Essai sur les lois criminelles des Romains concernant la responsabilité des magistratsCrapelet, 1845 - 452 pagine |
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... provinces , leur mauvais gouver- nement le conduisirent à étudier séparément du droit criminel privé les lois concernant la bilité des officiers publics ; et comme son point de vue était juste et pris de haut , il a fait un bon livre ...
... provinces , leur mauvais gouver- nement le conduisirent à étudier séparément du droit criminel privé les lois concernant la bilité des officiers publics ; et comme son point de vue était juste et pris de haut , il a fait un bon livre ...
Pagina xxiii
... provinces , et donne le secret de la puissance impériale , qui tourna au despotisme dès le premier jour . Mon livre n'eût - il mis que cette vérité en pleine lumière , je ne regretterais pas la peine qu'il m'a coûtée . Je ne finirai pas ...
... provinces , et donne le secret de la puissance impériale , qui tourna au despotisme dès le premier jour . Mon livre n'eût - il mis que cette vérité en pleine lumière , je ne regretterais pas la peine qu'il m'a coûtée . Je ne finirai pas ...
Pagina 7
... provinces , le monde entier . Latifundia perdidere Italiam , jam et provincias : ce mot célèbre de Pline restera dans ( 1 ) Appien , Guerre civ . 1 , 7 . ( 2 ) Liv . XXXIV , 4 . I l'histoire comme l'arrêt de mort de la société ro- maine - ...
... provinces , le monde entier . Latifundia perdidere Italiam , jam et provincias : ce mot célèbre de Pline restera dans ( 1 ) Appien , Guerre civ . 1 , 7 . ( 2 ) Liv . XXXIV , 4 . I l'histoire comme l'arrêt de mort de la société ro- maine - ...
Pagina 12
... provinces , il se forma une noblesse plus dangereuse que l'ancien patriciat , noblesse d'argent et de places qui , sans principes et sans traditions , ne vit plus dans Rome qu'une ma- râtre , et dans la sévérité des institutions et des ...
... provinces , il se forma une noblesse plus dangereuse que l'ancien patriciat , noblesse d'argent et de places qui , sans principes et sans traditions , ne vit plus dans Rome qu'une ma- râtre , et dans la sévérité des institutions et des ...
Pagina 14
... provinces . La lutte se compliqua de la question du droit de cité , des besoins du peuple , des ambitions personnelles et de la corruption générale ; mais le fond de la querelle porta sur les lois criminelles des- tinées à modérer le ...
... provinces . La lutte se compliqua de la question du droit de cité , des besoins du peuple , des ambitions personnelles et de la corruption générale ; mais le fond de la querelle porta sur les lois criminelles des- tinées à modérer le ...
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Parole e frasi comuni
accusator accusé ærarium ambitus Appien Ascon atque avaient Bobb c'était Cæsar Caius Caius Gracchus Calpurnia César chevaliers Cicéron citoyens Cluent comices comices-tribus concussion condamnation constitution consuls Cornelia crime criminelle Denys devant Dio Cass Dion Cassius ejus enim epit erat esset etiam Geib Gracchus Gracques Guerre civ Ibid judices judiciaire juges jurés juridiction jury Klenze l'accusé l'administration l'ærarium l'empire lege legem loi Julia loi Servilia lois magistrats magistratures Milon neque Orat Orell peuple Pison plebis Plin Plut politique Polybe Pompée populaire populum pouvoir prætor préteur prince procédure procès provinces provinciaux public puissance quæ quæstiones quam questeurs quibus quid quis quod quum repetundarum république Romains Rome Schol sénat sénateurs senatus seul Sigonius Suet sunt Sylla tion Tite-Live tribunal tribunat tribuns tribunus plebis Verr Verrès vote δὲ ἐν ἐς καὶ μὲν τὰς τε τὴν τῆς τὸ τοῖς τοῦ τοὺς τῷ τῶν
Brani popolari
Pagina 227 - ... naître les besoins publics des besoins publics. Bien loin de donner à de telles gens la puissance de juger, il auroit fallu qu'ils eussent été sans cesse sous les yeux des juges.
Pagina 227 - Ce fut pourtant une des causes de la guerre des esclaves. Je ne dirai qu'un mot : une profession qui n'a ni ne peut avoir d'objet que le gain ; une profession qui demandait toujours, et à qui on ne demandait rien ; une profession sourde et inexorable , qui appauvrissait les richesses et la misère même , ne devait point avoir à Rome les jugements.
Pagina 184 - L' antiche leggi, e furon si civili, Fecero al viver bene un picciol cenno Verso di te, che fai tanto sottili Provvedimenti, ch' a mezzo novembre Non giunge quel che tu d
Pagina 369 - Ad genua iudicum, cum sententiae ferrentur, bifariam se diviserunt qui pro eo rogabant : ab uno latere Scaurus ipse et M'.
Pagina 342 - Alii ideo putant divinationem dici, quod inhirati iudices in hac causa sedeant et, quod velint, praesentire de utroque possint, alii, quod res agatur sine testibus et sine tabulis et his remotis argumenta sola sequantur iudices et quasi divinent.
Pagina 423 - ... constitutionnelle. La liberté individuelle est atteinte; c'est au Sénat qu'il appartient de la défendre et de la garder. En est-il vraiment ainsi? Les formes ont-elles cette importance? Écoutons sur ce point un de nos plus grands jurisconsultes, le vieil et vénérable Ayrault '. « En la justice, dit-il, la formalité y est si nécessaire qu'on n'y saurait se dévoyer tant soit peu, y laisser et omettre la moindre forme et solennité requise, que tout l'acte ne vînt incontinent à perdre...
Pagina 354 - Neminem voluerunt majores nostri, non modo de existimatione cujusquam, sed ne pecuniaria quidem de re minima, esse judicem, nisi qui inter adversarios convenisset.
Pagina 251 - Q. Varius Hispanus M. Scaurum principem senatus socios in arma ait convocasse; M. Scaurus princeps senatus negat; testis nemo est: utri vos, Quirites, convenit credere?
Pagina 241 - Laboulaye pensent que ce privilège était assuré à tous les provinciaux. « C'était tout à la fois une magnifique indemnité pour les fatigues et les périls de l'accusation et un préservatif certain contre les vengeances du successeur dans la province ; jaloux de punir l'injure faite à un collègue et de prévenir, en les étouffant par la terreur, les plaintes même 1rs plus légitimes.
Pagina 176 - D'ailleurs, un préteur eût-il voulu faire le bonheur de la province, l'exemple de Mucius était là pour prouver que faire le bien lui était impossible, car la province lui appartenait bien moins qu'à cette foule de publicains, fermiers des impôts, toutpuissants par leur influence à Rome et sans pitié pour les pays qu'il pressuraient.