| Philippe Paul comte de Ségur - 1825 - 354 pagine
...pour embarrasser, pour retarder leur marche, et les livrer aux Russes qui les poursuivaient, ou à leur terrible climat. Et réellement, dès qu'épuisés...voix, insensibles et plongés dans la stupeur, ils faisaient quelques pas tels que des automates; leur sang se glaçant dans leurs veines, comme les eaux... | |
| Philippe-Paul comte de Ségur - 1825 - 504 pagine
...pour embarrasser, pour retarder leur marche , et les livrer aux Russes qui les poursuivaient, ou à leur terrible climat. Et réellement , dès qu'épuisés...voix, insensibles et plongés dans la stupeur, ils faisaient quelques pas tels que des automates; leur sang se glaçant dans leurs veines, comme les eaux... | |
| 1825 - 1350 pagine
...ge^rjodiharrasser , pour retarder leur marche, et les livrer aux Russes qui 1rs poursuivaient , ou à leur terrible climat. Et réellement , dès qu'épuisés...s'arrêtaient un instant , l'hiver , appesantissant sur eux sa m.iin de glace, se saisissait (le cette proie. C'était vainement qu'alors ces malheureux, st »entant... | |
| Philippe-Paul comte de Ségur - 1826 - 474 pagine
...pour embarrasser, pour retarder leur marche, et les livrer aux Russes qui les poursuivaient, ou à leur terrible climat. Et réellement, dès qu'épuisés...malheureux, se sentant engourdis, se relevaient, et que, déja sans voix, insensibles, et plongés dans la stupeur, ils faisaient quelques pas tels que des... | |
| Philippe-Paul de Ségur - 1826 - 862 pagine
...livrer aux Russes qui les poursuivaient , ou à leur terrible climat. Et réellement, dès qu'epuisés ils s'arrêtaient un instant, l'hiver,, appesantissant sur eux sa main de glace, se saisissait de celte proie. C'était vainement qu'alors ce» malheureux, se sentant engourdis, se relevaient, et que,... | |
| Gaius Suetonius Tranquillus - 1828 - 568 pagine
...pour embarrasser , pour retarder leur marche , et les livrer aux Russes qui les poursuivaient, ou à leur terrible climat. Et réellement, dès qu'épuisés...voix, insensibles et plongés dans la stupeur, ils lésaient quelques pas, tels que des automates ; leur sai i¡; se plaçant dans leurs veines , comme... | |
| Pierre François Merlet - 1833 - 624 pagine
...retarder leur marche, et les ilirer aux Russes qui les poursuivaient, ou à leur terrible -•limat. Et réellement, dès qu'épuisés ils s'arrêtaient...appesantissant sur eux sa main de glace, se saisissait 'le cette proie. C'était vainement qu'alors ces malheureux, .j sentant engourdis, se relevaient, et... | |
| Philippe Paul de Ségur - 1839 - 892 pagine
...appesantissant sur eux sa main de glace, i se saisissait de cette proie. C'était vainement qu'alor> ces malheureux , se sentant engourdis , se relevaient...voix, insensibles et plongés dans la stupeur, ils faisaient quelques pas tels que des automates, leur sang , se glaçant dans leurs veines comme les... | |
| Jean Hermann JANSSENS, Jean Hérard Janssens - 1840 - 572 pagine
...pour embarrasser, pour retarder leur marche , et les livrer aux Russes qui les poursuivaient , ou à leur terrible climat. « Et réellement , dès qu'épuisés...eux sa main de glace , se saisissait de cette proie. C'est vainement alors que ces malheureux, se sentant engourdis, se relevaient , et que , déjà sans... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pagine
...marche, et les livrer aux Russes qui les poursuivaient, ou 'a leur terrible climat. Et réellement, dte qu'épuisés ils s'arrêtaient un instant, l'hiver,...voix, insensibles et plongés dans la stupeur, ils faisaient quelques pas tels que des automates; leur sang se glaçant dans leurs veines, comme les eaux... | |
| |