| Louis François de Bausset - 1814 - 494 pagine
...être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est » prête d'embrasser, elle en regarde la fin avec » une consolation qui ne lui permet pas d'en »•craindre la peine. Cela me ravit et me con» fond. Je parle , et elle fait. J'ai les discours, » et elle a les œuvres.... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1818 - 666 pagine
...sans être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête d'embrasser, elle en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me confond : je parle , et elle fait; j'ai les discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1818 - 662 pagine
...sans être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête d'embrasser, elle en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me confond : je parle, et elle fait; j'ai les discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1825 - 422 pagine
...être effrayée de l'austérité » de la vie qu'elle est près d'emhrasser , elle » en regarde la fin avec une consolation qui » ne lui permet pas d'en craindre la peine; » cela me ravit et me confond : je parle , et elle >> fait ; j'ai les discours , elle a les œuvres.... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1826 - 338 pagine
...être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est " près d'embrasser, elle en regarde la fin avec une " consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la " peine ; cela me ravit et me confond : je parle, et " elle fait; j'ai les discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 816 pagine
...être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête d'embrasser, elle en '«Sarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me confond : je parle , et elle fait ; j'ai l« discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1846 - 428 pagine
...être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête d'embrasser , elle en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me confond : je parle, et elle fait; j'ai les discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| cardinal Louis François de Bausset - 1846 - 442 pagine
...être effrayée de l'aus» térité de la vie qu'elle est près d'embrasser, elle en » regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet » pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me con» fond. Je parle, et elle fait. J'ai les discours, et elle a a les œuvres.... | |
| Charles Athanase Walckenaer - 1852 - 484 pagine
...être effrayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête à embrasser , elle en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas d'en craindre la peine. Cela me ravit et me confond : je parle , et elle fait; j'ai les discours, elle a les œuvres. Quand... | |
| Jules Janin - 1853 - 452 pagine
...être ef« frayée de l'austérité de la vie qu'elle est prête d'embrasser, elle « en regarde la fin avec une consolation qui ne lui permet pas « d'en...femme, en ce moment couverte de la cendre des morts! (4 juin 1675.) Soyons charitables, épargnons cette humiliante comparaison à M. Bulwer, détournons... | |
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