Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 1Verdière, 1817 |
Dall'interno del libro
Risultati 1-5 di 93
Pagina 4
... république , après avoir élevé un roi . Les Athéniens lui donnèrent le lycée pour y ouvrir son école , et ce nom seul nous avertit que ce peu de mots que je viens de dire à sa louange , n'était pas déplacé dans cette assemblée . Ce sera ...
... république , après avoir élevé un roi . Les Athéniens lui donnèrent le lycée pour y ouvrir son école , et ce nom seul nous avertit que ce peu de mots que je viens de dire à sa louange , n'était pas déplacé dans cette assemblée . Ce sera ...
Pagina 43
... république avait contracté une sorte d'insensibilité et d'endurcissement , se récriabeau- coup sur la difficulté de bien rendre toute l'énergie du texte ; et , après avoir défié tous les traducteurs passés , présens et futurs , finit ...
... république avait contracté une sorte d'insensibilité et d'endurcissement , se récriabeau- coup sur la difficulté de bien rendre toute l'énergie du texte ; et , après avoir défié tous les traducteurs passés , présens et futurs , finit ...
Pagina 55
... République ; mais il n'est pas aussi commun de savoir comment ni pourquoi . On va recon- naitre des idées abstraites et élevées , mais aussi des conséquences forcées et sophistiques dans les motifs de l'exil auquel il condamne les ...
... République ; mais il n'est pas aussi commun de savoir comment ni pourquoi . On va recon- naitre des idées abstraites et élevées , mais aussi des conséquences forcées et sophistiques dans les motifs de l'exil auquel il condamne les ...
Pagina 56
... république qui n'a jamais existé que dans les livres de Platon ) un poëte qui » sache prendre toutes sortes de formes et tout imiter , et qu'il vienne >> nous présenter ses poëmes , nous lui témoignerons notre vénération » comme à un ...
... république qui n'a jamais existé que dans les livres de Platon ) un poëte qui » sache prendre toutes sortes de formes et tout imiter , et qu'il vienne >> nous présenter ses poëmes , nous lui témoignerons notre vénération » comme à un ...
Pagina 84
... république , dont toutes les démarches furent alors autant de fautes . Ce sénat consentait à flatter l'orgueil de Pompée , qui voulait être le pre- mier de l'état , et condamnait en même temps la fierté de César , qui refu- sait d'ètre ...
... république , dont toutes les démarches furent alors autant de fautes . Ce sénat consentait à flatter l'orgueil de Pompée , qui voulait être le pre- mier de l'état , et condamnait en même temps la fierté de César , qui refu- sait d'ètre ...
Altre edizioni - Visualizza tutto
Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 1 Jean-François de La Harpe Visualizzazione completa - 1817 |
Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 1 Jean-François de La Harpe Visualizzazione completa - 1817 |
Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne; Jean-François de La Harpe Visualizzazione completa - 1798 |
Parole e frasi comuni
aime anciens Aristote assez Athènes Athéniens avez beau beautés Catilina Caton César chant chose Cicéron citoyens cœur Crassus crime David Démosthène devant Diderot Dieu dieux dire discours divine doit donner écrit écrivains enfans ennemis Eschine Eschyle espèce Euripide eût génie genre gloire goût Grecs Hécube Homère homme Horace idées j'ai jamais jugement Juvénal l'art l'auteur l'autre l'éloquence l'esprit l'homme l'Iliade l'orateur l'un laisse langue latin long-temps lui-même malheur Ménélas ment mérite mieux mœurs morale morceau mort n'en n'était Néron orateurs ouvrages Ovide parler parole passer passion pensée père peuple Philoctete philosophie pièce plaisir Platon Plaute Plutarque poëme poésie poëte pouvait premier psaume qu'un Quintilien raison reproche république reste rien Romains Rome s'il sait Salluste satire scène semble sénat Sénèque sentimens sentir serait seul siècle Socrate Sophocle sorte souvent style sublime sujet surtout talent théâtre tion Tite-Live tragédie traits trouve vérité Verrès vertu veut Virgile Voilà Voltaire vrai
Brani popolari
Pagina 222 - N'importe , lève-toi. — Pourquoi faire , après tout ? — Pour courir l'Océan de l'un à l'autre bout , Chercher jusqu'au Japon la porcelaine et l'ambre, Rapporter de Goa
Pagina 180 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu ! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits.
Pagina 24 - II a peur que ce dieu, dans cet affreux séjour, D'un coup de son trident ne fasse entrer le jour, Et, par le centre ouvert de la terre ébranlée, Ne fasse voir du Styx la rive désolée; Ne découvre aux vivants cet empire odieux, Abhorré des mortels , et craint même des dieux...
Pagina 305 - Paraît digne à vos yeux d'une autre récompense, Si d'une mère en pleurs vous plaignez les ennuis, J'ose vous dire ici qu'en l'état où je suis Peut-être assez d'honneurs environnaient ma vie Pour ne pas souhaiter qu'elle me fût ravie, Ni qu'en me l'arrachant un sévère destin Si près de ma naissance en eût marqué la fin.
Pagina 308 - Prenez garde, seigneur : vos invincibles mains Ont de monstres sans nombre affranchi les humains ; Mais tout n'est pas détruit, et vous en laissez vivre Un...
Pagina 116 - M'ont d'avance affranchi de l'horreur de te voir. Vers Thébe sur tes pas ton camp se précipite : J'attache à tes drapeaux l'épouvante et la fuite. Puissent tous ces sept chefs , qui t'ont juré leur foi , Par un nouveau serment s'armer tous contre toi ! Que la nature entière à tes regards perfides S'éclaire en pâlissant du feu des Euménides...
Pagina 127 - C'est la faute des dieux, et non pas des mortels. De toute la vertu sur la terre épandue, Tout le prix à ces dieux, toute la gloire est due.
Pagina 153 - J'ai cru en cela me conformer à l'idée que nous avons maintenant de cette princesse.
Pagina 304 - Grâce aux dieux, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance ! Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir...
Pagina 47 - L'ennemi tortueux dont il est entouré. Le sang tombe des airs. Il déchire, il dévore Le reptile acharné qui le combat encore; II le perce, il le tient sous ses ongles vainqueurs; Par cent coups redoublés il venge ses douleurs. Le monstre en expirant se débat, se replie; II exhale en poisons les restes de sa vie; Et l'aigle tout sanglant, fier, et victorieux, Le rejette en fureur, et plane au haut des cieux.