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PAUL BEN

PETRUS AURELIUS

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vives attaques contre les mœurs de Calvin, Viret, dela des plus zélés, elle est entrée dans la Bibliothèque Beze et les autres chefs de l'eglise de Genève.

PAUL BEN. [Paul CHAREAU] et A. DES

REZ.

Science de bien vivre, ou Monographie de la cuisine. 1841, in-8.

PAYSAN DE LA SAULX (In). [Le docteur F. S. CORDIER, de Brillon Meuse),j médecin à Paris, auteur d'un ouvrage remarquable intitulé: « Les champignons de la France ». Paris, 1870, gr. in-8].

Bie (la) coumédie a in acte et an patois Meusien; par in paysan de La Saulx. (Sainte-Menehould, typographie de Poignée-Darnaud), s. d., in-8, 40 pp.

Cette comédie a été donnee, avec le nom de l'auteur, en tête de l'ouvrage intitulé: « Coumedies an patois Meusen, la Bie, l'Echainge, la Dispute ». Barle-Duc, Contant-Laguerre, et à Paris, A. Aubry, 1870, in-8.

PEARL

(Cora). [Emma - Elisabeth CRUCH, née en février 1812, morte en juillet 1886].

Elle fut pendant quelques années la célébrité la plus en vue du demi-monde. On a publié en 1886 ses prétendus mémoires qui n'ont nullement attiré l'attention publique.

PÈNE (J. B. F.) [DE MONTOUSSÉ].

Rapéïde (la), ou Victoires et Discours remarquables de Carlin Napée, mon protecteur et mon très fidèle ami, lieutenantgénéral du lion en Europe, de race noble, pur sang, etc. Poème héroï-comique en VI chants, égayé par des plaisanteries, mais rempli de sérieuses vérités, avec des notes placées à la fin du poème. Bagnèresde-Bigorre, impr. de Plassot, 1859, in-18 de 88 pp.

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PÈRE DUCHESNE.

Nous lisons dans l'« Intermédiaire

« Hatin, si indispensable d'ailleurs, est. en ce qui concerne cette partie de la bibliographie revolutionnaire, tout-à-fait insuffisant et même errone;| plusieurs des series qu'il a indiquees doivent être « modifices, completees surtout par une citation plus textuelle de l'épigraphe et de l'indication

« relative au lieu où s'imprimait le journal; d'autres qui paraissent avoir echappe a l'auteur, meritent d'être signalees, celle-ci entr'autres caracterisée par les mots : SACRÉE CALOTTE, places en mémes] « caracteres et immediatement au-dessous des mots : MEMENTO MORI de la vignette. Les feuilles d'Hebert « et celles de Lemaire sout ici hors de cause. Ce qu'on sait a leur egard paraît définitif. »

Une collection des plus considerables d'ecrits et de journaux de tous genres avait été formee par un avocat nomme Deschiens et fut acquise par le comte de la Bédoyère, et, après la mort de ce bibliophile]

b

c

nationale.

Le catalogue en a été imprimé en 1862; il forme un volume in-8 de 687 pages. On y trouve des renseignements etendus sur les imitateurs du veritable pere Duchene.

Nous citerons les suivants:

Je suis le veritable pere Duchène, foutre! Grande joie, grande colere, etc. 19 numéros de 8 pag. in-8, s. d. Chacun des numeros porte la vignette du père Duchesne, les fourneaux renversés a ia fin. Les neuf premiers sont numerotes, les autres ne le sont pas. Duchene (le pere), Grande joie, etc., par Lebon, an VI. 27 numeros de 8 pag. in-8, avec vignette sur chaque numero.

Grande colere du père Duchène en pied, tenant d'une main une longue pipe et de l'autre une bouteille; en feuilles.

Grande fureur, grande joie du père Duchène avec 2 croix de Malte au lieu de fourneaux. Toutes les feuilles portent la vignette Memento mori ».

La Résurrection du veritable pere Duchene, foutre ! commencee le 3 nivôse an 3. 41 numeros de 8 pag. Les Soirées du père Duchene. 3 numeros de 8 pag. Le pere Duchène qui va se marier. 25 opuscules qui semblent être une publication régulière. Chaque numero porte la vignette du pere Duchene; en ff.

On trouvera d'ailleurs des renseignements très étendus sur les diff. « père Duchene » dans l'important ouvrage de M. Hatin sur la presse periodique française. Un bibliographe mort il y a une dizaine d'années, M. Ch. Brunet a publié sur le journal d'Hebert et sur ses imitateurs, un petit volume qui, sans épuiser ce sujet, fournit un bon nombre de renseignements dutiles.

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PEREGRINUS. [BALDUINUS JUNIUS]. Principus Hollandiæ et Zelandiæ. Åntuerpiæ, 1632, pet. in-8.

PEREY (Lucien). [Me HERPIN].
I. La jeunesse de Mine d'Epinay.

II. Les dernières années de Mine d'Epinay, par Lucien Perey et Gaston Maugras. Calmann Lévy.

PETIT (LE) ANGEVIN. [Jean MAUGIN]. L'amour de Cupido et de Psiché, prise des cinq et sixième livres de Licius Apuleus et nouvellement historiée et exposée tant en vers italiens que français. Paris, Janot, 1546, in-16 de 48 ff.

Jean Maugin est un des plus habiles graveurs sur bois qu'ait produits le XVIe siècle.

PETRI PENTAREI SIDERATI. [Ferdinandi DE SANTANDER].

Ars constructionis et memoriæ.

PETRUS AURELIUS. [L'abbé DE S'CYRAN].

En 1632, une violente émotion agita les écoles théologiques; le pape Urbain VIII avait envoyé en Angleterre en qualité de vicaire apostolique un évêque in partibus

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de Chalcédoine, qui se trouva bientôt aux a prises avec les moines catholiques qui se trouvaient encore dans la Grande-Bretagne et surtout avec les jésuites, au sujet des droits épiscopaux qu'ils revendiquaient avec rigueur et non sans quelque impudence. L'évêque s'adressa à l'assemblée du clergé de France afin de solliciter son appui. La Sorbonne et l'archevêque de Paris censurèrent les écrits des jésuites. Le tout puissant cardinal de Malapieri les b appuyait de son côté. Ce fut alors que parut le livre de Petrus Aurélius, livre savant et non exempt de passion, qui soutenait avec une rare vigueur les droits de l'Episcopat.

Ce gros in-folio latin qui plaida en faveur du gallicanisme, se présenta d'abord sous forme de brochures détachées qui eurent un très vif succès de circonstance.

Le nom d'Aurélius n'avait pas été choisi c sans dessein, c'était le prénom de St Augustin, et déjà l'évêque d'Ypre, le célèbre Jansénius en relations avec St Cyran préparait ces fameuses thèses qui devaient avoir dans l'église des querelles aussi longues que prolongées.

D'après St Cyran, c'était non pas une monarchie, mais une autocratie sous la conduite des évêques. L'assemblée du clergé de 1635 renouvela des tentatives d déjà faites pour connaître le véritable nom de l'écrivain qu'elle regardait comme le défenseur de ses droits; elle vota une somme en faveur de l'imprimeur Morel.

L'assemblée de 1641 fit réimprimer l'ouvrage à ses frais; celle de 1643-46 décréta une seconde réimpression et chargea l'évêque de Grasse, Godeau, de composer un éloge que l'on plaça en tête du volume.

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Les jésuites n'acceptèrent pas sans résistance ces témoignages d'honneur prodigués à leur adversaire; leurs écrivains soutinrent que l'assemblée du clergé était loin d'avoir offert l'impartialité qu'on lui prêtait. L'assemblée de 1643 qui se tenait hors Paris avait donc été l'objet d'une surprise. Le Roi était intervenu; il avait donné des ordres au chancelier et l'imprimeur Vitré, bien moins heureux que son f collègue, fut arrêté par ordre du lieutenant criminel et tous les exemplaires restants furent saisis chez lui.

St Cyran fut regardé de tous côtés, amis et ennemis comme le véritable auteur de l'« Aurélius »; il se maintint jusqu'au bout dans un secret obstiné, insensible aux éloges ainsi qu'aux attaques.

On peut supposer qu'il fut tout au

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PICROCHOLE. [PHILIBERT].

Lettres sur l'Australie. Paris, Challamel, 1881, in-8, 135 pp.

PIROUETTE. [COQUELIN cadet].
Fariboles. Paris, Ollendorf, 1882, in-4.

PLASSAC (de). [Josias GOMBAUD, b seigneur de Plassac et frère d'Antoine Gombaud, chevalier de Méré, qu'il ne faut pas confondre avec les Brossin de Méré].

Lettres de M. de Plassac. Paris, Antoine de Sommaville, 1648, in-8, 12 ff. prél., 670 pp. chiff. et 1 p. chiff, pour le privil.

PLATON, auteur supposé.

L'authenticité du « Sophiste » a été contestée. Un mémoire de Charles Huit sur cette question est inséré dans les << Séances et travaux de l'Académie des sciences morales et politiques», nouvelle série, t. XII, p. 734; t. XIII, p. 134 et 310.

Dans un article publié par le « Rheinischer Museum » en 1862, M. Schaarschmidt a vivement pris à partie le « Sophiste » et conclut à sa radiation de la liste platonicienne. En 1866, dans un travail d'ensemble sur l'œuvre de Platon, il a repris cette thèse << Dia Sammlung der platonischen Schriften», Bonn, en la fortifiant d'arguments nouveaux. MM. Hayduck et Alberti, ont soutenu l'opinion contraire; M. Weisse a pris incideminent la défense du « Sophiste ». En Allemagne, le dernier mot reste aux adversaires de l'authenticité. M. Grote dans son vaste travail sur Platon, qualifie ce dialogue de compliqué et d'impénétrable ». Dans la traduction de Cousin, le « Sophiste » est sans argument, la question n'est pas traitée. M. Fouillée dans sa << Philosophie de Platon » (1869, 2 vol.), admet l'authenticité; M. Huit conclut contre.

PLUTARCHII.

De Placitis philosophorum.

Longtemps cet ecrit a éte regardé comme authentique; un savant italien. Corsini, en a fait paraître en 1750 a Florence une edition estimée, et il n'exprime pas le moindre donte sur le droit de proprieté du polygraphe; les recentes recherches de M. Diels ont etabli que cet ouvrage, sans perdre toute son autorité. avait éte compose apres et d'après un livre plus ancien dont l'auteur pourrait être un certain Actius, personnage peu connu.

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Délaissé pendant près de trois siècles, [le « Songe de Poliphile» a décidément été de nos jours l'objet d'une faveur méritée. La vieille traduction qui avait vu le jour chez Jacques Kerver en 1545 est très défectueuse, le traducteur a retranché sous prétexte de longueur tout ce qu'il n'entendait pas et la majeure partie du texte qu'il avait sous les yeux échappait complètement à son intelligence. Toutefois, son livre obtint 3 éditions successives, mais il dut surtout cette faveur aux jolies gravures sur bois qui le décorent. Le nom de Béroalde de Verville, devenu célèbre grâce à l'attribution contestable de la paternité du « Moyen de parvenir », se lit sur le titre de la deuxième traduction française publiée comme offrant le « Tableau des riches inventions, couvert du voile des feintes amoureuses qui sont dans le songe de Poliphile ». Béroalde avait conçu l'idée assez étrange que l'auteur italien s'était proposé d'expliquer dans ces récits énigmatiques le secret de la pierre philosophale. Personne n'a été tenté de se rallier à une idée aussi étrange.

En 1804, un architecte, M. Legrand, voulut tirer Poliphile de l'obscurité où il était tombé; il donna de l'« Hypterotomachie » une traduction tout-à-fait défectueuse. Il fit subir au texte de nombreuses suppressions, et il convient franchement qu'il a parfois ajouté toutes les fois qu'une idée originale inspirait; ce sont là ses expressions; le travail de Legrand ne peut donc nullement servir à faire connaître l'œuvre imprimée à Venise. Il fallait donc aborder de nouveau une tentative restée infructueuse, et c'est ce qu'a fait M. Claudius Popelin, sans se laisser rebuter par les difficultés qu'il avait en face de lui. Peutêtre parmi les auteurs qui ont parlé du livre en question, est-il le seul qui l'ait lu depuis la première page jusqu'à la dernière, avec la volonté parfaitement arrêtée d'en percer toutes les ténèbres et de le comprendre à fond. On ne résoudra sans doute jamais la question de savoir si Columna était réellement un moine italien

et si l'Appolia à laquelle il adresse sesta
hommages était une personne réelle; mais
ce qu'il y a de certain, c'est que pour
l'aborder, il faut être doué de profondes
connaissances polyglottes car l'auteur de

Hypterotomachie» fait usage d'un dialecte qui n'appartient qu'à lui: l'idiòme de Venise se mêle au latin, au grec, parfois même à l'hébreu, et forme une macaronée] dont on ne trouverait nulle part un pareil exemple, et ce qui augmente les tortures b auxquelles est livré l'interprète, c'est que d'innombrables fautes typographiques et une ponctuation tout-à-fait arbitraire défigurent dans le texte de 1499 le sens de bien des phrases. La traduction de M. Popelin a été publiée par l'éditeur Isidore Liseux; elle reproduit les gravures qui donnent un attrait tout spécial à l'œuvre de Columna. Renvoyons d'ailleurs à une notice de M. Alcide Bonneau, insérée dans un volume publié en 1887 par ce même éditeur, sous le titre de « Curiosa », pages 190 à 211.

POLY... (M.), auteur de la brochure: Des partis en France et dans la Chambre des députés pendant la session de 1822. [Ant.-J. MAHUL].

Tactique de M. de Villèle. Paris, Pélicier, in-8, 31 pp.

POLYMÈNE,

Sur la mort imaginaire et veritable de Molière; vers libres. Paris, 1673, in-12,

7 pp.

M. Paul Lacroix, dans sa Bibliographie moliéresque », émet l'opinion que cet opuscule est l'oeuvre de d'Assoucy, auteur d'un livre intitule: L'Ombre de Molière, mais ce n'est pas exact et le véritable

Le Livre commode des adresses de Paris. Blegny etait un pharmacien qui, en publiant sous un nom supposé un répertoire des adresses de Paris. avait pour but principal de faire connaître les medicaments qu'il voulait vendre au public. Sa carrière fut agitée, il fut arrête à Angers, et resta 8 ans prisonnier au château. Rendu à la liberté, il se retira a Avignon, alors terre papale, et il y mourut en 1722, a l'âge de 80 ans.

Le livre que nous devons à ce triste personnage est curieux a plus d'un titre.

L'auteur prit le titre d'astrologue Lionnois dans la premiere edition qui avait pour titre : « Les adresses de la ville de Paris, avec le tresor des almanachs, livre commode, en tous lieux, en tous temps et en toutes conditions ».

De Blegny n'etait pas Parisien. Nous ignorons, d'ailleurs, le lieu et la date de sa naissance; on peut supposer qu'il était originaire de Lyon.

It debuta par divers ouvrages de médecine, œuvres de charlatanisme dont le succes fut assez grand. Il se fit ensuite journaliste médical et sous le titre cde: Nouvelles decouvertes dans toutes les parties de la medecine, il se mit à publier, en 1679. une sorte de gazette mensuelle qui tint ce qu'elle promettait. Toutes les découvertes étaient passées en revue, mais bien entendu l'auteur ne vantait que les remèdes dont la vente devait lui rapporter quelques benéaces.

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Des plaintes s'eleverent et, par arrêté du Conseil en 1682, il fut enjoint à de Blegny de cesser la publication de son journal; mais cette interdiction n'eut pas de suites, de Blegny avait eu l'art de se concilier quelques protecteurs puissants parmi lesquels figurait le propre frere du Roi, le duc d'Orleans, qui autorisa de Blegny à mettre sur sa boutique:

Chirurgien ordinaire du corps de Monsieur ». Toutefois, des ordres plus formels le forcerent, en 1683, a interrompre la publication à Paris de son journal qu'il transporta en Hollande, pays qui était alors le refuge de tous les écrivains brouilles avec la police française.

Un médecin de Niort nommé Gautier, éditait à Amsterdam ce que lui envoyait de Blegny. On trouvait dans cette gazette toutes sortes de choses, des

nom de l'auteur des Vers libres demeure ignore.epieces de vers melees a de petits traites de medecine, Voir le catalogue J. de Rothschild, tome II, p. 95.

PONSON (Pierre-Alexis). [Il a joint à son nom celui de DU TERRAIL, né en 1829, mort en 1871].

Doué d'une fécondité extraordinaire et d'une imagination des plus actives, il a composé un grand nombre de romans qui ont trouvé une multitude de lecteurs.

Nous citerons entr'autres :

I. Diane de Lancy. Dentu, 1880, in-16. II. La corde du pendu. Benoist et Cie, 1877, in-4.

III. Le filleul du roi. Dentu, 1876, 2 vol. in-12.

IV. La juive du Château-Trompette. Lévy, 1887, 3 vol. in-12.

PRADEL (Abraham du). [Nicolas DE BLEGNY].

des chansons avec leur musique, des nouvelles politiques, le tout mêlé de beaucoup de méchancetés. Pendant ce temps, Blegny faisait à Paris des cours de chirurgie et de pharmacie; il s'attira ainsi la haine de la Faculte irritee de voir un intrus empieter avec arrogance sur son domaine.

Les ouvrages de medecine de Blegny sont tombés dans le plus profond oubli et ne meritent nullement d'en être retires, mais le Livre commode» merite un meilleur sort. C'est ce qu'a tres bien compris un fsavant auquel tout ce qui concerne Paris a la fin du

XVIIe siecle est connu dans ses moindres details. M. Edouard Fournier en publiant l'ouvrage de Blegny dans la Bibliothèque elzevirienne en 1878 (2 vol. in-16) et en y joignant un commentaire très étendu, a rendu un service tres important a toutes les personnes qu'interessent l'histoire intime de Paris a l'epoque où allait se terminer le règne de Louis XIV.

PRÉCY (Jules de). [FLEURY].

Un des rédacteurs de la « Liberté ».

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PROTOPLASTE (Le Père). [FLÉCHIER]. Ja Un Sermon facétieux publié sous ce nom a été attribué à Fléchier, mais cette attribution soulève bien des doutes.

PYB. (De). [DE PIBRAC].

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II. Les plaisirs de la vie rustique. Paris,

I. Cinquante quatrains contenant pré- Fédéric Morel, 1578, in-4, 9 fts.

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I. L'arc-en-ciel. Charpentier, 1876, in-12.

II. La dame de Gay-Fredon. Hachette, 1883, in-4.

III. Mule Geneviève. Tresse, 1876, in-12. IV. Parfait (le) causeur. Paris, Hetzel, 1879, in-18.

V. Voyage autour du grand monde.
VI. La vie à grand orchestre.
VII. Sans queue ni tête.

VIII. Les mille et une nuits matrimoniales.

IX. Casse-cou. Paris, Hetzel, 1881, in-12, 334 pp.

X. Légende de la Vierge de Munster.
XI. Tout feu, tout flammes.

XII. Les amours extravagants de la princesse Djalavana. Paris, Hetzel, 1878, in-12.

QUEVILLY (Valentin de), ou vicomte de Quevilly. [Edmond-François VALENTIN].

Des articles dans le « Figaro ».

d

QUIROUL (Pierre). [Louis DAVYL]. I. Les idées de Pierre Quiroul. Öllen-e dorf, 1885.

QUINTUS-ICILIUS

II. Entre les jambes. Dentu, 1861.
QUINTILIEN, auteur supposé.

On imprime encore aujourd'hui sous son nom un recueil de Déclamations dont l'authenticité est pour le moins douteuse. Il y en a 183; 18 grandes et 165 petites; ce n'est que le reste d'un recueil plus étendu qui contenait 388 déclamations. Il n'y a rien dans ces semblants de discours, qui réponde à l'idée qu'on peut se faire de Quintilien, orateur. On pourrait admettre à la rigueur que les Déclamations sont des devoirs d'élèves revus et retouchés par le maître, mais encore sa main s'y montrerait-elle en plus d'un endroit. Quelques-uns veulent que le Fabius Quintilianus des « Déclamations » soit le père de Q; d'autres attribuent le recueil à un certain Postumius ou à un certain Marcus Florus.

«

Le Dialogue de l'orateur » a été attribué à Quintilien, mais à tort. (Voir Pierron Histoire de la littérature romaine », 1873, p. 559). Ce dialogue, chef-d'œuvre de dialectique, de raison passionnée, à été attribué à Suetone, ce qui est absurde; à Pline le jeune qui n'était pas de cette force; à Tacite, mais le style est tout différent. Le problème demeure sans solution.

QUINTUS-ICILIUS. [GUICHARD].

C'était un savant qui a dû écrire en

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