La soupe aux choux: romanDeux vieux paysans, deux amis, le Cicisse Chérasse et le Glaude Ratinier, achèvent modestement leur existence aux confins d'un village bourbonnais en voie de disparition. Au son de leurs verres entrechoqués, ils voient tout changer autour de leurs sabots, des étrangers s'installer dans leur pays, s'éteindre les cheminées, la vie s'accélérer sans eux. Il ne se passera plus rien dans la leur. Et pourtant si ! Une nuit, une soucoupe volante se pose dans le champ de Glaude. Un extra-terrestre en sort, que le Glaude appellera "la Denrée" . La Denrée vit dans un austère astéroïde où les notions de superflu sont inconnues. L'absorption d'une assiettée de soupe aux choux va plonger le voyageur interstellaire dans un tout autre monde, celui du plaisir de vivre, celui aussi de l'amitié. Et ce sera la révolution sur sa planète. Quant au Cicisse et au Glaude, ils vont connaître une fin de vie plutôt inattendue ! Tout cela parce que La soupe aux choux contient tous les pouvoirs tendres, comiques, hauts en couleur et poétiques dont la charge l'auteur jusqu'à en faire déborder irrésistiblement la marmite. Dans ce "roman campagnard de science-fiction" , la verve inimitable de René Fallet ruisselle de plus belle. Littéralement : à coeur joie. Avis aux amateurs : - Vous en reprendrez bien une assiette ? |
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Pagina 100
On avait dit que tous ces petits blancs avaient tué le Piarre Tampon. Le Glaude,
qui l'avait bien connu, était bien sûr, lui, que ce n'était pas vrai. Que c'était le
chagrin qui l'avait expédié, le Piarre, quand il avait dû boucler sa forge. C'était
par ...
On avait dit que tous ces petits blancs avaient tué le Piarre Tampon. Le Glaude,
qui l'avait bien connu, était bien sûr, lui, que ce n'était pas vrai. Que c'était le
chagrin qui l'avait expédié, le Piarre, quand il avait dû boucler sa forge. C'était
par ...
Pagina 102
Comme ça, on sera deux à passer pour des cornichons. - T'es bien gentil,
soupira Chérasse, c'est pas la peine, mais t'es bien brave quand même. — Allez,
viens boire un canon. — D'accord. Après, j'irai me pendre. Le Glaude en eut un ...
Comme ça, on sera deux à passer pour des cornichons. - T'es bien gentil,
soupira Chérasse, c'est pas la peine, mais t'es bien brave quand même. — Allez,
viens boire un canon. — D'accord. Après, j'irai me pendre. Le Glaude en eut un ...
Pagina 145
son caleçon long, il donna un tour de clé, et la Francine entra, qui était forcément
belle comme à vingt ans, puisqu'elle avait vingt ans... — C'est-y pas Dieu
possible, bégaya-t-il en refermant la porte, reporté violemment à des cinquante
ans en ...
son caleçon long, il donna un tour de clé, et la Francine entra, qui était forcément
belle comme à vingt ans, puisqu'elle avait vingt ans... — C'est-y pas Dieu
possible, bégaya-t-il en refermant la porte, reporté violemment à des cinquante
ans en ...
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Parole e frasi comuni
aurait avaient avant beau belle Blaise boire boîte Bombé Bon Dieu Bonnot c'était canon cause cents champ changé chemin Chérasse chose chtit Cicisse cinq côté coup demande Denrée derrière devant dire enfin fais femme ferait Francine gars Glaude heure j'ai jeune jouait jour jusqu'à l'air l'autre l'avait laisser leva litre loin m'en main maison marché matin ment mieux monde monsieur monsieur Ratinier mort n'avait n'en n'était nuit parle passer pauvre pendant pense père petit petite peut-être peux pied place plaisir plein porte posa pourrait pouvait présent prit qu'à Qu'est-ce qu'un qu'y quatre Ratinier regarda reste rien rouge s'en s'était s'il sabots sais savait sent serait seul soir sortit soucoupe soupe aux choux sûr T'as t'en t'es table terre tête tombe trouve vais venait verre veux vide vieille vieux village vingt vivaient voilà vois voix vrai yeux