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né à Bordeaux en 1827, mort à Decaze-|a| ville en 1880].

Fables nouvelles recueillies par garçon meunier à Grandvagne. Agen (Aurillac), Michel et Médan, 1875, in-12, VI et 120 pp.

COUSIN (le) JACQUES [Beffroy DE REIGNY, né le 6 novembre 1757].

Cet écrivain humoristique fut en son temps l'objet d'une grande vogue, mais b aujourd'hui on ne s'en souvient guère. Charles Monselet lui a consacré une notice dans son curieux travail intitulé: « Les oubliés et les dédaignés ». Paris, PouletMalassis, 1857, t. II, p. 177 à 250.

Il fut d'abord un abbé mondain, et il se lança dans la littérature frivole alors fort à la mode.

Il fit paraître trois poèmes d'une extravagance achevée: Malborough, Turlututu, Hurluberlu; il y joignit une sorte de potpourri qui ne forme pas moins d'un gros volume appelé : « Les petites Maisons du Parnasse ».

En 1785, il était marié, et il dût cher-| cher dans sa plume des moyens d'existence; il fonda un journal étrange qu'il intitula: « Les Lunes du Cousin Jacques », que Monselet qualifie d'Almanach de proses et de vers sur tous les sujets possibles ou impossibles ».

Les «Lunes » parurent d'abord tous les mois, ensuite tous les 15 jours; leur succès dans la bourgeoisie et dans la noblesse de province dépassa les espérances de l'auteur; chaque numéro forme un petit volume d'environ cent pages. Une collection complète est d'une extrême rareté. Elles parurent jusqu'en 1790, avec quelques interruptions momentanées et en changeant parfois de titre. Ce fut : « Le Courrier des Planètes », et puis « Le Cousin Jacques » tout court. « Il suffit de jeter les yeux sur la première page. On est << confondu, abasourdi de ces folâtres ma<< nières; les licences qu'il prend avec ses << abonnés surpassent l'imagination la plus) « folle ».

Tantôt ce sont des pages entières imprimées en sens inverse, des pages toutes blanches; d'autres fois, c'est le titre qu'il change et qu'il remplace de la sorte: «Les fameuses Lunes du fameux Cousin Jac-| ques, ce grand homme ».

Le cousin Jacques était excellent musicien et il avait un véritable talent del compositeur. Les airs de ses chansons sont presque toujours son ouvrage; il y en a de charmantes.

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Il avait tout ce qu'il fallait pour réussir sur divers théâtres, et il vit bientôt les Directeurs s'empresser de lui ouvrir leurs portes.

Il débuta par une pièce intitulée : « Les Ailes de l'Amour ». Elle fut chantée et dansée par les comédiens italiens, et elle obtint un succès des plus flatteurs. Malgré ce succès, le cousin Jacques vit sa carrière théâtrale fort compromise par les graves évènements qu'amena l'arrivée des troubles révolutionnaires. La prise de la Bastille faisait tourner toutes les têtes, le cousin voulut en écrire le récit, il composa un volume qu'ii intitula : « Histoire de France pendant trois mois ». Mais il n'avait sans doute pas saisi le ton qu'il fallait prendre, et le livre resta délaissé chez son éditeur. Le cousin revint à ses « Lunes », mais les événements se succédaient trop Cvite et avaient trop de gravité pour que d'innocentes plaisanteries fort goûtées en 1785 ou 1786 eussent beaucoup de succès en 1790 ou en 1791. Les derniers numéros du journal sont attristés par des plaintes amères sur les embarras pécuniaires de l'auteur que frappèrent les faillites de plusieurs libraires. Il se trouva réduit. à ouvrir une petite boutique d'écrivain public. Bientôt il ne put plus suffire aux dfrais de son journal; il resta écrasé par la formidable concurrence que lui firent les journaux de plus en plus surrexcités par les événements qui se succédèrent avec une effrayante rapidíté. Les « Lunes » cessèrent de paraître; mais le cousin Jacques n'était pas homme à se décourager; il chercha dans le théâtre une ressource nouvelle; il se trouva en possession d'une vogue à laquelle lui-même ne s'attendait pas. «La Fédération du Parnasse », sorte de divertissement improvisé, obtint dans le cours d'un seul niois, 31 représentations sur le théâtre du Beaujolais.

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Une pièce qu'il intitula : « Nicodème dans la Lune, remplie d'allusions politiques qui furent saisies avec empressement, obtint un succès qu'on peut qualifier d'inouï. Le public ne se lassa pas de la voir arriver à quatre cents représentations. Plusieurs acteurs lui durent leur réputation. « Nicodème ou la Révolution pacifique», comédie en 3 actes et en prose, fut représentée sur le Théâtre-Français lyrique ci-devant des Variétés-Amusantes.

Elle fit entrer plus de cent mille écus dans la caisse du directeur de ce théâtre, tandis qu'elle ne rapporta plus guère de 1500 livres à son auteur. Il donna au théâtre de la rue de Feydeau les Deux

Nicodèmes, mais l'agitation politique était la montée de la rue jusque sur les planches du théâtre et la représentation fut le motif de troubles graves.

Vint ensuite un « Nicodème aux Enfers », en cinq actes, qui obtint une vingtaine de représentations. Revenant aux beaux jours de sa carrière littéraire, le Cousin fonda un journal : « La nouvelle Lune », qui mourut bien vite devant l'indifférence publique; il donna alors « le Consolateur ou Journal des honnêtes gens », par cahier de 25 pages environ. Il attaquait surtout les partisans alors en vue du système révolutionnaire. Il eut le courage en 1792 d'attaquer les jacobins et de prendre la parole en faveur de Louis XVI; mais la partie devenait trop périlleuse, la révolution du 10 août était imminente, et le dernier numéro porte la date du 7 de ce mois. Pendant la fiévreuse année 1793, le Cousin ne resta pas oisif; revenant toujours à son thème favori, il publia un volume intitulé: « La Constitution de la Lune, rêve politique et moral ». Cette Constitution est le tableau d'un régime républicain, de concorde et de paix; elle manquait singulièrement d'à-propos. Au milieu de bien des extravagances que l'auteur s'est complu à prodiguer, on rencontre des idées très justes, des passages très sensés. Presqu'en même temps, il fit jouer une pièce qui reçut un accueil favorable Allons ça va, ou le Quaker en France ». Après avoir traversé non sans peine les redoutables crises de la Terreur, le Cousin Jacques complètement ruiné ne se découragea point; il donna à divers petits théâtres un grand nombre de pièces complètement oubliées aujourd'hui, mais que le public accueillit avec sympathie. L'une d'elles, «Turlututu, empereur de l'île Verte», peut passer pour reproduction de «Nicodème dans la Lune ». En l'an VIII, époque où le calme était revenu dans les esprits, le Cousin tenta une excursion dans le champ de la politique; il publia un « Dictionnaire néologique des hommes et des choses». C'était une œuvre incohérente, remplie de récriminations contre le régime révolutionnaire qui n'existait plus; la police en arrêta la publication à partir de la lettre C. Ce dictionnaire devenu introuvable aujourd'hui offre quelques particularités intéressantes noyées dans bien des!

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détails inutiles. Divers biographes fixent au 19 décembre 1811, à Charenton, la date de la mort du Cousin Jacques; mais Charles Monselet a constaté qué le fécond écrivain était décédé le 17 décembre de la même année, dans son domicile, rue de Sèvres, no 2.

CRANILE (Adrien). [Adrien ARCELIN]. Solutré ou les chasseurs de rennes de la France centrale, histoire préhistorique, par Adrien Cranile (Arcelín). Paris, 1872, in-8, fig.

CRISTAL. [Maurice GERMA, né en 1827].

I. La légende d'amour, 1854, 6 vol. in-16.

Recueil de nouvelles et de poésies.

II. L'art scandinave, la musique. 1854, in-8.

III. Le drainage. 1856, in-18.

IV. Les délassements du travail. 1861, in-8.

V. Le jardinier des appartements. 1863, in-18.

VI. Des articles dans le « Musée des familles », I' Illustration », etc.

CROY (Raoul de). [Le comte AndréRodolphe-Claude-François SIMEON].

I. Excursion d'un artiste paysagiste en Italie. Limoges, Barbou frères, 1874, in-4.

II. Marie, étude du foyer domestique. Limoges, Barbou frères, 1868, in-12.

CUPIDON. [Charles MONSELET, né à Nantes en 1825, mort en 1888].

Parmi les nombreux écrits de ce spirituel écrivain, on peut distinguer Les oubliés et les dédaignès.. Paris, Poulet-Malassis, 1864, 2 vol. in-12. C'est

une série d'articles intéressants relatifs à divers

auteurs de la fin du siècle dernier; il est fàcheux que Monselet n'ait pas donné suite a l'idee qu'il avait conçue de donner de plus amples développements a cette galerie. Nous mentionnerons parmi les diverses productions de Monselet, « La lorgnette litteraire », piquante revue d'écrivains contemporains.

CURRER BELL. [Miss BRONTI].

I. Professeur (le), trad. par Mme Henriette Loreau. Paris, Hachette, 1869, fin-18, 303 pp.

II. Jane Eyre. 2 vol.
III. Le professeur, 1 vol.
IV. Shertey. 2 vol.

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D. (Em.) [Emmanuel DARMET, de Nantua].

Jacques Maissiat, notice biographique. Bourg, imp. Villefranche, 1880, in-8, 55 pp.

D*** [DELON DE SARNACH]. Angélique, comédie - féérie. Genève, Joly, 1778, in-8.

D*** (le docteur). [DELACROIX].

De la connaissance du tempérament. Paris, 1828, in-8.

Plusieurs réimpressions sont in liquées au « Cat. de la bibl. nationale; médecine », t. II, p. 265.

D... (Gaston). [DEUERBROUCK]. Fables. Paris, Jouaust, 1872, gr. in-8, 252 pp.

Tiré à petit nombre et point mis dans le com

merce.

D*** (le sieur). [BOILEAU-DESPRÉAUX]. OEuvres diverses. Paris, D. Thierry, 1694, 2 vol. in-12.

Une des plus curieuses éditions de Boileau. Voir

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D. L. F. [DE LA FONTAINE].

Nouvelles en vers tirées de Boccace et de l'Arioste. Paris, Barbin, 1665, in-12, 36 fts.

Il n'y a que deux contes, « Joconde» et le « Cocu battu et content; outre la « Matrone d'Ephèse traduction de Pétrone en prose, par Saint-Evremond, c'est l'édition originale. En 1665, Barbin donna une édition de nouveaux contes avec le nom de l'auteur, 11 fts, 92 pp. et un ft pour le privilège. On y trouve dix contes et quelques autres poésies; on en fit immédiatement une réimpression elzévirienne et deux contrefaçons imprimées on ne sait où avec le nom de Louys Billaine sur le titre. La seconde partie des contes et nouvelles (les deux premiers

une très longue note du catalogue Larochebilière, recueils avaient été fondus en un), Paris, Barbin, 1616,

no 513, p. 270.

D*** [la comtesse NELLY].

Demain et le parti de l'appel au peuple. Paris, Lalouette, 1881, in-18.

D***, ex-législateur. [DEPOMBEROUSSE]. Code Napoléon en vers français. Paris, 1811, in-12.

D. B. [BUSSY-RABUTIN].
Comédie galante. 1687, in-12.

C'est un des volumes les plus difficiles à rencontrer de la collection elzévirienne. Pieters, p. 430, l'indique sous la rubrique de Cologne, Pierre Marteau, mais il la cite sans l'avoir vue, tandis que le Manuel du Libraire » le mentionne sous son véritable titre.

pour 1666, in-12, 6 fts, 160 pp. et 2 fts pour le privilege; beaucoup d'exemplaires portent la date de 1667. Très rare. La première impression de la première partie qui ne contient que deux contes. 2850 fr. Potier, 1870. Les deux ensemble, 4850 fr. La Rochebillière.

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Pièce satirique dirigee contre les maisons de jeu.

DACAN (Emile). [Paul ROMARIN]. I. Un amour à Spa, scènes de la vie des eaux. Spa, J. Coffin, 1872, in-12.

II. L'école buissonnière, Suisse et Savoie. Lemerre, 1867, in-12.

III. Le médaillon. Le curé de Millecey. Libr. de la société des gens de lettres, 1875, in-32.

DAME DE LA COUR DE FRANCE. [La marquise de LAMBERT].

Réflexions nouvelles sur les femmes, par une dame de la cour de France. A Londres, chez J.-P. Coderc, in Little Newport street (Paris?). MDCCXXX, in-12 de 10 ff. limin. et 68 pp., 1 ft blanc.

DANE LYLO. [Le marquis Eugène DE LONLAY].

Nouveau fruit défendu, par Dane Lylo. Paris, chez les principaux libraires (1864), in-16 de 64 pp.

DEB. [DEBOTTIÈRE].

Androclès ou le lion reconnaissant, mélodrame. Paris, 1804, in-8.

DE F*** (Mme). [Mme BACONNERE DE GALVERSE].

Rival (le) par amitié, ou Frontin Quakre, comédie en un acte et en vers. Paris, au Bureau de la Petite Bibliothèque des théâtres, 1784, in-18 de VII-42 pp.

D'après l'avertissement de l'éditeur, il y a deux éditions antérieures, dont la première imprimée à la suite d'un morceau de littérature d'un genre différent ».

DELLOYE (Ernest). [B. DE MARCQ]. Rome pendant sa captivité sous le pontificat de Pie IX. Paris, 1878, in-12, 373 pp.

DELORME (Gustave). [Louis-Gustave
LEVAVASSEUR, né en 1819].
Napoléon, 1840.

C'est une satire politique.

DENNERY (Adolphe). [Philippe d'ENNERY].

I. Les amours de Paris, drame en 5 actes. Lévy, 1866, in-12.

II. Les deux orphelines, drame en 5 actes. Tresse, 1875, in-12.

III. Le prince de Maria. Lévy frères, 1873, in-12.

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DENYS L'ARÉOPAGITE (auteur supposé).

Les livres attribués à l'Aréopagite présentent un phénomène étrange. Entièrement inconnus aux premiers temps de l'ère chrétienne, ils apparaissent pour la première fois au commencement du VI siècle; ils se répandent alors avec rapidité, ils sont traduits, commentés et le bnom vénéré qu'ils portent leur fait traverser tout le moyen-âge.

Au XVIe siècle, lorsque la critique se réveille, l'authenticité de ses écrits est vivement discutée; on s'étonne de la facilité avec laquelle ils ont été accueillis comme l'oeuvre d'un disciple de saint Paul; on reconnaît que c'est après deux siècles environ entre la mort de Denys et la composition des écrits qu'on lui a si clongtemps attribués. Il reste bien des incertitudes qui ne seront probablement jamais discutées sur l'époque à laquelle les livres en question ont été rédigés.

Les ouvrages qui portent le nom de l'Areopagite sont au nombre de cinq la Hiérarchie céleste, la Hiérarchie ecclésiastique, les Noms divins, la Théologie mystique, un Recueil de lettres adressées les unes à des personnages comme l'apôtre dsaint Jean et l'évêque saint Polycarpe, les autres à des personnages inconnus comme Caïus et le moine Démophile.

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On peut regarder ces divers ouvrages comme l'œuvre du même auteur; ils se rendent témoignages les uns aux autres par de longues citations; ils ont de telles affinités de style qu'il est impossible de ne pas leur assigner une origine

commune.

L'auteur renvoie fréquemment à d'autres écrits de sa composition, dont il ne nous est parvenu aucune trace et auxquels aucun écrivain n'a fait la plus légère allusion. Une traduction des écrits de l'Aréopagite fut entreprise par Eugène Scot; elle a été l'objet de discussions dont nous n'avons pas à nous occuper.

Nous pouvons mentionner parmi les travaux relatifs aux écrits qui portent le nom de Denys l'Aréopagite les Scolies de Jean Scythopilès (VIe siècle), celles de Denys le Chartreux (XVe siècle), la paraphrase de Pachynore, celle de Jean Sarrazin.

Les diverses éditions de l'Aréopagite se sont succédées depuis l'an 1539, date de la première qui vit le jour à Bâle. Citons encore aussi celles de Venise, 1558, de Paris, 1562.

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à Anvers par les soins de Balthazar Cor-|a| der, et qui fut reproduite avec des améliorations importantes à Paris en 1644, par les soins de Antonin Etienne.

Les œuvres de l'Aréopagite ont été comprises dans les diverses éditions de la bibliothèque des patrons et dans la Patrologia græca publiée par l'abbé Migne. Elles ont été analysées et discutées dans les divers ouvrages relatifs à la Patrologie; elles font l'objet d'une dissertation de M. Léon Montel. Paris, Joubert, 1848,| in-8 de 140 pp.

DEVAUX. [L'abbé LEMONNIER].

Bon fils (le), comédie mêlée d'ariettes, musique de Philidor. Paris, Vee Duchesne, 1793.

DI (M.). [DIDIER].

Avis de plusieurs musiciens sur les poésies de Ph. Desportes et autres des plus excelans poètes de nostre temps; réduits en quatre parties par M. Di.

DOLENT (Jean). [Charles FOURNIER]. I. Une volée de merles. Paris, Dentu, 1862.

C'est par erreur qu'on a, à plusieurs reprises, mis le prénom Antoine au lieu de Charles.

II. Avant le déluge. Cournol, 1871, III. L'Insoumis. Cournol, 1871, in-12. IV. Le roman de la chair. Cournol, 1866, in-16.

DONCOURT (L. S. de). [AntoinetteJoséphine-Aimé SIMON DE LATREICHE].

I. L'Australie, esquisses et tableaux. Lille, Lefort, 1869, in-12.

II. Les Fastes militaires de France. Lille, Lefort, 1869, in-8.

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III. Fleurs des martyrs au XIXe siècle. Lille, Lefort, 1867, in-8.

IV. Souvenirs des ambulances. Lille, Lefort, 1873, in-8.

DORA D'ISTRIA. [Hélène GHIKA, princesse KOLZOGF MASSALSKY, née à Bucharest en 1829].

Des femmes par une femme. Librairie internationale, 1869, 2 vol. in-12. DUCHESNE (Alphonse). [DESFONCLIÈRES].

Articles dans le journal le « Rabelais ». DUCLEUT (Abdon). [Abel Ducondut, étudiant].

L'oiseau moqueur sur une branche de houx, par Abdon Ducleut, étudiant. Paris, Ledoyen, petit in-12, VIII, 49 pp. et la table.

DUGURD (LE). [DURAND DE BEAUREGARD].

Vaudevilliste.

DU PARC CHAMPENOIS (le Seigneur). [DENIS SAUVAGE].

Circé (la) de M. Giovan Baptista Gello, academic florentin; nouvellement mise en françoys. Rouen, Robert et Jehan de Gouste, 1551, in-16.

DUPIN (A. M. J. J.). [Jean-Gottlieb HEINECCIUS]. HEINECKE, plus connu sous le nom de

Précis historique du droit romain, et « Réflexions sur l'étude et l'enseignement du droit ». Ces deux écrits ont été composés en mettant en français le latin de Heinecke.

DURAND (Etienne). [Hippolyte VERLY]. De Flandre en Navarre. Lille, Leleu, 1875, in-12.

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