Essai sur les idées philosophiques et l'inspiration poétique de Giacomo Leopardi suivi d'oeuvres inédites et de traductions de quelques-unes des oeuvres morales ...E. Thorin, 1877 - 238 pagine |
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... forme qu'elle s'offrît , maladie , pauvreté ou erreur ; parce qu'enfin ces poésies , qu'il s'agit d'apprécier , sont les fruits mêmes des loisirs libres qu'il a conquis , par sa volonté , sur les circonstances . De son vivant même , il ...
... forme qu'elle s'offrît , maladie , pauvreté ou erreur ; parce qu'enfin ces poésies , qu'il s'agit d'apprécier , sont les fruits mêmes des loisirs libres qu'il a conquis , par sa volonté , sur les circonstances . De son vivant même , il ...
Pagina 15
... forme une certaine idée de ce poète si malheureux . Qu'on ouvre ensuite ses poésies , qu'on lise le Canto d'un pastore ou la Ginestra , et cette idée qu'on s'était faite du poète , d'après sa vie , s'altère ou disparaît . On avait connu ...
... forme une certaine idée de ce poète si malheureux . Qu'on ouvre ensuite ses poésies , qu'on lise le Canto d'un pastore ou la Ginestra , et cette idée qu'on s'était faite du poète , d'après sa vie , s'altère ou disparaît . On avait connu ...
Pagina 16
... forme , on sent une inspiration qui s'avance , il est vrai , par degrés inégaux , mais qui , tant qu'elle est originale , vient toujours de la même source : cette source , c'est la conception des choses que Leopardi s'était librement ...
... forme , on sent une inspiration qui s'avance , il est vrai , par degrés inégaux , mais qui , tant qu'elle est originale , vient toujours de la même source : cette source , c'est la conception des choses que Leopardi s'était librement ...
Pagina 18
... forme de brochure , une courte et piquante apologie des idées auxquelles il était resté fidèle pendant la révolution . L'étude , qui l'avait d'abord consolé et distrait de la vue des malheurs de l'Italie , avait fini par l'occuper tout ...
... forme de brochure , une courte et piquante apologie des idées auxquelles il était resté fidèle pendant la révolution . L'étude , qui l'avait d'abord consolé et distrait de la vue des malheurs de l'Italie , avait fini par l'occuper tout ...
Pagina 27
... forme seule varie . Ce n'est qu'un cri de dou- leur jusqu'à la dernière ligne . « L'âme humaine est créée pour être grande et malheureuse . » « Le plus heureux est de ne pas vivre . » « L'homme est bien sot de souhaiter de prolonger ses ...
... forme seule varie . Ce n'est qu'un cri de dou- leur jusqu'à la dernière ligne . « L'âme humaine est créée pour être grande et malheureuse . » « Le plus heureux est de ne pas vivre . » « L'homme est bien sot de souhaiter de prolonger ses ...
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Essai sur les idées philosophiques et l'inspiration poétique de Giacomo ... François-Alphonse Aulard,Giacomo Leopardi Visualizzazione completa - 1877 |
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Parole e frasi comuni
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Brani popolari
Pagina 99 - In cor mi regna l'antico amor. Se a feste anco talvolta, se a radunanze io movo, infra me stesso dico: o Nerina, a radunanze, a feste, tu non ti acconci più, tu più non movi. Se torna maggio, e ramoscelli e suoni van gli amanti recando alle fanciulle, dico: Nerina mia, per te non torna primavera giammai, non torna amore.
Pagina 170 - ... ce n'a été que par effet de la lâcheté des hommes, qui ont besoin d'ètre persuadés du mérite de l'existence , que l'on a -voulu considérer mes opinions philosophiques comme le résultat de mes souffrances particulières, et que l'on s'obstine à attribuer à mes circonstances matérielles ce qu'on ne doit qu'à mon entendement. Avant de mourir, je vais protester contre cette invention de la faiblesse et de la vulgarité; et prier mes lecteurs de s'attacher à détruire mes observations...
Pagina 119 - Che fai tu, luna, in ciel? dimmi, che fai, silenziosa luna? Sorgi la sera, e vai, contemplando i deserti; indi ti posi.
Pagina 59 - O patria mia, vedo le mura e gli archi E le colonne ei simulacri e l'erme Torri degli avi nostri, Ma la gloria non vedo, Non vedo il lauro e il ferro ond'eran carchi I nostri padri antichi.
Pagina 116 - Sovente in queste rive, Che, desolate, a bruno Veste il flutto indurato, e par che ondeggi, Seggo la notte; e su la mesta landa In purissimo azzurro Veggo dall'alto fiammeggiar le stelle, Cui di lontan fa specchio II mare, e tutto di scintille in giro Per lo vóto seren brillare il mondo.
Pagina 66 - Dove sono i tuoi figli? Odo suon d'armi E di carri e di voci e di timballi: In estranie contrade Pugnano i tuoi figliuoli. Attendi, Italia, attendi. Io veggio, o...
Pagina 120 - O greggia mia che posi, oh te beata, Che la miseria tua, credo, non sai ! Quanta invidia ti porto ! Non sol perchè d'affanno Quasi libera vai ; Ch'ogni stento, ogni danno, Ogni estremo timor subito scordi; Ma più perchè giammai tedio non provi. Quando tu siedi all'ombra, sovra l'erbe, Tu se' queta e contenta ; E gran parte dell'anno Senza noia consumi in quello stato.
Pagina 102 - Sempre i codardi, e l'alme Ingenerose, abbiette Ebbi in dispregio. Or punge ogni atto indegno Subito i sensi miei ; Move l'alma ogni esempio Dell'umana viltà subito a sdegno. Di questa età superba, Che di vote speranze si nutrica, Vaga di ciance, e di virtù nemica; Stolta, che 1' util chiede, E inutile la vita Quindi più sempre divenir non vede; Maggior mi sento. A scherno Ho gli umani giudizi; e il vario volgo A' bei pensieri infesto, E degno tuo disprezzator, calpesto.
Pagina 63 - Grato mi è il sonno, e più l'esser di sasso: mentre che il danno e la vergogna ' dura, non veder, non sentir, m'è gran ventura; però non mi destar; deh parla basso!
Pagina 69 - Guardando l'etra e la marina e il suolo. E di lacrime sparso ambe le guance, E il petto ansante, e vacillante il piede, Toglieasi in man la lira: Beatissimi voi, Ch'offriste il petto alle nemiche lance Per amor di costei ch'ai Sol vi diede; Voi che la Grecia cole, e il mondo ammira. Nell'armi e ne' perigli Qual tanto amor le giovanette menti, Qual nell'acerbo fato amor vi trasse?