Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 1Verdière, 1817 |
Dall'interno del libro
Risultati 1-5 di 74
Pagina viii
... pensées ingénieuses , fortes et vraiment philosophiques , rendues plus piquantes par la tournure et l'expression . Son défaut capital c'est la malheureuse facilité de retourner sa pensée sous toutes viij INTRODUCTION .
... pensées ingénieuses , fortes et vraiment philosophiques , rendues plus piquantes par la tournure et l'expression . Son défaut capital c'est la malheureuse facilité de retourner sa pensée sous toutes viij INTRODUCTION .
Pagina ix
... pensée sous toutes les formes possibles , jusqu'à ce qu'il l'ait épuisée . Il ne sait ni s'ar- rêter ni choisir ; il ... penser , on a voulu être penseur à toute force et à tout propos ; si l'on s'est cru obligé de s'appesantir sur les ...
... pensée sous toutes les formes possibles , jusqu'à ce qu'il l'ait épuisée . Il ne sait ni s'ar- rêter ni choisir ; il ... penser , on a voulu être penseur à toute force et à tout propos ; si l'on s'est cru obligé de s'appesantir sur les ...
Pagina 20
... pensé et elle in- siste ; moi , dis - je , et c'est assez . Le premier étonne , le second fait trem- bler , quand on ... pensée . Celui de l'expression s'offre encore dans une de ces productions du grand Corneille , où il n'est grand que ...
... pensé et elle in- siste ; moi , dis - je , et c'est assez . Le premier étonne , le second fait trem- bler , quand on ... pensée . Celui de l'expression s'offre encore dans une de ces productions du grand Corneille , où il n'est grand que ...
Pagina 21
... pensée , ou de la >> magnificence des paroles , ou du tour harmonieux , vif et animé de l'ex- > pression , c'est - à - dire , d'une de ces choses regardées séparément , ou , > ce qui fait le parfait sublime , de ces trois choses jointes ...
... pensée , ou de la >> magnificence des paroles , ou du tour harmonieux , vif et animé de l'ex- > pression , c'est - à - dire , d'une de ces choses regardées séparément , ou , > ce qui fait le parfait sublime , de ces trois choses jointes ...
Pagina 26
... , qn'on ne l'a- perçoit pas . Il faut donc que la force de la pensée ou du sentiment soit telle , qu'elle couvre la figure , et ne permette pas d'y songer » . >> Cela est d'un grand sens , et ce qui a 26 COURS DE LITTÉRATURE .
... , qn'on ne l'a- perçoit pas . Il faut donc que la force de la pensée ou du sentiment soit telle , qu'elle couvre la figure , et ne permette pas d'y songer » . >> Cela est d'un grand sens , et ce qui a 26 COURS DE LITTÉRATURE .
Altre edizioni - Visualizza tutto
Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 1 Jean-François de La Harpe Visualizzazione completa - 1817 |
Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 1 Jean-François de La Harpe Visualizzazione completa - 1817 |
Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne; Jean-François de La Harpe Visualizzazione completa - 1798 |
Parole e frasi comuni
aime anciens Aristote assez Athènes Athéniens avez beau beautés Catilina Caton César chant chose Cicéron citoyens cœur Crassus crime David Démosthène devant Diderot Dieu dieux dire discours divine doit donner écrit écrivains enfans ennemis Eschine Eschyle espèce Euripide eût génie genre gloire goût Grecs Hécube Homère homme Horace idées j'ai jamais jugement Juvénal l'art l'auteur l'autre l'éloquence l'esprit l'homme l'Iliade l'orateur l'un laisse langue latin long-temps lui-même malheur Ménélas ment mérite mieux mœurs morale morceau mort n'en n'était Néron orateurs ouvrages Ovide parler parole passer passion pensée père peuple Philoctete philosophie pièce plaisir Platon Plaute Plutarque poëme poésie poëte pouvait premier psaume qu'un Quintilien raison reproche république reste rien Romains Rome s'il sait Salluste satire scène semble sénat Sénèque sentimens sentir serait seul siècle Socrate Sophocle sorte souvent style sublime sujet surtout talent théâtre tion Tite-Live tragédie traits trouve vérité Verrès vertu veut Virgile Voilà Voltaire vrai
Brani popolari
Pagina 222 - N'importe , lève-toi. — Pourquoi faire , après tout ? — Pour courir l'Océan de l'un à l'autre bout , Chercher jusqu'au Japon la porcelaine et l'ambre, Rapporter de Goa
Pagina 180 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu ! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits.
Pagina 24 - II a peur que ce dieu, dans cet affreux séjour, D'un coup de son trident ne fasse entrer le jour, Et, par le centre ouvert de la terre ébranlée, Ne fasse voir du Styx la rive désolée; Ne découvre aux vivants cet empire odieux, Abhorré des mortels , et craint même des dieux...
Pagina 305 - Paraît digne à vos yeux d'une autre récompense, Si d'une mère en pleurs vous plaignez les ennuis, J'ose vous dire ici qu'en l'état où je suis Peut-être assez d'honneurs environnaient ma vie Pour ne pas souhaiter qu'elle me fût ravie, Ni qu'en me l'arrachant un sévère destin Si près de ma naissance en eût marqué la fin.
Pagina 308 - Prenez garde, seigneur : vos invincibles mains Ont de monstres sans nombre affranchi les humains ; Mais tout n'est pas détruit, et vous en laissez vivre Un...
Pagina 116 - M'ont d'avance affranchi de l'horreur de te voir. Vers Thébe sur tes pas ton camp se précipite : J'attache à tes drapeaux l'épouvante et la fuite. Puissent tous ces sept chefs , qui t'ont juré leur foi , Par un nouveau serment s'armer tous contre toi ! Que la nature entière à tes regards perfides S'éclaire en pâlissant du feu des Euménides...
Pagina 127 - C'est la faute des dieux, et non pas des mortels. De toute la vertu sur la terre épandue, Tout le prix à ces dieux, toute la gloire est due.
Pagina 153 - J'ai cru en cela me conformer à l'idée que nous avons maintenant de cette princesse.
Pagina 304 - Grâce aux dieux, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance ! Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir...
Pagina 47 - L'ennemi tortueux dont il est entouré. Le sang tombe des airs. Il déchire, il dévore Le reptile acharné qui le combat encore; II le perce, il le tient sous ses ongles vainqueurs; Par cent coups redoublés il venge ses douleurs. Le monstre en expirant se débat, se replie; II exhale en poisons les restes de sa vie; Et l'aigle tout sanglant, fier, et victorieux, Le rejette en fureur, et plane au haut des cieux.