Essai sur les lois criminelles des Romains concernant la responsabilité des magistratsCrapelet, 1845 - 452 pagine |
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... différence du consulat et des autres magistra- tures , le nombre des titulaires de la préture n'était point fixé par la constitution ( 1 ) . A l'origine , cette magistrature était unique , et ce fut en 507 seulement qu'on nomma un ...
... différence du consulat et des autres magistra- tures , le nombre des titulaires de la préture n'était point fixé par la constitution ( 1 ) . A l'origine , cette magistrature était unique , et ce fut en 507 seulement qu'on nomma un ...
Pagina 52
... différence de l'in- famis déchu à tout jamais de ses droits de citoyen . ( 1 ) Liv . XXXIX , 42 . ( 2 ) Appien , Guerr . civ . 1 , 28. —Cic . Pro Sextio , 101 . ( 3 ) Ascon . Ad Cic . in toga candida ( Ed . Orell . p . 84 ) . Hunc An ...
... différence de l'in- famis déchu à tout jamais de ses droits de citoyen . ( 1 ) Liv . XXXIX , 42 . ( 2 ) Appien , Guerr . civ . 1 , 28. —Cic . Pro Sextio , 101 . ( 3 ) Ascon . Ad Cic . in toga candida ( Ed . Orell . p . 84 ) . Hunc An ...
Pagina 65
... différence que les magistrats , comme le sénat , étaient chargés d'administrer et d'agir , et que la fonction des tribuns était de surveiller . A proprement parler , les tribuns n'étaient point des magistrats , car ils n'avaient aucune ...
... différence que les magistrats , comme le sénat , étaient chargés d'administrer et d'agir , et que la fonction des tribuns était de surveiller . A proprement parler , les tribuns n'étaient point des magistrats , car ils n'avaient aucune ...
Pagina 101
... différence que le nom ; mais de la rareté de ces accusations on ne peut conclure ni que la juridic- tion des comices - centuries fùt abolie , ni qu'elle fût passée aux comices - tribus ; et , au contraire , il est remarquable que la loi ...
... différence que le nom ; mais de la rareté de ces accusations on ne peut conclure ni que la juridic- tion des comices - centuries fùt abolie , ni qu'elle fût passée aux comices - tribus ; et , au contraire , il est remarquable que la loi ...
Pagina 136
... différence qu'ils pouvaient ne pas agir là où les nôtres sont forcés de poursuivre , parce qu'ils étaient tous sou- verains et indépendants dans leurs magistratures . Le remède à cette inaction des magistrats était précisé- ment le ...
... différence qu'ils pouvaient ne pas agir là où les nôtres sont forcés de poursuivre , parce qu'ils étaient tous sou- verains et indépendants dans leurs magistratures . Le remède à cette inaction des magistrats était précisé- ment le ...
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Parole e frasi comuni
accusator accusé ærarium ambitus Appien Ascon atque avaient Bobb c'était Cæsar Caius Caius Gracchus Calpurnia César chevaliers Cicéron citoyens Cluent comices comices-tribus concussion condamnation constitution consuls Cornelia crime criminelle Denys devant Dio Cass Dion Cassius ejus enim epit erat esset etiam Geib Gracchus Gracques Guerre civ Ibid judices judiciaire juges jurés juridiction jury Klenze l'accusé l'administration l'ærarium l'empire lege legem loi Julia loi Servilia lois magistrats magistratures Milon neque Orat Orell peuple Pison plebis Plin Plut politique Polybe Pompée populaire populum pouvoir prætor préteur prince procédure procès provinces provinciaux public puissance quæ quæstiones quam questeurs quibus quid quis quod quum repetundarum république Romains Rome Schol sénat sénateurs senatus seul Sigonius Suet sunt Sylla tion Tite-Live tribunal tribunat tribuns tribunus plebis Verr Verrès vote δὲ ἐν ἐς καὶ μὲν τὰς τε τὴν τῆς τὸ τοῖς τοῦ τοὺς τῷ τῶν
Brani popolari
Pagina 227 - ... naître les besoins publics des besoins publics. Bien loin de donner à de telles gens la puissance de juger, il auroit fallu qu'ils eussent été sans cesse sous les yeux des juges.
Pagina 227 - Ce fut pourtant une des causes de la guerre des esclaves. Je ne dirai qu'un mot : une profession qui n'a ni ne peut avoir d'objet que le gain ; une profession qui demandait toujours, et à qui on ne demandait rien ; une profession sourde et inexorable , qui appauvrissait les richesses et la misère même , ne devait point avoir à Rome les jugements.
Pagina 184 - L' antiche leggi, e furon si civili, Fecero al viver bene un picciol cenno Verso di te, che fai tanto sottili Provvedimenti, ch' a mezzo novembre Non giunge quel che tu d
Pagina 369 - Ad genua iudicum, cum sententiae ferrentur, bifariam se diviserunt qui pro eo rogabant : ab uno latere Scaurus ipse et M'.
Pagina 342 - Alii ideo putant divinationem dici, quod inhirati iudices in hac causa sedeant et, quod velint, praesentire de utroque possint, alii, quod res agatur sine testibus et sine tabulis et his remotis argumenta sola sequantur iudices et quasi divinent.
Pagina 423 - ... constitutionnelle. La liberté individuelle est atteinte; c'est au Sénat qu'il appartient de la défendre et de la garder. En est-il vraiment ainsi? Les formes ont-elles cette importance? Écoutons sur ce point un de nos plus grands jurisconsultes, le vieil et vénérable Ayrault '. « En la justice, dit-il, la formalité y est si nécessaire qu'on n'y saurait se dévoyer tant soit peu, y laisser et omettre la moindre forme et solennité requise, que tout l'acte ne vînt incontinent à perdre...
Pagina 354 - Neminem voluerunt majores nostri, non modo de existimatione cujusquam, sed ne pecuniaria quidem de re minima, esse judicem, nisi qui inter adversarios convenisset.
Pagina 251 - Q. Varius Hispanus M. Scaurum principem senatus socios in arma ait convocasse; M. Scaurus princeps senatus negat; testis nemo est: utri vos, Quirites, convenit credere?
Pagina 241 - Laboulaye pensent que ce privilège était assuré à tous les provinciaux. « C'était tout à la fois une magnifique indemnité pour les fatigues et les périls de l'accusation et un préservatif certain contre les vengeances du successeur dans la province ; jaloux de punir l'injure faite à un collègue et de prévenir, en les étouffant par la terreur, les plaintes même 1rs plus légitimes.
Pagina 176 - D'ailleurs, un préteur eût-il voulu faire le bonheur de la province, l'exemple de Mucius était là pour prouver que faire le bien lui était impossible, car la province lui appartenait bien moins qu'à cette foule de publicains, fermiers des impôts, toutpuissants par leur influence à Rome et sans pitié pour les pays qu'il pressuraient.