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de Lille, étudie le mouvement romantique, non pas en dilettante uniquement attentif aux formes et aux sons, mais en moraliste que préoccupent la valeur des idées et leur retentissement dans les consciences. - Le romantisme coïncide avec le triomphe de l'exotisme sur les traditions autochtones, de la névrose sur la santé et le parfait équilibre intellectuel. En religion, il est tour à tour la littérature du panthéisme et du doute pleurnicheur; en morale, celle de la révolte sensuelle et de l'orgueil; il introduit dans la morale sociale ces sentimentalités romanesques que Pie X vient de stigmatiser. Il déforme l'histoire avec Michelet. Il bouleverse toutes les notions d'ordre sur lesquelles ont vécu l'esprit français et la conscience française. L'ouvrage se continuera. Ce premier volume est une introduction générale écrite d'une plume savante et élégante. Il a sa place marquée dans la bibliothèque de tous ceux qui s'intéressent au mouvement des idées modernes et qui veulent les juger, non pas sur leur surface brillante, mais sur leur vertu et sur leur influence dans la vie morale d'aujourd'hui.

76. — A. Baumgartner, S. J., Geschichte der Weltliteratur. VI. Die italienische Literatur. Fribourg en B., Herder, 1911. 15 m.

:

Le P. Baumgartner avait entrepris d'écrire une histoire de la littérature universelle et l'on sait avec quel talent il exécuta le plan qu'il avait conçu : successivement il aborda l'histoire des littératures orientales et égyptiennes, des littératures de l'Inde et de l'Extrême Orient, de l'antiquité grecque et latine, les littératures grecque et latine chrétiennes, enfin la littérature française. La critique lui a réservé l'accueil le plus flatteur elle a loué la clarté et l'intérêt de ses tableaux littéraires, l'élégance de son style, la largeur de ses vues et de ses idées, l'art de distinguer le principal de l'accessoire. L'histoire de la littérature italienne paraît après la mort de l'auteur. Ce fort volume de 944 pages conduit cette histoire depuis les origines jusqu'à l'époque actuelle : le dernier livre est consacré à l'« Italie nouvelle » (1870-1910) et trois noms sont mis en relief: Carducci (p. 828-843), d'Annunzio (p. 844-848), Fogazzaro (p. 849-902); seules les toutes dernières pages, sur les poètes d'aujourd'hui, sont inachevées et ne forment qu'une esquisse.

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77. La librairie J. H. Ed. Heitz, de Strasbourg, publie sous le titre général de Bibliotheca romanica une série d'élégants petits volumes comprenant les principales œuvres littéraires des littératures romanes, française, italienne, espagnole, portugaise. Chaque œuvre paraît en un petit volume d'environ cinq feuilles, ou, si elle dépasse cette mesure, en plusieurs petits volumes. Ces éditions sont très soignées; elles sont pourvues d'une introduction, de notices bio-bibliographiques, et de notes très concises.

Dans la section française ont paru Molière (Misanthrope, Femmes savantes, Tartuffe, l'Avare); Corneille (Le Cid, Horace, Cinna, Polyeucte, Le Menteur); Descartes (Discours sur la méthode); Restif de la Bretonne (L'an 2000); Racine (Athalie); Beaumarchais (Le Barbier de Séville); A. de Musset (Comédies et Proverbes, Poésies); Prévost (Manon Lescaut); Villon (Chanson de Roland); La Farce de Pathelin; Chateaubriand (Atala); Pascal (Provinciales 2 vol.); Lamartine (Méditations); Balzac (Le Cabinet des Antiques, Eugénie Graudet); Boileau (Art poétique Le Lutrin); Voltaire (Zadig); La Bruyère (Caractères); Tillier (Mon oncle Benjamin, Belle-Plante et Cornelius); Bernardin de Saint-Pierre (Paul et Virgine).

Section italienne: Dante (Divine Comédie, 6 vol. Vita nova); Boccaccio (Décaméron. 14 vol. Fiammetta); Petrarca (Rerum vulgarium fragmenta I. Trionfi); Leopardı (Canti. Pensieri); Le cento novelle antiche, Strozzi (I madrigali); Brunetto Latini (Tesoretto); Maffei (Merope), Goldoni (Locandiera); Metastasio (Didone abbandonata); Redi (Poesie Toscane).

Série espagnole : Calderon (La vida es sueño); Guillem de Castro (Las mocedades del Cid).

Série portugaise: Camoens (Os Lusiadas. 5 vol.).

Cette collection, qui comprend actuellement 121 volumes, mérite d'être recommandée à tous égards. On y admet les œuvres qui présentent un intérêt littéraire ou historique.

78. Dans la collection Deutsche Texte des Mittelalters, publiée par l'Académie de Berlin, chez Weidmann, à Berlin, ont paru :

Band XI. Die Predigten Taulers aus der Engelberger und der Freiberger Handschrift sowie aus Schmidts Abschritten der ehemaligen Strassburger Handschriften. Hrsg. von Ferd. Vetter. 1910. 10 m.

Band XV. Die Lilie. Eine mittelfränkische Dichtung in Reimprosa, und andere geistliche Gedichte, aus der Wiesbadener Handschritt. Hrsg. von Paul Wüst. 1909. 4 m. 6o.

Band XVII. Kleinere mittelhochdeutsche Erzählungen, Fabeln und Lehrgedichte. III. Die Heidelberger Handschrift cod. Pal. germ. 341. Von Gust. Rosenhagen. 1909 10 m 60.

Band XVIII. Gundackers von Judenburg Christi Hort aus der Wiener Handschrift, Hrsg. von J. Jaksche. 1910. 4 m.

Band XXI. Die mitteldeutsche poetische Paraphrase des Buches Hiob aus der Handschrift des kg. Staatsarchivs zu Königsberg. Hrsg. von T. E. Karsten, 1910. 11 m. 60.

79.80.

Le P. Paul Dhorme. Choix de textes religieux assyro-babyloniens. Paris, Gabalda. 1910. 12 frs.

Le P. Paul Dhorme, La religion assyro-babylonienne. Conférences données à l'Institut catholique de Paris. Paris, Gabalda, 1910. 3 fr. 50.

On sait combien les fouilles récentes ont enrichi notre connaissance de la religion assyrienne, et quel immense intérêt présentent les découvertes modernes pour l'intelligence historique de la Bible. Le P. Dhorme, des Frères Prêcheurs, professeur d'assyrien à Saint-Etienne de Jérusalem, nous a donné un Choix de textes religieux assyro-babyloniens. Ces textes ont tous été transcrits, traduits, avec un commentaire surtout philologique. Ils représentent ce qu'il y a de plus important dans la littérature religieuse de l'antique Chaldée : poèmes de la Création et différentes cosmogonies, tous les textes relatifs au déluge, l'épopée de Gilgames, les mythes d'Etana et d'Adapa, la descente d'Ichtar aux enfers, divers psaumes ou hymnes, des documents relatifs au culte. La plupart de ces morceaux figurent dans les Mythen und Epen, de Jensen, mais ils sont ici plus complets, surtout en ce qui regarde le poème de la Création, pour lequel l'auteur a pu utiliser les récentes publications de M. King. La traduction, qui table sur les travaux précédents, et qui est cependant une œuvre originale, est désormais assurée, et peut servir de base aux plus intéressantes comparaisons.

Pour nous guider, le P. Dhorme publie maintenant neuf leçons faites par lui à l'Institut catholique de Paris. En voici les sujets : Les sources, la conception du divin, les dieux, les dieux et la cité, les dieux et les rois, les dieux et les hommes, la loi morale, la prière et le sacrifice, le sacerdoce,

L'auteur, qui connaît parfaitement les textes cunéiformes et tous les travaux dont ils ont été l'objet, traite de la religion assyrio-babylonienne, d'une manière tout à fait objective et scientifique. Les lecteurs français lui seront reconnaissants d'avoir

mis à leur portée, en les passant au crible de la critique, les travaux déjà nombreux qui ont paru à l'étranger.

81. — A. Aulard, Napoléon Ier et le Monopole universitaire : Origine et fonctionnement de l'Université impériale, Paris, A. Colin, 1911. 4 fr.

C'est en historien que l'auteur s'est proposé d'étudier, surtout au point de vue du monopole, les origines et le fonctionnement de l'Université impériale. Il lui a semblé que partisans et adversaires du monopole, à en juger par leurs écrits et par leurs discours, ne se faisaient qu'une idée confuse ou même inexacte de ce qu'il a été : « Je voudrais, dit-il, dissiper les confusions, rectifier les inexactitudes par un aperçu historique impartial, que les lecteurs de tout sentiment, hostiles ou favorables a ce qu'on appelle le principe de la liberté d'enseignement, hostiles ou favorables a ce qu'on appelle le droit éminent de l'État à enseigner et à enseigner seul, je voudrais que tous ces lecteurs eussent à la fois profit et sécurité à lire mon récit, qu'ils y trouvassent des faits authentiques et significatifs pour contrôler leur opinion ou pour s'en former une ».

Quoique les faits que raconte M. Aulard soient vieux d'un siècle, ils semblent d'hier, car en France les passions, les idées d'alors sont celles d'aujourd'hui, aussi vives et s'exprimant presque dans les mêmes termes. On y voit aussi un Napoléon nouveau, ou plutôt inconnu, à demi trahi par Fontanes et sorte de dupe volontaire, faisant paraître, lui, si terrible parfois, une débonnaireté inattendue. Quant au monopole de l'enseignement, ce livre en donne, par les faits même, la définition historique ce fut surtout une surveillance étroite de l'enseignement privé et une fiscalité bientôt odieuse.

82. Lucien Ferrand, L'habitation ouvrière et à bon marché. J. Gabalda et C1o, rue Bonaparte, 90, Paris, 1910. 2 fr. (Bibl. d'Économie sociale).

Tous ceux qui s'intéressent aux moyens pratiques et réguliers d'améliorer le sort des familles laborieuses voudront lire le livre de M. Ferrand sur les habitations ouvrières et à bon marché. Membre du Conseil supérieur des Habitations à bon marché, l'auteur était admirablement préparé pour traiter toutes les questions enveloppées dans ce complexe sujet. Après une étude très fine des anomalies et des lacunes de la législation, il examine ce qu'il appelle les méthodes d'action; là il entre dans les détails nécessaires sur les diverses méthodes soit de construction et d'entretien, soit de location et de vente. Il établit en quoi peuvent consister les concours de l'État, ceux des départements et des communes. Il termine par une revue très encourageante des initiatives privées, des maisons dues aux grandes entreprises industrielles et aux sociétés de coopération ou de crédit.

CHRONIQUE.

83.- La Société de Littérature Wallonne de Liège vient de demander au ministre des sciences et des arts un subside pour la publication du Glossaire général des parlers wallons de Belgique, œuvre dont elle assemble les matériaux depuis 1856 et dont elle a confié la rédaction à trois de ses membres, MM. Auguste Doutrepont, Jules Feller et Jean Haust. La société de littérature wallonne estime qu'une subvention de dix mille francs lui serait nécessaire pour assurer dans un avenir prochain la publication d'un premier fascicule.

La valeur et l'utilité de l'œuvre entreprise recommandent cette requête à la bienveillante attention du ministre.

84.Concours quinquennal d'histoire nationale. Par arrêté royal du 17 janvier

1911, sont nommés membres du jury chargé de juger le concours quinquennal d'histoire nationale pour la 13° période, de 1906 à 1910:

MM. le baron E. de Borchgrave, S. Bormans et J. Lameere, membres de l'Académie royale de Belgique, et MM. E. Hubert et H. Lonchay, membres correspondants de l'Académie royale de Belgique.

85.

Concours quinquennal des sciences historiques. Par arrêté royal du 20 janvier 1911, sont nommés membres du jury chargé de juger le concours quinquennal des sciences historiques pour la 6e période, de 1906 à 1910:

MM. le baron E. de Borchgrave, le comte E. Goblet d'Alviella, H. Pirenne et M. Rooses, membres de l'Académie royale de Belgique, et L. Leclère, professeur à l'Université de Bruxelles.

86. Académie royale flamande de philologie et de littérature. Par arrêté royal du 31 décembre 1910, est approuvée l'élection faite par l'Académie royale flamande, dans sa séance du 21 du même mois, de M. Eug. van Oye, membre correspondant, en qualité de membre titulaire, en remplacement de M. Edw. Coremans, décédé.

87. Le Congrès national de l'enseignement moyen libre, qui se tiendra à BonneEspérance en septembre prochain, a constitué le bureau de presque toutes ses sections. Chacune d'elles a pour président et secrétaire des membres éminents de l'enseignement national, des spécialistes dans leur branche.

Assemblées générales : Présidents: M. le chanoine Durez, vicaire général, Tournai, M. le chanoine Muyldermans, ancien inspecteur, Malines. Secrétaires : le R. P. Bauwens, collège des Jésuites, Alost; M. le chanoine Carlier, Frésident du Petit Séminaire de Bonne Espérance.

Sections: I. Religion : Président : M. le chanoine Cantineau, secrétaire de l'Évêché, Tournai. Secrétaires: MM. Bruynseels, professeur, Collège Saint Jean-Berchmans Anvers; Mainil, professeur, petit séminaire de Bonne Espérance.

II. Éducation: Président : le R. P. De Vroye, Recteur du Collège du SacréCœur, Charleroi, Secrétaire : M. Sacré, professeur, Collège de Waremme.

III. Littératures grecque et latine : Présidents: MM. Thibaut, professeur, petit séminaire de Saint-Trond; De Smet, professeur, petit séminaire de Malines. Secrétaires MM. Allard, professeur, petit séminaire de Basse-Wavre; ae Hovre, professeur, petit séminaire de Saint-Nicolas.

IV. Français Présidents: MM. Halflants, professeur, Institut Sainte-Marie, Schaerbeeck; Enclin, professeur, petit séminaire, Bastogne. Secrétaire : le R. P. Humblet, professeur, Collège de Notre-Dame de la Paix, Namur.

V. Flamand, en pays flamand : Président : le R. P. Bauwens, professeur, Collège des Jésuites, Alost. Secrétaire : M. Walgrave, professeur, petit séminaire, Hoog

straten.

VI. Flamand en pays wallon: Président : M. Melon, professeur, Institut SaintJoseph, La Louvière. Secrétaire: M. Theis, professeur, petit séminaire, Floretfe. VII. Allemand et Anglais : Présidents: M. Colle, professeur, Collège de Menin, le R. P. Huysmans, professeur, Collège du Sacré-Cœur, Charleroi, Secrétaire : M. Boone, professeur, Collège Saint-Rombaut, Malines.

VIII. Géographie: Président M. Michotte professeur, Collège Saint-Pierre, Louvain, Secrétaires : le R. P. de Ghellynck, S. J., Louvain, M. Lambrecht; professeur, Collège de Poperinghe.

IX. Histoire : Président : M. Delannoy, Institut Saint-Louis, Bruxelles, Secrétaires: R. P. de Moreau, S. J., Louvain; M. Van Cappel, professeur. Collège de Courtrai.

X. Sciences naturelles : Présidents: MM. Lensen, professeur, petit séminaire, Saint-Trond; Eghels, principal, Collège de Courtrai. Secrétaires: MM. Sadones, professeur, Institut Saint-Liévin, Gand; Poly, professeur, Collège de Belle-Vue, Dinant.

XI. Mathématiques : Président : M. Tits, professeur, Institut Saint-Louis, Bruxelles. Secrétaires: MM. Gorlia professeur, Collège de Binche: De Smedt, professeur, collège d'Ostende.

XII. Arts et Dessin : Présidents: le R. P. Pascal, Directeur de l'école des Arts et Métiers, Maredsous; M. Etienne, professeur, Collège Saint-Joseph, Virton. Secrétaires : MM. Jamar, professeur, petit séminaire de Saint-Roch, Ferrières; Elebaerts, professeur, Collège Saint-Jean Berchmans, Anvers.

XIII. Humanités modernes : Présidents: M. Beyls, Directeur de l'Institut SaintLiévin, Gand; le R. P. Renaud, préfet des études, Collège du Sacré-Cœur, Charleroi. Secrétaires : MM. Haerens, professeur, Collège Saint-Léon, Bruges; Van Assche, professeur, Collège Saint-Jean Berchmans, Anvers.

XIV Programme des Humanités gréco-latines : Présidents MM. Carlier, Président du séminaire de Bonne Espérance; Blampain, Directeur de l'Institut Saint-Joseph, La Louvière. Secrétaire M. Derume, préfet des études, petit séminaire, Bonne-Espérance.

Plusieurs sections ont déjà fait connaître les questions qu'elles ont mises à l'étude, questions qui promettent un fécond échange d'idées sur d'importants sujets.

Le Comité qui a pris l'initiative du Congrès, a donné pour but de défendre les humanités traditionnelles, mais de les défendre surtout en les améliorant. L'enseignement moyen, opine-t-il, doit s'adapter aux conditions nouvelles de la vie sociale et intellectuelle; c'est la crise d'adaptation qui se renouvelle à chaque période marquante de l'histoire. Le corps professoral libre comprend ces nécessités; il entend conserver le dépôt intellectuel de la culture gréco-romaine, mais il veut être de son temps, former des hommes qui le soient aussi.

De là, toute une série de réformes à introduire dans les programmes. La géographie, désormais séparée de l'histoire est attribuée à une section spéciale : elle sera certainement une des plus brillantes du Congrès. L'enseignement des sciences naturelles, celui des arts figurés et du dessin seront l'objet de discussions approfondies. L'enseignement des langues modernes compte à lui seul quatre sections.

Dans les séances qui ont eu lieu jusqu'ici en vue de préparer les différents travaux du Congrès, cette idée s'est dégagée très nette : c'est que la formation supérieure des humanités anciennes n'est pas nécessaire à tous, mais seulement à une élite; par conséquent, deux types d'humanité, de valeur inégale, doivent exister : l'un ayant pour centre de la formation littéraire, avec la langue maternelle, les deux langues anciennes ; l'autre la langue maternelle et les langues modernes. Une section particulière, formée de supérieurs et de professeurs discutera le programme de cette partie importante de l'enseignement moyen. Un peu partout, on se plaint des préoccupations utilitaires qui dominent et rabaissent les humanités modernes. Un intérêt social essentiel demande qu'elles deviennent, autant que faire se peut, de vraies humanités, soucieuses, elles aussi, de la culture générale de ceux qu'elles préparent aux carrières administratives et commerciales. Dans quelle mesure cela est-il conciliable avec les nécessités pratiques de ces carrières, ou plutôt n'y aurait-il pas lieu de réformer les examens qui y donnent accès? Voilà différents points qui, avec beaucoup d'autres, s'imposent à l'étude de cette section.

Enfin des circonstances nouvelles ont fait surgir des questions qui ne s'étaient pas posées jusqu'ici. La réforme du service militaire amènera désormais à la caserne, Presque au sortir du collège un bon nombre de nos jeunes gens; il faut les préparer

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