Essai sur les lois criminelles des Romains concernant la responsabilité des magistratsCrapelet, 1845 - 452 pagine |
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Pagina xv
... peine effleurée dans l'ouvrage de M. Geib , tient une grande place dans le mien ; car je pense que l'histoire du droit criminel ne signifie rien dès qu'on l'isole de l'histoire politique . C'est par ce côté , je l'espère , que mon livre ...
... peine effleurée dans l'ouvrage de M. Geib , tient une grande place dans le mien ; car je pense que l'histoire du droit criminel ne signifie rien dès qu'on l'isole de l'histoire politique . C'est par ce côté , je l'espère , que mon livre ...
Pagina xxiii
... peine qu'il m'a coûtée . Je ne finirai pas sans remercier l'Académie de l'in- dulgence extrême avec laquelle , pour la seconde fois , elle a accueilli mes travaux ; son suffrage est la plus douce et la plus glorieuse récompense que je ...
... peine qu'il m'a coûtée . Je ne finirai pas sans remercier l'Académie de l'in- dulgence extrême avec laquelle , pour la seconde fois , elle a accueilli mes travaux ; son suffrage est la plus douce et la plus glorieuse récompense que je ...
Pagina 48
... peine , l'une d'o- pinion , l'autre réelle et qui les frappait et les arrêtait dans leur carrière politique . Dans une démocratie où les affaires se traitent au grand jour de la place publique , l'opinion exerce une énorme influence ; c ...
... peine , l'une d'o- pinion , l'autre réelle et qui les frappait et les arrêtait dans leur carrière politique . Dans une démocratie où les affaires se traitent au grand jour de la place publique , l'opinion exerce une énorme influence ; c ...
Pagina 52
... peine d'opinion , mais elle n'emportait point l'infamie et la radiation n'entraînait point après elle d'inca- pacité civique . Rien n'empêchait un citoyen noté de rester dans les affaires publiques . Cæpio , flétri par les censeurs ...
... peine d'opinion , mais elle n'emportait point l'infamie et la radiation n'entraînait point après elle d'inca- pacité civique . Rien n'empêchait un citoyen noté de rester dans les affaires publiques . Cæpio , flétri par les censeurs ...
Pagina 64
... peine à se soumettre . Enfin le peuple maintenait chaque sénateur et par le droit de suffrage , puisque c'est du peuple seul qu'on pouvait obtenir le pouvoir et l'entrée dans les magistratures , et par la puissance judiciaire , le ...
... peine à se soumettre . Enfin le peuple maintenait chaque sénateur et par le droit de suffrage , puisque c'est du peuple seul qu'on pouvait obtenir le pouvoir et l'entrée dans les magistratures , et par la puissance judiciaire , le ...
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Parole e frasi comuni
accusator accusé ærarium ambitus Appien Ascon atque avaient Bobb c'était Cæsar Caius Caius Gracchus Calpurnia César chevaliers Cicéron citoyens Cluent comices comices-tribus concussion condamnation constitution consuls Cornelia crime criminelle Denys devant Dio Cass Dion Cassius ejus enim epit erat esset etiam Geib Gracchus Gracques Guerre civ Ibid judices judiciaire juges jurés juridiction jury Klenze l'accusé l'administration l'ærarium l'empire lege legem loi Julia loi Servilia lois magistrats magistratures Milon neque Orat Orell peuple Pison plebis Plin Plut politique Polybe Pompée populaire populum pouvoir prætor préteur prince procédure procès provinces provinciaux public puissance quæ quæstiones quam questeurs quibus quid quis quod quum repetundarum république Romains Rome Schol sénat sénateurs senatus seul Sigonius Suet sunt Sylla tion Tite-Live tribunal tribunat tribuns tribunus plebis Verr Verrès vote δὲ ἐν ἐς καὶ μὲν τὰς τε τὴν τῆς τὸ τοῖς τοῦ τοὺς τῷ τῶν
Brani popolari
Pagina 227 - ... naître les besoins publics des besoins publics. Bien loin de donner à de telles gens la puissance de juger, il auroit fallu qu'ils eussent été sans cesse sous les yeux des juges.
Pagina 227 - Ce fut pourtant une des causes de la guerre des esclaves. Je ne dirai qu'un mot : une profession qui n'a ni ne peut avoir d'objet que le gain ; une profession qui demandait toujours, et à qui on ne demandait rien ; une profession sourde et inexorable , qui appauvrissait les richesses et la misère même , ne devait point avoir à Rome les jugements.
Pagina 184 - L' antiche leggi, e furon si civili, Fecero al viver bene un picciol cenno Verso di te, che fai tanto sottili Provvedimenti, ch' a mezzo novembre Non giunge quel che tu d
Pagina 369 - Ad genua iudicum, cum sententiae ferrentur, bifariam se diviserunt qui pro eo rogabant : ab uno latere Scaurus ipse et M'.
Pagina 342 - Alii ideo putant divinationem dici, quod inhirati iudices in hac causa sedeant et, quod velint, praesentire de utroque possint, alii, quod res agatur sine testibus et sine tabulis et his remotis argumenta sola sequantur iudices et quasi divinent.
Pagina 423 - ... constitutionnelle. La liberté individuelle est atteinte; c'est au Sénat qu'il appartient de la défendre et de la garder. En est-il vraiment ainsi? Les formes ont-elles cette importance? Écoutons sur ce point un de nos plus grands jurisconsultes, le vieil et vénérable Ayrault '. « En la justice, dit-il, la formalité y est si nécessaire qu'on n'y saurait se dévoyer tant soit peu, y laisser et omettre la moindre forme et solennité requise, que tout l'acte ne vînt incontinent à perdre...
Pagina 354 - Neminem voluerunt majores nostri, non modo de existimatione cujusquam, sed ne pecuniaria quidem de re minima, esse judicem, nisi qui inter adversarios convenisset.
Pagina 251 - Q. Varius Hispanus M. Scaurum principem senatus socios in arma ait convocasse; M. Scaurus princeps senatus negat; testis nemo est: utri vos, Quirites, convenit credere?
Pagina 241 - Laboulaye pensent que ce privilège était assuré à tous les provinciaux. « C'était tout à la fois une magnifique indemnité pour les fatigues et les périls de l'accusation et un préservatif certain contre les vengeances du successeur dans la province ; jaloux de punir l'injure faite à un collègue et de prévenir, en les étouffant par la terreur, les plaintes même 1rs plus légitimes.
Pagina 176 - D'ailleurs, un préteur eût-il voulu faire le bonheur de la province, l'exemple de Mucius était là pour prouver que faire le bien lui était impossible, car la province lui appartenait bien moins qu'à cette foule de publicains, fermiers des impôts, toutpuissants par leur influence à Rome et sans pitié pour les pays qu'il pressuraient.