Lycée, ou, Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 2A. Costes, 1813 |
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Pagina 7
... esclaves , et j'en- tends dire : Ah ! voilà Démosthene , voilà Nicias . ― -- Que dites - vous donc ? Ce sont deux esclaves ; ils en ont l'habit , et Démosthene et Nicias sont deux de vos généraux , de braves gens dont j'ai beaucoup ...
... esclaves , et j'en- tends dire : Ah ! voilà Démosthene , voilà Nicias . ― -- Que dites - vous donc ? Ce sont deux esclaves ; ils en ont l'habit , et Démosthene et Nicias sont deux de vos généraux , de braves gens dont j'ai beaucoup ...
Pagina 9
... esclave , » un corroyeur paphlagonien , un fourbe , un >> calomniateur fieffé . Ce corroyeur , connaissant » l'humeur du bonhomme , s'est emparé de son » esprit en le flattant , en le caressant , en le » choyant , en le trompant ...
... esclave , » un corroyeur paphlagonien , un fourbe , un >> calomniateur fieffé . Ce corroyeur , connaissant » l'humeur du bonhomme , s'est emparé de son » esprit en le flattant , en le caressant , en le » choyant , en le trompant ...
Pagina 11
... esclaves ses cama- rades , c'est Cléon , qui a su écarter Nicias et Démosthene , les desservir auprès du peuple athé- nien , et se faire donner les récompenses qui leur étaient dues . Quoi ! ce vieillard imbécille , dont on se moque ...
... esclaves ses cama- rades , c'est Cléon , qui a su écarter Nicias et Démosthene , les desservir auprès du peuple athé- nien , et se faire donner les récompenses qui leur étaient dues . Quoi ! ce vieillard imbécille , dont on se moque ...
Pagina 13
... esclave - - dit deux ou trois oboles . Sentez - vous toute la finesse ? Oui , je conçois que cela peut vous amuser . Vous savez votre Cléon par cœur ; vous le voyez tous les jours ; vous vivez avec lui . Mais que m'importe , à moi ...
... esclave - - dit deux ou trois oboles . Sentez - vous toute la finesse ? Oui , je conçois que cela peut vous amuser . Vous savez votre Cléon par cœur ; vous le voyez tous les jours ; vous vivez avec lui . Mais que m'importe , à moi ...
Pagina 40
... esclaves , soldats , parasites , tous sont des bouffons qui ne s'expriment guere que par des quolibets et des turlupinades . Il paraît que Plaute et ceux qu'il a suivis , se sont entièrement mépris sur l'espece de gaîté qui doit régner ...
... esclaves , soldats , parasites , tous sont des bouffons qui ne s'expriment guere que par des quolibets et des turlupinades . Il paraît que Plaute et ceux qu'il a suivis , se sont entièrement mépris sur l'espece de gaîté qui doit régner ...
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Parole e frasi comuni
aime amoureux Anciens Aristophane arts assez Athenes Athéniens barreau c'était cause chant chose Cicéron citoyen Cléon comédie comique Crassus croire Ctésiphon d'Athenes d'Eschine d'Horace délibératif Démosthene derniere diction dieux Diopithe dire discours doit donner Dusaulx écrivain éloquence enfans Eschine esclave espece Eurip Euripide eût femmes genre gens gloire goût Grecs guerre harangues homme Horace idées j'ai jamais judiciaire juge juste Juvénal l'ame l'art l'autre l'éloquence l'esprit l'orateur latin liberté long-tems louange lui-même maniere Ménechme ment mérite métaphore mieux mœurs Moliere morale mouvemens n'en Néron objets odes orateurs oratoire Ovide parler particuliérement passer pensées Périclès Pétrone peuple Philippe philosophie Philumene piece Pindare plaisanterie plaisir Plaute poésie poëte pouvait premiere Properce qu'Horace qu'un Quintilien raison reproche république rhéteurs rien Romains Rome s'il sait satyre sénat sent serait servir seul Socrate sorte souvent style sujet surtout talent tems Térence teur théâtre Tibulle tion traits tribune vérité veut Voilà vrai
Brani popolari
Pagina 41 - Je soutiendrai toujours, morbleu ! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits. (A Cliiandre et à Acaste, qui rient.) Par la sambleu ! messieurs, je ne croyais pas être Si plaisant que je suis.
Pagina 97 - J'ai vécu plus que toi ; mes vers dureront moins ; Mais au bord du tombeau je mettrai tous mes soins A suivre les leçons de ta philosophie, A mépriser la mort en savourant la vie, A lire tes écrits pleins de grâce et de sens, Comme on boit d'un vin vieux qui rajeunit les sens.
Pagina 243 - Je ne vous peindrai point le tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec la sœur, la fille avec la mère, Les époux...
Pagina 268 - Dieux ne lui ont pas ôté la vie, mais accordé la mort. Crassus n'a point vu l'Italie en proie aux feux de la guerre civile ; il n'a point vu le deuil de sa fille , l'exil de son gendre , la fuite désastreuse de Marius, le carnage qui suivit son retour; enfin il n'a point vu...
Pagina 314 - Philippe tant d'avantage sur nous, que d'avoir toujours une armée sur pied, qui le met à portée de saisir toutes les occasions ; il vous prévient partout, parce qu'après avoir délibéré à loisir avec lui-même, il agit subitement et quand il lui plaît; il attaque, il renverse : nous, au contraire, ce n'est qu'au bruit de ses invasions que nous commençons des préparatifs longs et tumultuaires. Mais...
Pagina 223 - Les vainqueurs ont parlé ; l'esclavage en silence Obéit à leur voix dans cette ville immense ; Chacun reste immobile et de crainte et d'horreur, Depuis que sous le glaive est tombé l'empereur. ZAMTI.
Pagina 138 - Que sera-ce si l'on songe qu'il était innocent? 11 mérite sans doute la pitié , et l'on peut même lui pardonner d'avoir été accablé de son exil , comme Cicéron le fut du sien. Je sais que Gresset a dit : Je cesse d'estimer Ovide ' Quand il vient , sur de faibles tons , Me chanter, pleureur insipide, De longues lamentations. Gresset en parle bien à son aise. Il faut se souvenir qu'il ya tel exil qui peut paraître pire que la mort, et celui d'Ovide était de cette espèce.
Pagina 243 - Les enfants au berceau sur la pierre écrasés: Des fureurs des humains c'est ce qu'on doit attendre; Mais ce que l'avenir aura peine à comprendre, Ce que vous-même encore à peine vous croirez, Ces monstres furieux, de carnage altérés, Excités par la voix des prêtres sanguinaires, Invoquaient le Seigneur en égorgeant leurs frères, Et, le bras tout souillé du sang des innocents, Osaient offrir à Dieu cet exécrable encens. O combien de héros indignement périrent! Resnel...
Pagina 133 - Oui, je me montrai toute nue Au dieu Mars, au bel Adonis, A Vulcain même, et j'en rougis: Mais Praxitèle, où m'at-il vue?
Pagina 134 - Le premier livre est tout entier à la louange de Domitien. La postérité lui saurait plus de gré d'une bonne épigramme contre ce tyran. Au reste , ces louanges roulent toutes sur le même sujet : il n'est question que des spectacles que Domitien donnait au peuple, et Martial répète de cent manières qu'ils sont beaucoup plus merveilleux que tous ceux qu'on donnait auparavant.