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Colonie latine depuis 244. Son dévouement à Rome en 209, XXVII, 10, 7.

Bruttium, Bruttius ager, XXVI, 12, 2; 41, 16, ou plus généralement Bruttii, XXVI, 12, 12; XXVII, 15, 2, etc., du nom du peuple (auj. Calabre), extrémité S.-O. de l'Italie; région limitée au N. par la Lucanie, et séparée de la Sicile par le canal de Messine. Le Br. s'unit à tous les ennemis de Rome, Lucaniens, Pyrrhus, se déclare des premiers pour Hannibal et est son dernier refuge (Angulus agri Bruttii, XXVI, 41, 16; XXVII, 51, 13; XXVIII, 42, 18) jusqu'à la fin; des Bruttiens le suivent même en Afrique, XXVI, 5, 3; 12, 2; 41, 16; XXVII, 1, 5; 7, 7; 12, 5-6; 15, 1, 3, 8, 17; 25, 13; 29, 1; 35, 10, 12; 36, 13; 38, 7; 40, 12; 41, 1; 42, 16; 51, 13; XXVIII, 10, 8; 11, 13; 12, 6; 38, 12;44, 9; 45, 9; 46, 2, 15; XXIX, Per.; 6, 2; 13, 1, 8; 36, 4; 38, 1; XXX, 1, 2, 3, 8; 19, 10-20; 27, 7; 33, 6; 40, 5; 41, 1.

Bucar, officier au service de Syphax, chargé de prendre Masinissa mort ou vif, le laisse échapper et répand le bruit de sa mort, XXIX, 32, 1-11.

Bulotus amnis, petit fl. dans le voisinage de Locres, XXIX, 7, 3. Nom d'ailleurs inconnu et peut-être mal lu pour Butrotus, fleuve très proche

de cette ville au S.

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Q. Metellus, pont. en 216, XXIII, 21, éd. pl. en 209, XXVII, 21, 9, éd. cur. en 208, 36, 8, en 207 légat de C. Claudius Nero, annonce à Rome la victoire du Métaure, 51, 3 Mag. equit. de M. Livius Salinator, cons. en 206, XXVIII, 9, 19; 10, 1, 2, 8; 11, 12, avec le Bruttium pour province; procos. dans la même province en 205, 45, 9-11; 46, 3, et dictateur pour la tenue des comices, XXIX, 10, 2, 3; 11, 9, propose une enquête sur les actes de Scipion et de Pleminius, est commissaire enquêteur, 20, 1-8; 21, 1, parle au sénat sur la paix avec Carthage, 23, 3.

Cære, ethn. Cærites (auj. Cervetri), appelée aussi par les Grecs Agylla, gr. v. de l'Étrurie mérid., non loin de la mer Tyrrhénienne. Dévouement des Cærites, lors de l'expédition d'Afrique, XXVIII, 45, 15. Temple de Jupiter. Prodiges, XXVII, 23, 3; XXVIII, 11, 3.

Calatia, ethn. Calatinus (auj, le Galazze), v. de Campanie sur la voie Appienne, entre Capoue et Caudium, passe à Hannibal en 216, XXII, 61, 11, réduite en 211 par les

Romains, punie et assignée comme demeure aux Atellans, XXVI, 16, 5; 33, 12; 34, 6, 11; XXVII, 3, 7.

Calavii, famille campanienne à laquelle appartenait Pacuvius Calavius, chef du parti populaire et principal auteur de la défection de Capoue, XXIII, 2-4, 8; complote l'incendie de Rome, est dénoncé par un de ses esclaves et puni, XXVI, 27, 1-10.

Cales, ethn. Calenus (auj. Calvi), gr. v. de la Campanie, dans l'ager Sidicinus, XXVI, 9, 2, sur la via Appia, entre Teanum et Casilinum. Colonie latine de l'année 334, un des fidèles soutiens de Rome. Hannibal ravage son territoire, XXVI, 9, 2; 13, 10, les sénateurs de Capoue y sont internés et exécutés, 14, 9; 15, 8; 16, 5. Ne peut fournir le contingent requis en 209, XXVII, 9, 7, y est contrainte en 204, XXIX, 15, 5.

Calenus, surnom d'Albius, un des chefs de la révolte de l'armée de Scipion, XXVII, 24.

Calidæ aquæ, v. du golfe de Carthage, en vue de la ville même, cf. Aquæ carpitanæ (El Mraïsa), Thermæ (Kourbes) ou quelqu'une des localités voisines de la côte qui possédaient des sources thermales. Il y en avait, d'après Strabon, p. 834, plusieurs dans le golfe. Les vaisseaux romains y sont jetés par la tempête, pris et amenés à Carthage, XXX, 24, 9, 12.

Calpurnius C.-Piso, pr. urb. en 211, XXV, 41, 12; XXVI, 3, 9, préposé à la gardé

de Rome, 10, 2, envoie au procos. Fulvius les instructions du sénat, 15, 8, préside le sénat pendant la discussion des actes de Marcellus, 21, 1, fait voter la célébration annuelle des Ludi Apollinares, 23, 3. En 210 propr. en Étrurie, est appelé en Campanie, 28, 6, propr. en Étrurie en 209, XXVII, 7, 9-10; 21, 6; 22, 5, 13.

Camertes, habitants de Camerinum (auj. Camerino), v. de l'Ombrie, dans l'Apennin, près du Picenum, en relations amicales avec Rome dès 308, et ses alliés æquo fœdere. Leurs offres généreuses lors de l'expédition d'Afrique, XXVIII, 45, 20.

Campania, ethn. Campanus (auj. Terre de Labour), région de l'Italie centrale, limitée par la mer Tyrrhénienne

10., le Latium au N., le Samnium à l'E., la Lucanie au S., célèbre pour son climat et sa fertilité, XXVI, 5, 3; 11, 11; 16, 12. Pays de plaines favorable à l'élevage des chevaux et renommé pour sa cavalerie, XXVI, 4, 6.

Cannæ, petite v. de l'Apulie, dans la basse vallée de l'Aufides, où les consuls Paullus et Varron éprouvèrent un désastre complet en 216, XXII, 44 et suiv. Cf. allusions, XXVI, 3,2; 7, 3; 8,4; 12, 14; 41, 11, 13; XXVII, 1, 4; 2, 2; 12, 11; XXVIII, 44, 4; XXIX, 24, 12; XXX, 20, 8.

Cannenses, ethnique des habitants de Cannes. Nom donné aux soldats qui avaient été battus en 216, XXVI, 1, 10; 2, 14; XXIX, 24, 11, etc.

Canusium, ethn. Canusnus (auj. Canosa), gr. v. de l'Apulie, sur la r. g. de l'Aufidus, et sur la via Appia. Les habitants, fidèles à Rome, recueillent les vaincus de Cannes, repoussent les attaques, comme les avances d'Hannibal, XXVII, 12, 7, 8. Romains et Carthaginois campent et combattent plusieurs fois dans les environs, XXVII, 12-15; 42, 16.

Capena, ethn. Capenas (auj. Civitucola), v. de l'Etrurie entre Veji et Falerii. Soumise à Rome en 393, reçoit le droit de cité romaine. Dévotion des Capénates à Feronia. Prodige, XXVI, 11, 9; XXVII, 4, 14.

Capena porta (V. Roma). Capua, ethn. Campanus (auj. Santa Maria di Capua). Capit. de la Campanie, au sud du Vulturnus, au carrefour de plusieurs routes, sur la via Appia. Successivement occupée par les Étrusques, XXVIII, 28, 6, et les Osques; menacéé par les Samnites, elle se livre à Rome, XXVI, 13, 4. Rivale de Rome en richesse, puissance, ambition. Alliée d'Hannibal, XXIII, 2-10, XXVI, 13, 5. Assiégée par les Romains, vainement secourue par Hannibal, XXV, 18; XXVI, Per.; 1, 2-4; 3, 11; 4-7, 12-14; 24, 2; 37, 6;41, 16, punie avec uné extrême rigueur, XXVI, 16;27, 10-15; 33-34; XXVII, 3, 10; 25, 1. Complots des Campaniens vaincus, XXVI, 27, 7-9; 28, 6; 33, 9; XXVII, 3, 4-5. Capoue continue à être une des provinces tirées au sort chaque année, XXVII, 5, 17; 6, 1;

8; 11, 8; 12, 1; 22, 4; 35, 14

36, 13; 40, 13; XXVIII, 10, 15; XXIX, 13, 6. Prodiges, XXX, 2, 1. Muri, XXVI, 4, 6; XXVII, 11, 2. Portæ, XXVÍ, 4, 8. P. Jovis, XXVI, 14, 6. P. quæ Vulturnum fert, XXVI, 6, 3. Ed. Fortunæ, XXVII, 11, 2; 23, 2. Ed. Martis, XXVII, 23, 2. Forum, XXVI, 12, 9. Campanus ager confisqué, XXVI, 16, 8, mis en vente par le Trésor, XXVIII, 46, 4.

Capussa, f. aîné d'OEzalcès, roi des Massylii, lui succède, est tué dans un combat par Mazætullus, XXIX, 29, 7-10; 30, 8.

Carales, ethn. Caralitanus (auj. Cagliari), v. de la côte S. de la Sardaigne, sur un golfe étendu, capit. de l'île ; excellent port, très favorable pour la traversée de l'Afrique. Ravages d'Hamilcar, XXVII, 6, 13-14. Séjour de la flotte romaine, XXX, 39, 3.

Carseoli (auj. Cività près Carsoli, v. du pays des Eques, sur la via Valeria, entre Tibur et Alba Fucentia, colonie latine fondée en 298. Refuse en 209 le contingent, est punie, en 204, par des charges extraordinaires, XXVII, 9, 7; XXIX, 15, 5.

Carteja (auj. colline El Roccadillo, près S. Roque), port de la Bétique, au fond de la baie de Calpe Gibraltar, v. fondée par les Phéniciens. Lælius, embusqué dans le port, bat Adherbal sur mer, XXVIII, 30, 3, 6-31, 1.

Carthago(magna C.,XXVIII, 17, 3), ethn. Carthaginiensis (auj. Bou-Said), colonie fondée par les Tyriens, XXX, 16, 4, au Ix siècle av. J.-C. à l'O. du

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2; 30, 4; 31, 1; XXIX, 1, 13; 3, 8-4; 23, 1; 28, 1-10; 31, 10;32, 10; 34, 1-3; XXX, Per.; 7, 3-13; 9, 3; 16, 2-15; 19, 2; 21, 11-24, 10; 25, 2, 4; 26, 1-3; 35; 36, 3; 37, 7-12; 44, 1-12. Carthaginienses désigne en général le peuple, l'armée des Carthaginois, et dans l'armée

la partie composée de citoyens, XXVIII, 3, 14; 14, 4; XXIX, 34, 17; XXX, 33, 5, 7, 11, 16; 34, 5, etc. Xanthippe, Agathoclès, à Carthage, XXVIII, 43, 19, 21.

Carthago nova, ou simplement Carthago, XXVI, 51, 5, XXVII, 7, 2; XXVIII, 4, 2 (auj.

Carthagène), v. de l'Espagne tarraconaise, près du Prom. Saturi (cap Palos), fondée par Hasdrubal Barca, en 242; seul bon port entre les Pyrénées et Gadès, à portée de l'Afrique, XXVI, 42, 6-10. Grenier, arsenal et trésor de l'armée carthaginoise, vraie capitale de l'Espagne, XXVII, 7, 2. Assiégée et prise par Scipion, XXVI, Per.; 42-51. Place d'armes des Romains pendant la guerre d'Espagne, XXVIII, Per.; 17, 5, 11, 12; 18, 12; 21; 23, 5; 25, 10; 26, 1, 4; 28, 9;31, 3; 36, 4; 42, 5. La date de la prise douteuse, XXVII, 7, 5. Topographie de la ville, XXVI, 42, 6-9.

Carthalo, commandant de la garnison carthaginoise à Tarente, est tué après avoir mis bas les armes, XXVII, 16, 5.

Carvilius: Sp.-Maximus, tr. pl., XXV, 3, aug., meurt en 211, XXVI, 23, 7.

Casilinum (auj. Capua), v. de Campanie, sur le Vulturnus et sur la via Appia, à 3 milles N.-O. de Capoue. Résiste à Hannibal et n'est prise qu'avec de grandes pertes en 216, XXX, 20, 6; cf. XXIII, 17-19; réoccupée par les Romains en 214, XXIV, 19.

Casinum, ethn. Casinas, v. du Latium, sur la via Latina, entre Aquinum et Venafrum. Hannibal, en 211, ravage le territoire, mais sans réduire la ville, XXVI, 9, 2. Prodige, XXVII, 23, 2.

Cassandrea (auj. Pinaka), V. de la Chalcidique, sur l'isthme de la presqu'île de

Pallène, et sur l'emplacement de l'ancienne Potidée, fondée en 316 par Cassandre; excellent port et l'une des plus riches villes de la Macédoine. Philippe y fait construire une flotte en 207, XXVIII, 8, 14.

Castulo, ethn. Castulonensis (auj. Cazlona), cap. des Oretani, dans la haute vallée du Pætis, auprès des mines d'argent de la Sierra Morena, dans une région montueuse et boisée, Castulonensis saltus, XXVII, 20, 3. Alliée de Carthage, se révolte en 213; revient à cette alliance en 212, après la mort des Scipions, XXVIII, 19, 1-2; quartier général de Magon en 211, XXVI, 20, 6. Attaquée en 206, se rend à discrétion à Scipion, XXVIII, 13, 4; 19, 4; 20, 8.

Catina ou Catana (auj. Catane), v. grecque de la côte E. de Sicile, entre Syracuse et Tauroménium, au pied du mont Etna. Centre d'approvisionnement pour l'armée de Tarente, XXVII, 8, 19.

Catius: Q., éd. pl. en 210, dédie des statues dans le temple de Cérès et célèbre des jeux, XXVII, 6, 19, légat de Claudius Nero en 207, 43, 12, envoyé à Delphes en 205 pour y consacrer le butin, XXVIII, 45, 12.

Catulus, XXX, 19, 8, cf. Lutatius.

Caulonea, v. de la côte E. du Bruttium entre la ville de Locres et le golfe de Scylacium, à l'emb. de la Sagra. S'attache aux Carthaginois; assiégée par Marcellus et sau

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