Taygète, me disois-je, le triste murmure de la mer est le premier son qui ait frappé mon oreille en venant à la vie. A combien de rivages n'ai-je pas vu depuis se briser les mêmes flots que je contemple ici! Qui m'eût... Oeuvres complètes - Pagina 305di François-René vicomte de Chateaubriand - 1831Visualizzazione completa - Informazioni su questo libro
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1810 - 392 pagine
...d'un chasseur , et sortant du château , j'allai m'asseoir sur une haute colline d'où l'on aperçoit le détroit britannique. » Comme Ulysse regrettant...premier son qui ait frappé mon oreille , ,en venant ù la vie. A combien de rivages n'ai-je pas vu depuis se briser les mêmes flots que je contemple ici?... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1822 - 364 pagine
...d'un chasseur , et sortant du château j'allai m'asseoir sur une haulc colline d'où l'on aperçoit le détroit britannique. » Comme Ulysse regrettant...son qui ait frappé mon oreille , en venant à la rie. A combien de rivages n'ai-je pas vu depuis se briser les mêmes flots que je contemple ici? Qui... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 400 pagine
...les Troyenncs exilées aux champs de la Sicile, je rdois la vaste étendue des flots, et je pleurois. au pied du mont Taygète, me disois-je, le triste...frappé mon oreille en venant à la vie. A combien de ri ù-je pas vu depuis se briser les m< flots que je contemple ici! Qui m'eût dit, il ya côtes d'Italie,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 246 pagine
...d'un chasseur, et, sortant du château , j'allai m'asseoir sur une haute colline d'où l'on aperçoit le détroit Britannique. « Comme Ulysse regrettant...triste murmure de la mer est le premier son qui ait frappe mon oreille en venant à la vie. A combien de rivages n'ai-je pas vu depuis se briser les mêmes... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1840 - 748 pagine
...respirer l'air de la campagne. Je jetai une peau d'ours sur mes épaules, j'armai mon bras del'épieu d'un chasseur, et, sortant du château, j'allai m'asseoir...champs de la Sicile, je regardois la vaste étendue desflols, et je pleurois. « Né au pied du montTaygète, medisols-je, le triste murmure de la mer... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1843 - 768 pagine
...consul. Л 'aurais pu m'appliquer les réflexions d'Eudore , s'il est permis de и citer soi-même : « Le triste murmure de la mer est le premier « son qui ait frappé mon oreille en venant a la « vie. A combien de rivages n'ai-je pas vu depuis « se briser les mêmes flots que je contemple... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 554 pagine
...chasseur , et , sortant du château , j'allai m'asseoir sur une haute colline, d'où l'on apercevait le détroit britannique. « Comme Ulysse regrettant...les Troyennes exilées aux champs de la Sicile , je regardais la vaste étendue des (lots , et je pleurais. Né au pied du mont Taygète , me disais-je,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1852 - 558 pagine
...chasseur , et , sortant du château , j'allai m'asseoir sur une haute colline , d'où l'on apercevait le détroit britannique. « Comme Ulysse regrettant...les Troyennes exilées aux champs de la Sicile, je regardais la vaste étendue des Dots , et je pleurais. Né au pied du'mont Taygète , me disais-je... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1861 - 622 pagine
...et le danger croissant pour moi tous les jours, je supposai des lettres de César qui m'ordonnoient de renvoyer les prisonniers. Velléda voulut me parler...mer est le premier son qui ait frappé mon oreille u en venant à la vie. A combien de rivages n'ai-je pas vu depuis se « briser les mêmes flots que... | |
| François-René de Chateaubriand - 1859 - 460 pagine
...consul. J'aurais pu m'appliquer les réflexions d'Kudore, s'il est permis de se citer soi-même : « Le triste murmure de la mer est le premier son qui...oreille en venant à la vie. A combien de rivages u'ai-je pas vu depuis se briser les mêmes flots que je contemple ici ! Qui m'eût dit, il ya quelques... | |
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