguer sur un procès de métaphy-
sique...
CHAP. III. Raisons pour lesquelles M. Arnauld est indispensable-
ment obligé de donner incessamment son examen du Traité de la
Nature et de la Grâce. Dogme nouveau qu'il avance sur la grâce
et la prédestination.......
CHAP. IV. Quels sont les principes du Traité de la Nature et de la
Grâce, et ce que doit faire M. Arnauld pour renverser cet ou-
vrage..
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CHAP. V. Quel est l'état de la question. M. Arnauld prétend que
les modalités de l'âme sont essentiellement représentatives des
objets différents de l'àme; et je soutiens que ces modalités ne
sont que des sentiments qui ne représentent à l'àme rien de
différent d'elle-même.
..........
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CHAP. VI. Preuves tirées de la Recherche de la Vérité que les
modalités de l'âme ne sont que l'objet immédiat de nos senti-
ments, et non celui de nos connaissances...
CHAP. VII. Quatrième preuve tirée de la Recherche de la Vérité,
chapitre 5 de la deuxième partie du troisième livre, et confirmée
par saint Augustin......
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CHAP. VIII. Extrait des Méditations chrétiennes, contenant plu-
sieurs preuves.
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CHAP. IX. Réponse à quelques objections..............
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CHAP. X. M. Arnauld suppose cinq ou six fois seulement ce qui
est en question, dans les définitions qu'il met avant ses préten-
dues démonstrations....
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CHAP. XI. Réfutation de la première Démonstration de M. Ar-
nauld...
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CHAP. XII. Réponse à la deuxième et troisième prétendue Dé-
monstration de M. Arnauld.
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CHAP. XIII. Réponse à la quatrième et à la dernière prétendue
Démonstration de M. Arnauld..
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CHAP. XIV. Réponse au douzième chapitre des Vraies et des Faus-
ses Idées.....
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CHAP. XV. Réponse au chapitre treizième.
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CHAP. XVI. Réponse au quatorzième chapitre.......
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CHAP. XVII. Réponse au quinzième chapitre.
377
CHAP. XVIII. Réponse au seizième chapitre..
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CHAP. XIX. Réponse au dix-septième chapitre.
392
CHAP. XX. Réponse aux dix-huitième, dix-neuvième et vingtième
chapitres......
396
CHAP. XXI. Réfutation de quelques réponses que fait M. Arnauld
aux preuves de mon sentiment...
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CHAP. XXII. Réponses aux vingt-unième et vingt-deuxième cha-
pitres......
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BIBL. UNIV.
CHAP. XXIII. On a une idée claire de l'étendue. On ne connaît
l'âme que par sentiment. L'idée qu'on a des corps suffit pour
démontrer que l'âme est immortelle. Il ne faut que cela pour
répondre en général aux vingt-troisième et vingt-quatrième cha-
pitres. .... Page 420
CHAP. XXIV. Réponse au vingt-sixième chapitre......
CHAP. XXV. Réponse au vingt-septième chapitre.....
CHAP. XXVI. Réponse au dernier chapitre.....
Conclusion.
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DÉFENSE DU DOCTEUR ARNAULD
CONTRE
LA RÉPONSE DE MALEBRANCHE.
Note de l'Éditeur......
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Lettre de M. Arnauld, docteur de Sorbonne, à M. le marquis de
Roucy, sur sa Réponse au livre des Idées..
DÉFENSE. - CINQUIÈME PARTIE.
Exemples remarquables qui montrent d'une part combien l'auteur
de la Réponse est injuste dans ses reproches personnels, et de
l'autre combien il est faible, confus et brouillé dans ses réponses
sur la matière des idées.....
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PREMIER EXEMPLE. - Faux principe: que les corps ne sont pas
intelligibles par eux-mêmes ou en eux-mêmes. Que ma pre-
mière démonstration l'a contraint de l'abandonner.......... Ib.
SECOND EXEMPLE. Autre faux principe que notre âme ne
peut voir les objets éloignés : que ma deuxième démonstra-
tion le lui a fait désavouer. Des trois autres démonstra-
tions......
TROISIÈME EXEMPLE. — Raillerie pélagienne de la grâce efficace
de Jésus-Christ. Faux raisonnement pour autoriser cette
absurdité, que nous ne voyons que Dieu lorsque nous
croyons voir les corps que Dieu a créés.............
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