Oeuvres morales et philosophiques

Copertina anteriore
Firmin-Didot, 1879 - 473 pagine

Dall'interno del libro

Sommario

Comment on connaît que cette glande est le principal siége de lâme 254
32
33 Que le siége des passions nest pas dans le cœur
33
Comme lâme et le corps agissent lun contre lautre 255
35
Exemple de la façon que les passions sont excitées en lâme
36
Ire Partie Considérations touchant les sciences
37
Exemple des mouvements du corps qui accompagnent les pas sions et ne dépendent point de lâme
38
Comment une même cause peut exciter diverses passions en divers hommes 258
39
Quel est le principal effet des passions
40
Quel est le pouvoir de lâme au regard du corps
41
Comment on trouve en sa mémoire les choses dont on veut se souvenir 259
42
Comment lâme peut imaginer être attentive et mouvoir le corps
43
Que chaque volonté est naturellement jointe à quelque mou vement de la glande mais que par industrie ou par habitude on la peut joindre à dautres 2...
44
Quel est le pouvoir de lâme au regard de ses passions
45
Partie Quelques règles de la morale tirées de cette méthode
46
En quoi consistent les combats quon a coutume dimaginer entre la partie inférieure et la supérieure de lâme 262
47
En quoi on connaît la force ou la faiblesse des âmes et quel est le mal des plus faibles 263
48
Que la force de lâme ne suffit pas sans la connaissance de la vérité 264
49
Quil ny a point dâme si faible quelle ne puisse étant bien conduite acquérir un pouvoir absolu sur ses passions 265
50
Quelles sont les premières causes des passions
51
Quel est leur usage et comment on les peut dénombrer
52
Partie Raisons qui prouvent lexistence de Dieu et de lâme
53
268
54
La vénération et le dédain
55
La vénération et le dédain 269
56
57 Le désir
57
Lespérance la crainte la jalousie la sécurité et le désespoir
58
Lirrésolution le courage la hardiesse lémulation la lâcheté et lépouvante 270
59
Ve Partie Ordre des questions de physique des bêtta
60
La joie et la tristesse
61
La moquerie lenvie la pitié
62
La satisfaction de soimême et le repentir 271
64
Lindignation et la colère
65
La gloire et la honte
66
Le dégoût le regret et lallégresse 272
68
Quil ny a que six passions primitives
69
De ladmiration sa définition et sa cause 273
71
En quoi consiste la force de ladmiration
72
Partie Quelles choses sont requises pour aller plus avant en
75
Que son excès peut passer en habitude lorsque lon manque
78
De la distinction quon a coutume de faire entre lamour
81
Préface
98
En la joie
99
En la joie
104
En la tristesse
105
Méditation première Des choses que lon peut révoquer en doute
107
Méditation seconde De la nature de lesprit humain et quil
113
De la langueur
119
Méditation troisième De Dieu quil existe
124
Pourquoi il naccompagne point les plus grandes joies
125
Comment ce qui fait de la douleur à lœil lexcite à pleurer
130
De lusage des cinq passions ici expliquées en tant quelles
137
Du désir de la joie et de la tristesse
141
Méditation quatrième Du vrai et du faux
144
De ceux qui ne dépendent que des autres choses et ce
145
Pour quelle cause on peut sestimer
152
Méditation cinquième De lessence des choses matérielles et dere
154
Que ses effets sont contraires à ceux de la générosité
158
Méditation sixième De lexistence des choses matérielles et de
162
Du dédain
163
Du courage et de la hardiesse
171
Du remords
177
ABRÉGÉ des Objections faites contre les Méditations et des Réponses
181
Comment elle peut être juste ou injuste
183
Pourquoi cette passion excite à pleurer
189
Quatrièmes objections par Arnauld
191
De lindignation
195
Quil y a deux sortes de colère et que ceux qui ont le plus
201
De lusage de ces deux passions
206
Remarques de lauteur sur les septièmes objections
214
Première partie Des passions en général et par occasion de toute
237
En quoi consiste la force de ladmiration
274
Ce que cest que létonnement ib 74 A quoi servent toutes les passions et à quoi elles nuisent
275
Que cest delles seules que dépend tout le bien et le mal de cette
312
Sur les objets dont on se propose létude il faut cher
358
tion des choses vers lesquelles il est nécessaire de tourner
368
Règle XVI Quant aux dimensions qui nexigent pas lattention
425
Les équations trouvées nous devons achever les opé
434
En quoi consiste particulièrement ladmiration ib 76 En quoi elle peut nuire et comment on peut suppléer à son dé
DESCARTES 30

Parole e frasi comuni

Brani popolari

Pagina 33 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention /et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Pagina 65 - ... l'esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps, que, s'il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu'ils n'ont été jusqu'ici, je crois que c'est dans la médecine qu'on doit le chercher.
Pagina 44 - Et remarquant que cette vérité: je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir, sans scrupule, pour le premier principe de la philosophie, que je cherchais.
Pagina 44 - Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps, et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse...
Pagina 104 - Je fermerai maintenant les yeux, je boucherai mes oreilles, je détournerai tous mes sens, j'effacerai même de ma pensée toutes les images des choses corporelles, ou du moins, parce qu'à peine cela se peut-il faire, je les réputerai comme vaines et comme fausses ; et ainsi m'entretenant seulement moi-même, et considérant mon intérieur, je tâcherai de me rendre peu à peu plus connu et plus familier à moi-même.
Pagina 30 - C'est pourquoi je ne saurais aucunement approuver ces humeurs brouillonnes et inquiètes, qui, n'étant appelées ni par leur naissance ni par leur fortune au maniement des affaires publiques, ne laissent pas d'y faire toujours en idée quelque nouvelle réformation...
Pagina 66 - Mais l'ordre que j'ai tenu en ceci a été tel : premièrement, j'ai tâché de trouver en général les principes ou premières causes de tout ce qui est ou qui peut être dans le monde, sans rien considérer pour cet effet que Dieu seul qui l'a créé, ni les tirer d'ailleurs que de certaines semences de vérités qui sont naturellement en nos âmes.
Pagina 26 - C'est pourquoi, sitôt que l'âge me permit de sortir de la sujétion de mes précepteurs, je quittai entièrement l'étude des lettres; et me résolvant de ne chercher plus d'autre science que celle qui se pourrait trouver en moi-même, ou bien dans le grand livre du monde...
Pagina 44 - ... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle.
Pagina 45 - Et ayant remarqué qu'il n'ya rien du tout en ceci, je pense, donc je suis, qui m'assure que je dis la vérité, sinon que je vois très clairement que pour penser il faut être, je jugeai que je pouvais prendre pour règle générale que les choses que nous concevons fort clairement et fort distinctement sont toutes vraies, mais qu'il ya seulement quelque difficulté à bien remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement.

Informazioni bibliografiche