| Jean-Gabriel Peltier - 1818 - 764 pagine
...plaire dans le sens de la démocratie ; et, comme " il n est jamais difficile de leur donner l'apparence d'une •' satisfaction à cet égard, ils se croient...leur dit qu'ils le sont, et quelquefois même ils le répé•. tent avec une bonhomie qui inspire de la pitié." qu'il est le chef suprême du gouvernement... | |
| Joseph Fiévée - 1818 - 614 pagine
...plaire dans le sens de la démocratie ; et comme il n'est jamais difficile de leur donner l'apparence d'une sa^tisfaction à cet égard , ils se croient aimés quand on leur dit qu'ils le sont , et quelque^ fois même ils le répètent avec une bonhomie qui inspire de la pitié. Quand l'amour des... | |
| Louis XVIII (roi de France) - 1833 - 436 pagine
...hypocrisie de sentimens qui » serait dangereuse, si elle n'était pas -de con» vention.... Les rois se croient aimés quand on » leur dit -qu'ils le sont , et quelquefois même ils » le répètent ay,ec une bonhomie qui inspire » de la pitié. » Certes, l'injure était grave , et ne pouvait être... | |
| Achille Tenaille de Vaulabelle - 1847 - 590 pagine
...gouvernent une hypocrisie de sentiment qui serait dangereuse si elle n'était pas de convention. Les rois se croient aimés quand on leur dit qu'ils le sont, et quelquefois même ils le répètent avec une rare bonhomie.» Ce dernier passage, aux yeux de M. de Marchangy, avocat du roi, constituait une calomnie... | |
| André-Marie-Jean-Jacques Dupin - 1855 - 598 pagine
...dans le sens de la démo» cratie; et comme il n'est jamais difficile de leur » donner l'apparence d'une satisfaction à cet égard, » ils se croient...» et quelquefois même ils le répètent avec une bon/io» mie qui fait pitié. » Voilà ce qui (disait -on tout bas) avait blessé Louis XVIII. —... | |
| Achille de Vaulabelle - 1855 - 544 pagine
...sentiment qui serait dangereuse si elle n'était pas de convention. Les rois se croient aimés tjuand on leur dit qu'ils le sont, et quelquefois même ils le répètent avec une rare bonhomie. » Ce dernier passage, aux yeux de M. de Marchangy, avocat du roi, constituait une calomnie... | |
| Prosper Duvergier de Hauranne - 1860 - 552 pagine
...les souverains n'ont aucune signification, et il avait écrit cette phrase, en parlant des rois : « Ils se croient aimés quand on leur dit qu'ils le...répètent avec une bonhomie qui inspire de la pitié. » Or à qui cette phrase pouvait-elle s'appliquer, si ce n'est à Louis XVIII, qui, en ouvrant la... | |
| Prosper Duvergier de Hauranne - 1860 - 562 pagine
...les souverains n'ont aucune signification, et il avait écrit cette phrase, en parlant des rois : « Ils se croient aimés quand on leur dit qu'ils le...répètent avec une bonhomie qui inspire de la pitié. » Or à qui cette phrase pouvait-elle s'appliquer, si ce n'est à Louis XVIII, qui, en ouvrant la... | |
| Prosper Duvergier de Hauranne - 1860 - 596 pagine
...les souverains n'ont aucune signification, et il avait écrit celte phrase, en parlant des rois : « Ils se croient aimés quand on leur dit qu'ils le sont, et quelquefois même ils le répèlent avec une bonhomie qui inspire de la pitié. » Or à qui celte phrase pouvait-elle s'appliquer,... | |
| Louis Eugène Hatin - 1861 - 658 pagine
...plaire dans le sens de la démocratie; et comme il n'est jamais difficile de leur donner l'apparence d'une satisfaction à cet égard, ils se croient aimés...quelquefois même ils le répètent avec une bonhomie qui fait pitié. » Voilà ce qui, disait-on tout bas, avait blessé Louis XVIII, et l'on pouvait le croire... | |
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