| François-René vicomte de Chateaubriand - 1810 - 392 pagine
...grillon qui demandoitenvain dans ce sable inculte le foyer du laboureur. » Nous reprîmes notre roule avant le retour de la lumière. Le soleil se leva dépouillé de ses rayons , et semblable à une ineule de fer rougie. La chaleur augmentait à chaque instant. Vers la troisième heure du jour , le... | |
| Dominique di Pietro - 1818 - 352 pagine
...témoin d'un de ces terribles ouragans des déserts de l'Egypte , dont il nous raconte les détails. « Nous reprîmes notre route avant le retour de la lumière....et semblable à une meule de fer rougie. La chaleur augmentait à chaque instant. Vers la troisième heure du jour, le dromadaire commença à donner des... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1822 - 464 pagine
...notre dromadaire , et l'ombre errante de quelques troupeauxde gazelles. Le silence n'étoitinterrompu que par le bruit des sangliers qui broyoient des racines...et semblable à une meule de fer rougie. La chaleur augmentait à chaque instant. Vers la troisième heure du jour, le dromadaire commença à donner des... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1831 - 556 pagine
...là des débris de vaisseaux pétrifiés étonnent les regards , et des monceaux de pierre elevés de loin à loin servent à marquer le chemin aux caravanes....commença à donner des signes d'inquiétude : il enfoneoit ses naseaux dans le sable et souffloit avec violence. Par intervalle, l'autruche poussoit... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 246 pagine
...désolée que la première. i Suez. « La nuit vint. La lune éclairoit le désert vide : on u'apercevoit , sur une solitude sans ombre, que l'ombre immobile...commença à donner des signes d'inquiétude : il enfoncoit ses nazcaux dans le sable et souffloit avec violence. Par intervalle , l'autruche poussoit... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1840 - 748 pagine
...; ça et là des débris de vaisseaux pétrifiés étonnent les regards, et des monceaux de pierres élevés de loin à loin servent à marquer le chemin...chaleur augmentoit à chaque instant. Vers la troisième heuredu jour, le dromadaire commença à donner dessignes d'inquiétude : il enfonçoit ses naseaux... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1843 - 684 pagine
...« Nous reprîmes notre route avant le retour de la lumière. Le soleil se leva dépoui I lé île ses rayons, et semblable à une meule de fer rougie....heure du jour, le dromadaire commença à donner des sigres d'inquiétude : il enfoncoit ses naseaux dans le sable et souffloit avec violence. Par intervalle... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pagine
...bruit des sangliers qui broyaient des racines flétries , ou par le chant du grillon qui demandait en vain, dans ce sable inculte, le foyer du laboureur....et semblable à une meule de fer rougie. La chaleur augmentait à chaque instant. Vers la troisième heure du jour le dromadaire commença à donner des... | |
| F T - 1848 - 410 pagine
...bruit des sangliers qui broyaient des racines flétries, ou par le cliant du grillon qui demandait en vain, dans ce sable inculte, le foyer du laboureur....dépouillé de ses rayons, et semblable à une meule de fer rougi ; la chaleur augmentait à chaque instant. Vers la troisième heure du jour, le dromadaire commença... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 554 pagine
...qui demandait en vain dans ce sable inculte le foyer du laboureur. 1 Snez. LES M1BTVHS. '* « Mous reprîmes notre route avant le retour de la lumière....et semblable à une meule de fer rougie. La chaleur augmentait à chaque instant. Vers la troisième heure du jour, le dromadaire commença à donner des... | |
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