Oeuvres complètes de M. de Voltaire, Volume 1Sanson et compagnie, 1791 |
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affez affreux ainfi ALCME ALCMEON amour Argos ARON Artémire auffi BRUTUS c'eft c'eſt Caffandre Céphife CHOEUR chofes ciel connaiffez Corneille coupable courroux crime CTET d'Oedipe deftin dieux efprit EGIN époux ERIPH YLE eſt EUPHORBE facré faibleffe fang fans fauver fcène fecret femble fens fentimens fentiment ferait fervir feul fils foins foit fon cœur font forfaits foupçons fous fouvent fuis fujet funefte fupplice fur-tout fureur gloire GRAND-PRETRE Hélas Hermogide HERO HERODE hymen ICARE j'ai JOCAST jufqu'à jufte l'amour laiffe Laius Licteurs lorfque Madame mains malheureux Mariamne MAZA Meffala MESSA monftre mort n'eft NARBA Oedipe paffe paffions Pallante parler penfe père peuple Philoctete Philotas Phorbas pièce plaifir pleurs Polybe porte Quirinale préfent preffe PROCULUS puiffe raifon refpect refte reine rime rois Romains Rome SALOM SCENE Seigneur Sénat SOHEM Sohême Sophocle Tarquin théâtre Thébains Thèbes TITUS tragédie trépas trifte trône Tullie tyrans venger vertu yeux
Brani popolari
Pagina 80 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon père y tient l'urne fatale ; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains: Minos juge aux Enfers tous les pâles humains.
Pagina 283 - Si dans le sein de Rome il se trouvait un traître Qui regrettât les rois et qui voulût un maître , Que le perfide meure au milieu des tourments; Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans que Rome entière abhorre.
Pagina 177 - Asservi maintenant sous la commune loi, Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi! Un moment a vaincu mon audace imprudente : Cette âme si superbe est enfin dépendante.
Pagina 177 - Présente, je vous fuis; absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Pagina 273 - N'alléguez point ces nœuds que le crime a rompus, Ces dieux qu'il outragea, ces droits qu'il a perdus. Nous avons fait, Arons, en lui rendant hommage, Serment...
Pagina 283 - Qui regrettât les rois et qui voulût un maître, Que le perfide meure au milieu des tourments! Que sa cendre coupable, abandonnée aux vents, Ne laisse ici qu'un nom plus odieux encore Que le nom des tyrans, que Rome entière abhorre ! ARONS, avançant vers l'autel.
Pagina 33 - Tu fais rentrer ce sang dont tu m'avais formé ; Et par là tu produis et des fils et des pères , Des frères , des maris, des femmes et des mères, Et tout ce que du sort la maligne fureur Fit jamais voir au jour et de honte et d'horreur.
Pagina 14 - CHAPELAIN Les trois fois mille francs qu'il met dans [ma famille Témoignent mon mérite, et font connoître [assez Qu'on ne hait pas mes vers pour être un [peu forcés.