Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 1Verdière, 1817 |
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... Hécube , si ces mal- heurs existaient sous nos yeux en réalité ? Ce spectacle , loin de nous être agréable , nous ferait mal ; et voilà le charme , le prodige de l'imitation , qui sait vous faire un plaisir de ce qui partout ailleurs ...
... Hécube , si ces mal- heurs existaient sous nos yeux en réalité ? Ce spectacle , loin de nous être agréable , nous ferait mal ; et voilà le charme , le prodige de l'imitation , qui sait vous faire un plaisir de ce qui partout ailleurs ...
Pagina 147
... Hécube ; ce qui n'empêche pas qu'on admire avec raison , dans ces deux pièces , des situations très - dramatiques , et une nature aussi vraie , aussi touchante , que celle de sa Phèdre et de quelques autres pièces , est fausse et ...
... Hécube ; ce qui n'empêche pas qu'on admire avec raison , dans ces deux pièces , des situations très - dramatiques , et une nature aussi vraie , aussi touchante , que celle de sa Phèdre et de quelques autres pièces , est fausse et ...
Pagina 148
... Hécube prend la parole ; elle se charge de confondre la femme de Ménélas , et paraît en venir à bout : mais , encore une fois , à quoi tout cela tend - il ? Qu'à distraire le spectateur pendant un acte entier de l'intérêt qui l'occupait ...
... Hécube prend la parole ; elle se charge de confondre la femme de Ménélas , et paraît en venir à bout : mais , encore une fois , à quoi tout cela tend - il ? Qu'à distraire le spectateur pendant un acte entier de l'intérêt qui l'occupait ...
Pagina 149
... Hécube est à vos pieds ; Hécube est mère , hélas ! Hélas ! n'arrachez point ma fille de mes bras ; Ne versez point son sang ; c'est assez de carnage . Mes revers sont affreux ma fille les soulage , Console mes vieux ans , adoucit mes ...
... Hécube est à vos pieds ; Hécube est mère , hélas ! Hélas ! n'arrachez point ma fille de mes bras ; Ne versez point son sang ; c'est assez de carnage . Mes revers sont affreux ma fille les soulage , Console mes vieux ans , adoucit mes ...
Pagina 150
... HÉCUBE . J'admire fon courage et je pleure ton sort . Si du fils de Pélée il faut venger la mort , Grecs , où va s ... HÉCUBE . Immolez toutes deux confondez à l'autel , Et le sang de ma fille , et le sang maternel . ULYSSE . Achille ...
... HÉCUBE . J'admire fon courage et je pleure ton sort . Si du fils de Pélée il faut venger la mort , Grecs , où va s ... HÉCUBE . Immolez toutes deux confondez à l'autel , Et le sang de ma fille , et le sang maternel . ULYSSE . Achille ...
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Parole e frasi comuni
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Brani popolari
Pagina 222 - N'importe , lève-toi. — Pourquoi faire , après tout ? — Pour courir l'Océan de l'un à l'autre bout , Chercher jusqu'au Japon la porcelaine et l'ambre, Rapporter de Goa
Pagina 180 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu ! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits.
Pagina 24 - II a peur que ce dieu, dans cet affreux séjour, D'un coup de son trident ne fasse entrer le jour, Et, par le centre ouvert de la terre ébranlée, Ne fasse voir du Styx la rive désolée; Ne découvre aux vivants cet empire odieux, Abhorré des mortels , et craint même des dieux...
Pagina 305 - Paraît digne à vos yeux d'une autre récompense, Si d'une mère en pleurs vous plaignez les ennuis, J'ose vous dire ici qu'en l'état où je suis Peut-être assez d'honneurs environnaient ma vie Pour ne pas souhaiter qu'elle me fût ravie, Ni qu'en me l'arrachant un sévère destin Si près de ma naissance en eût marqué la fin.
Pagina 308 - Prenez garde, seigneur : vos invincibles mains Ont de monstres sans nombre affranchi les humains ; Mais tout n'est pas détruit, et vous en laissez vivre Un...
Pagina 116 - M'ont d'avance affranchi de l'horreur de te voir. Vers Thébe sur tes pas ton camp se précipite : J'attache à tes drapeaux l'épouvante et la fuite. Puissent tous ces sept chefs , qui t'ont juré leur foi , Par un nouveau serment s'armer tous contre toi ! Que la nature entière à tes regards perfides S'éclaire en pâlissant du feu des Euménides...
Pagina 127 - C'est la faute des dieux, et non pas des mortels. De toute la vertu sur la terre épandue, Tout le prix à ces dieux, toute la gloire est due.
Pagina 153 - J'ai cru en cela me conformer à l'idée que nous avons maintenant de cette princesse.
Pagina 304 - Grâce aux dieux, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance ! Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir...
Pagina 47 - L'ennemi tortueux dont il est entouré. Le sang tombe des airs. Il déchire, il dévore Le reptile acharné qui le combat encore; II le perce, il le tient sous ses ongles vainqueurs; Par cent coups redoublés il venge ses douleurs. Le monstre en expirant se débat, se replie; II exhale en poisons les restes de sa vie; Et l'aigle tout sanglant, fier, et victorieux, Le rejette en fureur, et plane au haut des cieux.