Chateaubriand, de l'homme ardent, rigoureux opiniâtre, magnanime et de génie à sa manière, dont toute la vie se passe à vouloir relever son nom et sa famille ; espèce de Jean-Antoine de Mirabeau dans son âpre baronnie. Il faut voir le portrait... Revue des deux mondes - Pagina 181a cura di - 1834Visualizzazione completa - Informazioni su questo libro
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1836 - 520 pagine
...inaliénable ; le gentilhomme en lui n'a jamais failli , mais n'a jamais été obstacle à mieux. Béranger se vante d'être du peuple , M. de Chateaubriand revendique...redo.uté, sa tristesse profonde et morne, ses brusques emportements, et le rond de sa prunelle qui se détache comme une balle enflammée dans la colère... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1841 - 544 pagine
...inaliénable ; le gentilhomme en lui n'a jamais failli , mais n'a jamais été obstacle à mieux. Déranger se vante d'être du peuple, M. de Chateaubriand revendique...redouté, sa tristesse profonde et morne, ses brusques emportements, et le 'rond de sa prunelle qui se détache comme une balle enflammée dans la colère... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1846 - 560 pagine
...dur et révéré, au nez aquilin, à la lèvre pâle et mince, aux yeux enfoncés et pers ou ylauques comme ceux des lions ou des anciens barbares. Son...redouté, sa tristesse profonde et morne, ses brusques emportements, et le rond de sa prunelle qui se détache comme une balle enflammée dans la colère,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 400 pagine
...était grand et sec ; il avait le nez aquilin , les lèvres minces et pâles, les yeux enfoncés, petits et pers ou glauques, comme ceux des lions ou des anciens barbares. Je n'ai jamais vu un pareil regard : quand la colère y montait, la prunelle étincelante semblait... | |
| 1849 - 556 pagine
...grand et sec ; il avait le nez aquilin , les lèvres minces et pâles , les yeux enfoncés , petits et pers ou glauques, comme ceux des lions ou des anciens barbares. Je n'ai jamais vu un pareil regard : quand la colère y montait, la prunelle étincelante semblait... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1870 - 538 pagine
...formions n'a pas été exaucé : l'auteur, en y repassant, n'a pu se retenir de gâter quelques endroits.) deux se rencontrent dans l'idée d,u siècle, dans...barbares. Son silence redouté, sa tristesse profonde et inorne, ses brusques emportements, et le rond de sa prunelle qui se détache comme une balle enflammée... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1874 - 394 pagine
...nez' pales, les yeux bleus etpeUts. aquilin, les lèvres minces et pâles, les yeux enfoncés, petits et pers ou glauques, comme ceux des lions ou des anciens barbares. Je n'ai jamais vu un pareil J° «'ai jamais vu un pareil regard : dans la colère ses yeux regard... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1876 - 546 pagine
...pas été exaucé : l'auteur, en y repassant, n'a pu se retenir de gâter quelques endroits.) i. 2 deux se rencontrent dans l'idée du siècle, dans...redouté, sa tristesse profonde et morne, ses brusques emportements, et le rond de sa prunelle qui se détache comme une balle enflammée dans la colère,... | |
| 1904 - 610 pagine
...était grand et sec, il avait le nez aquilin, les lèvres minces et pâles, les yeux enfoncés, petits et pers ou glauques, comme ceux des lions ou des anciens barbares. Je n'ai jamais vu un pareil regard : quand la colère y montait, la prunelle étincelante semblait... | |
| Bernard Perez - 1892 - 344 pagine
...était grand et sec, il avait le nez aquilin, les lèvres minces et pâles, les yeux enfoncés, petits et pers ou glauques, comme ceux des lions ou des anciens barbares. Je n'ai jamais vu un pareil regard : quand la colère y montait, les prunelles étincelantes semblaient... | |
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