OEuvres complètes de Eugène Scribe ...E. Dentu, 1876 |
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ACTE Adieu ALMÉES âme AMÉNOPHIS amour anges Ariel ASHVÉRUS AZAEL bandits belles oranges BERTHE BOCCHORIS bonheur bras CALIBAN CANOPE céleste Ceuta CHOEUR DES GÉNIES ciel cieux cœur colère COMTE JULIEN couplet courroux danses demi-voix désespoir Dieu douleur doux enfant Ensemble esclave femme FERDINAND FIDÈS fille fils FLORINDE fond du théâtre frère fureur gauche GEMMA genoux gloire GUERRIERS hélas IRÈNE j'ai JEPHTÈLE joie JONAS jour l'amour l'enfant LÉON LUDGERS main malheur MANETHON marche MATELOTS MATHISEN Maures Memphis mère MIRANDA montrant mort mourir Munster MUNUZZA NEFTÉ Nicéphore OBERTHAL oranges Osiris palais pardon PAYSANS père peuple pitié poussant un cri PRINCESSE prophète PROSPERO regardant ROCCANERA RODOLFE RODRIGUE RUBEN s'adressant s'avance s'élance Saint Jean sang sauver SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII Seigneur seul sœur SOLDATS ANABAPTISTES sort STEPHANO Sylphides t'ai t'aime tais-toi tête THÉODORA tombe trahi tremble trépas TRINCULO Va-t'en veux viens vient VOIX DE SYCORAX yeux ZACHARIE ZERLINE
Brani popolari
Pagina 130 - Il faut que je me lève et que j'aille trouver mon père, et que je lui dise: Mon père, j'ai péché contre le ciel et contre vous: 19.
Pagina 129 - Un homme avait deux fils, 12. dont le plus jeune dit à son père : mon père, donnez-moi ce qui doit me revenir de votre bien. Et le père leur fit le partage de son bien.
Pagina 130 - Je me lèverai, et je m'en irai vers mon père, et je lui dirai : Mon père, j'ai péché contre le ciel, et contre toi ; Et je ne suis plus digne d'être appelé ton fils : traite-moi comme l'un de tes domestiques.
Pagina 130 - Parce que mon fils que voici était mort, et il est ressuscité ; il était perdu, et il est retrouvé.
Pagina 319 - C'est l'arrêt de Dieu, A peine il demeure Dans le même lieu! Un ange invisible, L'ange du Très-Haut, D'une voix terrible Lui crie aussitôt : Marche! marche! marche toujours! Sans vieillir, accablé de jours, Marche! marche! marche toujours! Rien ne suspend des heures L'impitoyable cours! Heureuse tu demeures ; Moi, je marche toujours! La voix que je redoute Bientôt va retentir, Me traçant ma route Qui ne doit pas tinir!
Pagina 130 - ... ayant amassé tout ce qu'il avait, s'en alla dans un pays étranger fort éloigné, où il dissipa tout son bien en excès et en débauches. 14. Après qu'il eut tout dépensé, il survint une grande famine dans ce pays-là» et il commença à tomber en nécessité.
Pagina 363 - En apprenant que tu n'es pas ma sœur, Ton cœur s'est-il troublé?... IRÈNE. Sans doute! LÉON. Et tant qu'a duré ce sommeil Où dormaient nos âmes... ton âme N'éprouvait-elle pas une secrète flamme, Impatiente du réveil?... IRÈNE. Je m'en souviens; et pendant ton absence, Je me sentais mourir dans l'ombre et le silence, Comme la fleur loin du soleil ! LÉON. Et quand ma main pressait la tienne IRÈNE.
Pagina 4 - Mathieu, leur principal prophète, ayant été tué, un garçon tailleur (d'autres disent cabaretier), nommé Jean de Leyde, né à Leyde en Hollande, assura que DIEU lui était apparu et l'avait nommé roi : il le dit et le fit croire. La pompe de son couronnement fut magnifique; on voit encore de la monnaie qu'il fit frapper; ses armoiries étaient deux épées dans la même position que les clefs du pape.
Pagina 367 - ... aboutissant à la paix, qui est son état typique. La paix est la fin de toute agitation et de tout discord ; toutes choses se meuvent en cette lin. Le poète a donc été bien inspiré en mettant dans la bouche du Juif-Errant ces deux vers, qui résument le sens et la portée de l'existence du héros : La fin de l'univers est la fin de mes maux ! Pour eux tous, c'est la mort ! Pour moi, c'est le repos...
Pagina 328 - Rien ne suspend des heures L'impitoyable cours! Heureuse, tu demeures! Moi, je marche toujours ! La voix que je redoute Bientôt va retentir, Me traçant une route Qui ne doit pas finir ! THÉODORA, le regardant toujours. Eh! quoi... pour lui... des heures Rien ne...