Essai sur les idées philosophiques et l'inspiration poétique de Giacomo Leopardi suivi d'oeuvres inédites et de traductions de quelques-unes des oeuvres morales ...E. Thorin, 1877 - 238 pagine |
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... vertu , la sensibilité , la grandeur d'âme sont non - seulement les uniques consolations de nos maux , mais encore les seuls biens possibles en cette vie ; que ces biens , quand on vit dans le monde et dans la société , ne procurent ni ...
... vertu , la sensibilité , la grandeur d'âme sont non - seulement les uniques consolations de nos maux , mais encore les seuls biens possibles en cette vie ; que ces biens , quand on vit dans le monde et dans la société , ne procurent ni ...
Pagina 30
... vertu , l'honneur , la foi ! s'écrie - t - il . Vanité le progrès ! Vanités toutes les consola- tions que s'est cherchées l'humaine nature , soit dans le sen- timent de sa force , soit même dans celui de sa faiblesse ! Ce qui a mis le ...
... vertu , l'honneur , la foi ! s'écrie - t - il . Vanité le progrès ! Vanités toutes les consola- tions que s'est cherchées l'humaine nature , soit dans le sen- timent de sa force , soit même dans celui de sa faiblesse ! Ce qui a mis le ...
Pagina 32
... vertu et des actions magnanimes , que l'on avait bien trouvée jusqu'alors en cette vie , mais que l'on ne trouvait plus et qu'on ne devait jamais plus trouver . De ces pensées nais- saient ces sentiments si nobles que Cicéron a ...
... vertu et des actions magnanimes , que l'on avait bien trouvée jusqu'alors en cette vie , mais que l'on ne trouvait plus et qu'on ne devait jamais plus trouver . De ces pensées nais- saient ces sentiments si nobles que Cicéron a ...
Pagina 74
... vertu , et , en aucun point , il ne nous a donné d'adoucir par quelque secours ou quelque consolation l'impitoyable douleur qui la déchirait . Ah ! tu n'as pas eu notre sang et notre vie , ô chère patrie , et je ne suis pas mort pour ta ...
... vertu , et , en aucun point , il ne nous a donné d'adoucir par quelque secours ou quelque consolation l'impitoyable douleur qui la déchirait . Ah ! tu n'as pas eu notre sang et notre vie , ô chère patrie , et je ne suis pas mort pour ta ...
Pagina 85
... vertu farouche , haute , spartiate , à laquelle elle doit les porter : « Ou malheureux ou lâches seront tes fils : choisis les malheureux : : O miseri o codardi Figliuoli avrai . Miseri eleggi . » « Hélas ! c'est trop tard , c'est dans ...
... vertu farouche , haute , spartiate , à laquelle elle doit les porter : « Ou malheureux ou lâches seront tes fils : choisis les malheureux : : O miseri o codardi Figliuoli avrai . Miseri eleggi . » « Hélas ! c'est trop tard , c'est dans ...
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Essai sur les idées philosophiques et l'inspiration poétique de Giacomo ... François-Alphonse Aulard,Giacomo Leopardi Visualizzazione completa - 1877 |
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Parole e frasi comuni
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Brani popolari
Pagina 99 - In cor mi regna l'antico amor. Se a feste anco talvolta, se a radunanze io movo, infra me stesso dico: o Nerina, a radunanze, a feste, tu non ti acconci più, tu più non movi. Se torna maggio, e ramoscelli e suoni van gli amanti recando alle fanciulle, dico: Nerina mia, per te non torna primavera giammai, non torna amore.
Pagina 170 - ... ce n'a été que par effet de la lâcheté des hommes, qui ont besoin d'ètre persuadés du mérite de l'existence , que l'on a -voulu considérer mes opinions philosophiques comme le résultat de mes souffrances particulières, et que l'on s'obstine à attribuer à mes circonstances matérielles ce qu'on ne doit qu'à mon entendement. Avant de mourir, je vais protester contre cette invention de la faiblesse et de la vulgarité; et prier mes lecteurs de s'attacher à détruire mes observations...
Pagina 119 - Che fai tu, luna, in ciel? dimmi, che fai, silenziosa luna? Sorgi la sera, e vai, contemplando i deserti; indi ti posi.
Pagina 59 - O patria mia, vedo le mura e gli archi E le colonne ei simulacri e l'erme Torri degli avi nostri, Ma la gloria non vedo, Non vedo il lauro e il ferro ond'eran carchi I nostri padri antichi.
Pagina 116 - Sovente in queste rive, Che, desolate, a bruno Veste il flutto indurato, e par che ondeggi, Seggo la notte; e su la mesta landa In purissimo azzurro Veggo dall'alto fiammeggiar le stelle, Cui di lontan fa specchio II mare, e tutto di scintille in giro Per lo vóto seren brillare il mondo.
Pagina 66 - Dove sono i tuoi figli? Odo suon d'armi E di carri e di voci e di timballi: In estranie contrade Pugnano i tuoi figliuoli. Attendi, Italia, attendi. Io veggio, o...
Pagina 120 - O greggia mia che posi, oh te beata, Che la miseria tua, credo, non sai ! Quanta invidia ti porto ! Non sol perchè d'affanno Quasi libera vai ; Ch'ogni stento, ogni danno, Ogni estremo timor subito scordi; Ma più perchè giammai tedio non provi. Quando tu siedi all'ombra, sovra l'erbe, Tu se' queta e contenta ; E gran parte dell'anno Senza noia consumi in quello stato.
Pagina 102 - Sempre i codardi, e l'alme Ingenerose, abbiette Ebbi in dispregio. Or punge ogni atto indegno Subito i sensi miei ; Move l'alma ogni esempio Dell'umana viltà subito a sdegno. Di questa età superba, Che di vote speranze si nutrica, Vaga di ciance, e di virtù nemica; Stolta, che 1' util chiede, E inutile la vita Quindi più sempre divenir non vede; Maggior mi sento. A scherno Ho gli umani giudizi; e il vario volgo A' bei pensieri infesto, E degno tuo disprezzator, calpesto.
Pagina 63 - Grato mi è il sonno, e più l'esser di sasso: mentre che il danno e la vergogna ' dura, non veder, non sentir, m'è gran ventura; però non mi destar; deh parla basso!
Pagina 69 - Guardando l'etra e la marina e il suolo. E di lacrime sparso ambe le guance, E il petto ansante, e vacillante il piede, Toglieasi in man la lira: Beatissimi voi, Ch'offriste il petto alle nemiche lance Per amor di costei ch'ai Sol vi diede; Voi che la Grecia cole, e il mondo ammira. Nell'armi e ne' perigli Qual tanto amor le giovanette menti, Qual nell'acerbo fato amor vi trasse?