Bibliothèque Latine-Française, Volume 114C. L. F. Pancoucke, 1836 |
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Pagina xviii
... Laisse un instant cette étude sévère : Décembre , au jeu livrant la ville entière , Roule à grand bruit les cornets incertains , Les dés fripons du rusé victimaire . Ma muse , à l'aise en ces jours de loisir , Ose t'offrir ces légers ...
... Laisse un instant cette étude sévère : Décembre , au jeu livrant la ville entière , Roule à grand bruit les cornets incertains , Les dés fripons du rusé victimaire . Ma muse , à l'aise en ces jours de loisir , Ose t'offrir ces légers ...
Pagina 38
... laisse retomber les plis de sa toge , déclare la guerre à Carthage et retourne à Rome avec la députation . Pendant ce temps , Annibal , qui avait laissé Sa- gonte pour soumettre quelques peuplades ennemies , recommence le siège . Les ...
... laisse retomber les plis de sa toge , déclare la guerre à Carthage et retourne à Rome avec la députation . Pendant ce temps , Annibal , qui avait laissé Sa- gonte pour soumettre quelques peuplades ennemies , recommence le siège . Les ...
Pagina 79
... Ebre . Prends pour toi la sainte justice et la foi des traités , et laisse - moi les dieux que je brave . » Murrus lui répond : « Tu arrives à souhait : depuis Deceptos mihi linque Deos . » Cui talia Murrus : LES PUNIQUES , LIV . I. 79.
... Ebre . Prends pour toi la sainte justice et la foi des traités , et laisse - moi les dieux que je brave . » Murrus lui répond : « Tu arrives à souhait : depuis Deceptos mihi linque Deos . » Cui talia Murrus : LES PUNIQUES , LIV . I. 79.
Pagina 87
... laisse reposer son ardeur guerrière : il n'a plus souci que de son chef et du péril qui le menace . Cependant , les Rutules , entraînés au loin sur les mers , commencent à voir surgir du sein des flots les Et nebulosa jugis adtollere ...
... laisse reposer son ardeur guerrière : il n'a plus souci que de son chef et du péril qui le menace . Cependant , les Rutules , entraînés au loin sur les mers , commencent à voir surgir du sein des flots les Et nebulosa jugis adtollere ...
Pagina 109
... laisse rentrer la flèche au fond de son carquois . A la vue du trépas de ses deux fils , leur père , dans un mouvement de douleur et de rage , saisit trois fois son arc , et trois fois sa main retombe , oublieuse de son art et vaincue ...
... laisse rentrer la flèche au fond de son carquois . A la vue du trépas de ses deux fils , leur père , dans un mouvement de douleur et de rage , saisit trois fois son arc , et trois fois sa main retombe , oublieuse de son art et vaincue ...
Parole e frasi comuni
æquore æther agmina Alpes Annibal arces arma armée armes armis atque bella Boïens bouclier bras cæde camp campo caput carnage Carthage Carthaginois casque castra ciel cohortes combat conjux consul corpore coursiers cruore Cryxus d'Annibal decus dextra Didon dieux ductor Énéide enfans ensis Fabius fata flammes fleuve flots front glaive gloire guerre punique gurgite hæc Hannibal Hannon Haud héros Hinc hostem hostis ille inpia inter Jamque javelot Junon Jupiter l'ennemi labor lance Latium Lefebvre de Villebrune leto Libye Libyens litora Lixus Lucain magna Magon Marte Massyles membres montagnes mort Murrus Namque Nasamon nomen nunc omnes orbem patrie pectore père peuples plaine Pline poète præceps pugnæ quæ quam quum rage remparts rives Romains Rome Ruperti Rutules Sagonte sang sanguine Scipion sénat sidonien Silius Italicus soldats super Superi Sychée Tarpeia terre tibi Tite-Live Trasymène Trébie trépas tyrien vertice Virgile viri virum
Brani popolari
Pagina 370 - Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses javelots, Pousse au monstre, et d'un dard lancé d'une main sûre II lui fait dans le flanc une large blessure. De rage et de douleur le monstre bondissant Vient aux pieds des chevaux tomber en mugissant, Se roule, et leur présente une gueule enflammée Qui les couvre de feu, de sang, et de fumée.
Pagina 332 - La seconde guerre punique est si fameuse que tout le monde la sait. Quand on examine bien cette foule d'obstacles qui se présentèrent devant Annibal, et que cet homme extraordinaire surmonta tous, on a le plus beau spectacle que nous ait fourni l'antiquité.
Pagina 404 - Les ligueurs fatigués ne lui résistent plus, .:. Ils quittent les remparts, ils tombent éperdus. Comme on voit un torrent, du haut des Pyrénées, Menacer des vallons les nymphes consternées: Les digues qu'on oppose à ses flots orageux Soutiennent quelque temps son choc impétueux ; Mais bientôt, renversant sa...
Pagina 350 - Les visages hâves b des malheureux qui languissent dans les infectes vapeurs des mines, de noirs forgerons, de hideux cyclopes, sont le spectacle que l'appareil des mines substitue, au sein de la terre, à celui de la verdure et des fleurs, du ciel azuré, des bergers amoureux et des laboureurs robustes, sur sa surface1.
Pagina 370 - A travers les rochers la peur les précipite; L'essieu crie et se rompt : l'intrépide Hippolyte Voit voler en éclats tout son char fracassé ; Dans les rênes lui-même, il tombe embarrassé.
Pagina 406 - Dans le cristal sonnant plonge l'urne pesante. De leurs roseaux touffus les trois nymphes soudain Volent, fendent leurs eaux, l'entraînent par la main En un lit de joncs frais et de mousses nouvelles. Sur leur sein, dans leurs bras, assis au milieu d'elles, Leur bouche, en mots mielleux où l'amour est vanté, Le rassure et le loue et flatte sa beauté. Leurs mains vont caressant sur sa joue enfantine De la jeunesse en fleur la première étamine, Ou sèchent en riant quelques pleurs gracieux Dont...
Pagina 407 - Ils abordent sans peur, ils ancrent, ils descendent, Et courent se livrer aux mains qui les attendent. Nous nous levons alors, et tous en même temps Poussons jusques au ciel mille cris éclatants. Les nôtres à ces cris de nos vaisseaux répondent ; Ils paraissent, armés. Les Maures se confondent, L'épouvante les prend à demi descendus ; Avant que de combattre ils s'estiment perdus.
Pagina 377 - Les rois qui ne songent qu'à se faire craindre, et qu'à abattre leurs sujets pour les rendre plus soumis , sont les fléaux du genre humain.
Pagina 333 - Ceux-ci sont arlisans, forgerons, mineurs, enchanteurs. Ils aiment l'or, le sang, le plaisir. Ils élèvent des tours d'une ambition titanique , des jardins aériens , des palais magiques , que l'épée des guerriers dissipe et efface de la terre. La lutte se reproduit sur toutes les côtes de la Méditerranée , entre les Phéniciens et les Grecs. Partout ceux-ci succèdent aux comptoirs, aux colonies de leurs rivaux dans l'Orient, comme feront les Romains dans l'Occident. Voyez aussi avec quelle...
Pagina 407 - Dieu ! cria Turenne, arbitre de mon roi, Descends, juge sa cause, et combats avec moi : Le courage n'est rien sans ta main protectrice ; J'attends peu de moi-même, et tout de ta justice.