Le censeur: ou Examen des actes et des ouvrages qui tendent à détruire ou à consolider la constitution de l'état..., Volumi 5-6

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Mme. Marchant., 1815
 

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Brani popolari

Pagina 290 - Vous jugez que je dois au peuple un nouveau sacrifice : je le ferai si le -vœu du peuple me commande ce que votre suffrage autorise.
Pagina 273 - Français, il n'est aucune nation, quelque petite qu'elle soit, qui n'ait eu le droit de se soustraire et ne se soit soustraite au déshonneur d'obéir à un prince imposé par un ennemi momentanément victorieux. Lorsque Charles VII rentra à Paris et renversa le trône éphémère de Henri VI, il reconnut tenir son trône de la vaillance de ses braves et non d'un prince régent d'Angleterre.
Pagina 68 - ... c'est un procès où les particuliers intéressés sont une des parties , et le public l'autre , mais où je ne vois ni la loi qu'il faut suivre , ni le juge qui doit prononcer.
Pagina 138 - Mais j'ai pensé que l'exemple d'un soldat dont les sentiments patriotiques sont connus pourrait rallier à vos aigles beaucoup de gens incertains sur le parti qu'ils doivent prendre et qui peuvent se laisser persuader que ce serait servir leur pays que de les abandonner.
Pagina 316 - Il se corrompt encore plus, lorsque l'honneur a été mis en contradiction avec les honneurs, et que l'on peut être à la fois couvert d'infamie et de dignités.
Pagina 137 - Aussi longtemps que le succès a couronné vos entreprises , je me suis abstenu d'offrir à Votre Majesté des services que je n'ai pas cru lui être agréables. Aujourd'hui...
Pagina 21 - La nomination des pairs de France appartient au Roi. Leur nombre est illimité : il peut en varier les dignités, les nommer à vie ou les rendre héréditaires, selon sa volonté.
Pagina 69 - ... dans cette institution, chacun se soumet nécessairement aux conditions qu'il impose aux autres : accord admirable de l'intérêt et de la justice...
Pagina 190 - Buonaparte , depuis ses commencemens jusqu'à sa chute, et sur le retour de la maison de Bourbon ,• par M. le comte de MONTLOSIER, député de la noblesse d'Auvergne aux états-généraux.
Pagina 135 - La liberté fut-elle donc montrée à l'homme pour qu'il ne pût jamais en jouir? fut-elle sans cesse offerte à ses vœux comme un fruit auquel il ne peut porter la main sans être frappé de mort? Ainsi la nature, qui nous fait de cette liberté un besoin si pressant, ' aurait voulu nous traiter en marâtre!

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