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Gaillelins 80 à 120 millimètres, 50
à 80 et 50 à 120 millimètres...
Criblés 50 millimètres.....
Criblés 30 millimètres...
Fines brutes 0 à 50 millimètres..
Fines brutes 0 à 30 millimètres..
Fines brutes 0 à 10 millimètres..
Grains secs, 10 à 50 millimètres.
Grains secs, 10 à 30 millimètres.
Poussier, 0 à 2 millimètres..

Têtes de moineaux sèches triées,
30 à 50 millimètres...

Noisettes sèches, 20 à 30 milli

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Têtes de moineaux lavées, 30 à Douchy... 6 50 millimètres.....

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Métallurgique....

Moins de 22 p. 100.

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De fonderie..

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Art. 2. Les prix de vente aux consommateurs des combustibles en provenance des mines d'Anzin sont fixés comme il suit :

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Art. 3. Les prix fixés ci-dessus s'appliquent aux combustibles livrés sur wagon départ ou sur bateau, à dater du 1er janvier 1921, les combustibles livrés sur wagon particulier des compagnies houillères ou par voitures chargées sur le carreau sont vendus 5 fr. la tonne plus cher.

Les prix fixés ci-dessus ne comprennent pas la surtaxe de péréquation que les mines peuvent êire chargées de percevoir sur les consommateurs pour le compte de l'Etat.

Paris, le 12 janvier 1921.

Le ministre des travaux publics,

YVES LE TROCQUER.

Le sous-secrétaire d'Etat des mines et des forces hydrauliques,

BORREL.

MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE

Par arrêté en date du 11 janvier 1921 :

M. Marcellin (Albert-Paul), garde communal des eaux et forêts domanialisé, au poste de Flassan (Vaucluse), triage n° 4 du cantonnement de Carpentras, est mis en disponibilité

sur

sa demande à compter du 15 décembre 1920.

M. Monnier (Joseph-Emile-Marc), garde communal des eaux et forêts domanialisé, au poste de Seloncourt (Doubs), triage n° 13 de l'inspection de Montbéliard, est mis en disponibilité sur sa demande à compter du 20 décembre 1920.

M. Grisier (Lucien-Julien), garde communal des eaux et forêts domanialisé. au poste de Fleurey (Doubs), triage n° 28 de l'inspection de Montbéliard, poste supprimé, est appelé, sur sa demande et en la même qualité, au poste non logé de Seloncourt, même département, triage n° 13 de la même inspection, en remplacement de M. Monnier, en disponibilité.

M. Mouquand (Joseph-Léon), garde communal des eaux et forêts domanialisé, au poste de la Chaux (Doubs), triage n° 5 de l'inspection de Pontarlier, est appelé, sur sa demande et en la même qualité, au poste non logé de Sur-laSeigne, commune de Montlebon, même département, triage n° 3 de la même inspection.

M. Coulardot (Francis-Auguste), garde domanial des eaux et forêts au poste non logé d'Arc-sous-Montenot (Doubs), triage n° 7 du cantonnement de Levier, est appelé, sur sa demande et en la même qualité, à la maison forestière du Petit-Clos, commnne de Villeneuved'Amont, même département, triage n° 15 de inspection de Pontarlier, en remplacement de M. Baudoz, promn au grade supérieur et appelé à une autre destination.

M. Laresche (Joseph-Adolphe), brigadier communal des eaux et forêts domanialisé au poste de Montperreux (Doubs), brigade no 4 de l'inspection de Pontarlier, est appelé, sur sa demande et en la même qualité, au poste des Granges-Sainte-Marie, même département, brigade no 7 de la même inspection.

M. Chauvé (Henry-Louis), garde domanial des eaux et forêts à la maison forestière de Rouperroux (Orne), triage n° 9 du cantonnement d'Alençon, poste supprimé, est appelé, sur sa demande et en la même qualité, à la maison forestière du Papillon, commune de Liffré (Ille-et-Vilaine), triage n° 4 du cantonnement de Rennes, en remplacement de M. Blochet, promu au grade supérieur et appelé à une autre destination.

Par arrêté du 10 janvier 1921 :

M. Tricon (Léon-Auguste-Honoré), garde domanial des eaux et forêts à la maison forestière de Soucy, commune de Soucy (Yonne), est mis en disponibilité.

Est rapporté l'arrêté du 23 juin 1920 admet tant à faire valoir ses droits à la retraite M. Lescouët (Albert-Maurice), brigadier domanial des eaux et forêts à la inaison forestière de la Gendarmerie, commune de Saint-Michel (Aisne), brigade no 2 du cantonnement d'Hirson. M. Lescouët est maintenu en fonctions à Saint-Michel, sa résidence actuelle.

Sont nommés brigadiers domaniaux des eaux et forêts de 4 classe et maintenus en cette qualité à la disposition du commissariat général de la République à Strasbourg, les gardes domaniaux des eaux et forêts détachés au service forestier d'Alsace et Lorraine dont les noms suivent:

M. Bourgeois (Georges).
M. Alliet (Adrien-Eugène).

MINISTÈRE DES PENSIONS, DES PRIMES ET DES ALLOCATIONS DE GUERRE

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre des pensions, des primes et des allocations de guerre, et du ministre des finances,

Vu l'article 144 de la loi de finances du 13 juillet 1911;

Vu les lois de 6 et 18 octobre 1919; Vu la loi des finances du 31 juillet 1920; Vu le décret du 19 septembre 1920, portant organisation de l'administration centrale du ministère des pensions, en ce qui concerne le nombre des emplois et traitements, et notamment l'article 3;

Vu l'article 13 du décret du 19 septembre 1920, portant organisation de l'administration centrale du ministère des pensions, en ce qui concerne le recrutement, l'avancement et la discipline du personnel, Décrète : Art. 1er. Les émoluments annuels des dames sténodactylographes sont répartis ainsi qu'il suit :

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Les émoluments fixés par le présent décret sont exclusifs de toute gratification. Aucune indemnité ou avantage accessoire, de quelque nature que ce soit, ne peut être attribué aux dames sténodactylographes que dans les limites et conditions fixées par un décret réglementaire contresigné par le ministre des finances et publié au Journal officiel.

La répartition des dames sténodactylographes entre les classes doit être telle que la moyenne des traitements ne dépasse pas 5,500 fr.

Art. 2. L'admission à l'emploi de dame sténodactylographe à l'administration centrale des pensions est prononcée à la suite d'un concours dont les conditions sont fixées par arrêté du ministre. Les dames sténodactylographes sont soumises à un stage d'un an pendant lequel elles reçoivent une allocation annuelle de 4,009 fr., non sujette à retenue; cette période révolue, le chef de service sous l'autorité duquel elles ont servi, propose au ministre leur titularisation à la 7° classe, la prolongation de leur stage ou leur licenciement.

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congé sera accordé de droit. Il sera fixé à

semaines. Le point de départ en sera déterminé par le médecin du ministère sur la demande de l'employée intéressée.

Dispositions transiloires.

Art. 5. — Les dames sténodactylographes titulaires et stagiaires provenant de l'administration centrale du ministère de la guerre, qui opteraient pour le passage définitif au ministère des pensions avant le 20 mars 1921, seront versées, à partir de la date de notification de leur option, dans la classe immédiatement supérieure à celle qu'elles occupent à l'administration centrale de la guerre.

Art. 6. Le ministre des pensions, des primes et des allocations de guerre et le ministre des finances sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel.

Fait à Paris, le 10 janvier 1921.

A. MILLERAND.

Par le Président de la République : Le ministre des pensions, des primes et des allocations de guerre,

MAGINOT.

Rédacteurs.

MM. Micaleff, Morin, Clerc, Mile Lejeune.

Commis principaux et commis d'ordre
et de comptabilité.

Boittiaux, Allilaire, Girond, Dion, Orial, Vin-
MM. Poujade, Faugeron, Mazarguil, Chanson,
cent, Saunier, Lecourt.

Expéditionnaires principaux et expédi-
tionnaires.

MM. Huet, Ortoli, Olivieri, Ferrand, Belle,
Violette, Martonnaud. Vallet.

Dames sténodactylographes

Mmes et Miles Barthélemy, Mousset, Toureng,
Duprey, Vaudey, Bourgin, Muller, Goichot,
Tournaire, Villain, Morellen, Levy, Marcus,
Emmanuel, Altmayer, Perraud, Borzeix, Payen,
Bailles, Galerne, Marcadé, Levasseur, Mathieu,
Bretaudeau, Ferment, Taddeï, Guillaume.
Gardiens de bureau.

MM. Baudoin, Guyon.

Fait à Paris, le 31 décembre 1920.
Le ministre des pensions, des primes
et des allocations de guerre,

MAGINOT

département de la Seine. A pris la part la plus active dans la lutte contre la tubercu lose; a organisé, notamment en 1915, l'école pour la formation des infirmières antituberculeuses pour les stations sanitaires du ministère de l'intérieur; a collaboré de la façon la plus efficace aux travaux du comité départemental pour l'assistance aux anciens militaires tuberculeux de la Seine; a contribué à la création et à l'installation de dispensaires et sanatoriums pour les soldats tuberculeux.

Le docteur Gourivaud (Abel-Théodore), inspecteur de l'assistance publique de la HauteVienne. Dans les fonctions d'adjoint au maire, à Brest, a manifesté la plus efficace activité pour l'organisation et le développement des services d'hygiène de sa ville. Sous-inspecteur de l'assistance publique du Finistère, puis inspecteur de l'assistance publique de la Haute-Vienne, a occupé ces postes en faisant preuve d'un parfait dévouement, se consacrant sans compter à sa tâche, multipliant les services de protection de l'enfance et notamment la consultation de nourrissons; 30 ans de services.

Art. 2. Le ministre de l'hygiène, de l'assistance et de la prévoyance sociales et le grand chancelier de la Légion d'honneur sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret. Fait à Paris, le 12 janvier 1921.

A. MILLERAND. Par le Président de la République :

Le ministre des finances, MINISTÈRE DE L'HYGIÈNE, DE L'ASSISTANCE Le ministre de l'hygiène, de l'assistance

F. FRANÇOIS-MARSAL.

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Bouchacourt (Marc-Henry), directeur de la
maison nationale maternelle de Saint-Mau-
rice (Seine). Ancien sous-préfet, ancien con-
seiller de préfecture de la Seine depuis 1918,
directeur de la maison nationale de santé de
Saint-Maurice. A présidé de la façon la plus
active à sa transformation rapide en maison
nationale maternelle; 32 ans de services
administratifs.

Joly (Eugène-Louis-César), secrétaire du con-
seil supérieur de la mutualité. Fondateur et
président depuis 1880 de l'union du commerce
et de l'industrie. Fondateur de la mutualité
maternelle de Saint-Etienne. A participé à la
création de nombreuses sociétés de secours
mutuels, notamment de mutualités fémi-

et de la prévoyance sociales,

J.-L. BRETON.

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'hygiène, de l'assistance et de la prévoyance sociales,

Vu les lois des 25 juillet 1873, 28 janvier 1897, 26 juillet 1912 et 16 août 1920, sur les récompenses nationales;

Vu la déclaration du conseil de l'ordre en date du 1er octobre 1920 portant que la nomination du présent décret est faite en conformité des lois, décrets en vigueur,

Décrète:

Art. 1er.. Est nommée dans l'ordre national de la Légion d'honneur au grade de chevalier :

Mme Thalheimer (Jeanne), présidente fondatrice de l'entr'aide des femmes françaises. Pendant toute la guerre infirmière-major à l'hôpital militaire du Grand Palais. A, par la création de l'œuvre d'assistance dont elle assume avec une inlassable activité la présidence, contribué efficacement au succès de généreuses organisations pour la protection de l'enfance, par l'installation de plusieurs pouponnières universitaires » modèles et l'établissement de cours de puériculture et de stages pratiques, a obtenu les plus encourageants et les plus efficaces résultats.

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nines et maternelles et de douze unions départementales. A fourni un généreux effort de propagandiste tant par le livre que par l'organisation de conférences dans le plateau central. Depuis 1880, membre du conseil supérieur de la mutualité au sein duquel il a été désigné à plusieurs reprises pour exercer les fonctions de secrétaire. Directeur de l'orphelinat municipal de Saint-Etienne. Mile Milliard (Berthe-Marie-Marguerite), directrice de l'école des infirmières visiteuses, agrégée de l'université, membre du conseil supérieur de l'assistance publique, membre de l'assistance et de la prévoyance sociales, de la commission permanente contre la tuberculose, membre du conseil de surveillance de l'office public d'hygiène sociale du

A. MILLERAND,
Par le Président de la République :
Le ministre de l'hygiène,

J.-L. BRETON.

Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de l'intérieur et du ministre de l'hygiène, de l'assistance et de la prévoyance sociales,

Vu la loi du 23 décembre 1912, modifiant et complétant la loi du 12 avril 1906 sur les habitations à bon marché et spécialement son titre II;

Vu les délibérations du conseil municipal de Montluçon en date des 12 mars et 11 juin 1920;

Vu la lettre du préfet de l'Allier en date du 17 juin 1920, attestant que le comité de patronage des habitations à bon marché et de la prévoyance sociale, désorganisé, ne peut émettre un avis;

Vu l'avis émis à la date du 29 novembre 1920 par le comité pernianent du conseil supérieur des habitations à bon marché;

Les sections des travaux publics, de l'agriculture, du commerce, de l'industrie, des postes et des télégraphes, du travail et de la prévoyance sociale et de l'intérieur, de l'instruction publique et des beaux-arts du conseil d'Etat entendues,

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Vu les décrets du 21 juin 1906, portant rẻ- | glement d'administration publique sur l'organisation des corps de l'intendance militaire et de santé des troupes coloniales;

Vu les décrets du 15 février 1915 portant règlement d'administration publique et modifiant les décrets du 21 juin 1906, sur l'organisation des corps de l'intendance militaire et de santé des troupes coloniales; Vu la loi du 14 avril 1832 sur l'avancement dans l'armée;

glement, d'après la hiérarchie des grades et Vu l'ordonnance du 16 mars 1838, portant rèfenctions, sur la progression de l'avancement et la nomination aux emplois dans l'armée, en exécution de la loi du 14 avril 1832;

Le conseil d'Etat entendu,

Décrète :

Art. 1. Jusqu'à nouvelle décision à intervenir, le temps passé dans la zone des arcompte, pour les fonctionnaires et les officiers mées pendant la durée des hostilités sera d'administration de l'intendance militaire des

troupes coloniales, comme temps de séjour aux colonies dans le décompte du temps de séjour colonial nécessaire, en vertu des articles 13 et 15 du premier décret du 21 juin 1906, modifiés le 15 février 1915, pour être promu au choix dans le grade supérieur.

Art. 2. Les dispositions de l'article 1er cidessus seront appliquées, dans les mêmes conditions, aux officiers et aux officiers d'administration du corps de santé des troupes coloniales visés par les articles 4 et 6 du deuxième décret du 21 juin 1906, medifiés par les articles 1er et 2 du deuxième décret du 15 février

1915.

Art. 3. Les ministres de la guerre et des colonies sont chargés, chacun en ce qui le concerns, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française et inséré au Bulletin des lois. Fait à Paris, le 8 janvier 1921.

A. MILLERAND.

Par le Président de la République : Le ministre de la guerre,

RAIBERTI.

Le ministre des colonies, A. SARRAUT.

Le ministre de la guerre,
Vu la loi du 13 juin 1920,
Arrêta:

Article unique. Sont inscrits aux tableaux spéciaux de la Légion d'honneur et de la médaille militaire:

LÉGION D'HOINIUR

Officiers.

(Pour prendre rang du 16 juin (920.) GENAIS (Victor-Médéric), commandant du 1er bataillon du 57• rég. d'infanterie (active) : Excellent officier supérieur qui a fait preuve, en mars et avril 1918, au mont Renaud, au moment de la poussée allemande vers Paris, des plus belles qualités d'énergie et de dévouement. Quoique souffrant d'une blessure de guerre grave, reçue en septembre 1914, a tenu à rester à la tête de son bataillon jusqu'à l'extrême limite de ses forces, faisant preuve des plus belles qualités militaires. Perte presque complète de la vue.

GRILLOT (François-Célestin-Balthazar), chef de bataillon du 5 bataillon du 359 rég. d'infanterie (active): Excellent officier, ayant un réel ascendant sur ses hommes. A été intoxiqué gravement, le 25 juin 1917, lors d'une violente attaqué allemande.

BARRACHET (Jean), capitaine à la ira compagnie du 1er rég. de marche de tirailleurs algériens (active): Officier remarquable par ses qualités de bravoure et d'énergie, modele de sang-froid au feu et de fougue dans l'attaque. Très grièvement blesse, le 12 septembre 1916, en se portant à l'assaut des lignes ennemies. Trois blessures antérieures.

Chevaliers.

Commandant de compagnie energique. A eu une belle attitude aux combats d'Assevent du 4 au 6 septembre 1914. A été très grièvement blessé en entraînant son unité à l'at taque. Perte de la vision de l'œil gauche. ARDOUVIN

lieutenant à la 10 compagnie du 7° rég. de (Gilbert-Gabriel), mle 32937, marche de tirailleurs (réserve): Officier posanimé d'un admirable esprit offensif. Le sédant les plus belles qualités militaires, 2 septembre 1918, a été très grièvement blessé en se portant, à la tête de sa section, à l'assaut d'une forte position ennemie malgré un violent feu de mitrailleuses.

CHAMPAGNE (Albert), mle 4062, sergent (territorial) à la 10 compagnie du 1er rég. de tirailleurs: Vieux sous-officier d'une conscience et d'un dévouement à toute épreuve, d'une bravoure remarquable. S'est fait remarquer tout particulièrement pendant la dure période de l'hiver 1917-1918. A brillamment entraîné sa section à la contre-attaque du 18 avril 1918, au Château-Sans-Noin, près de Villers-Tournelle (Somme). Blessé très grièvement, le 21 avril, en allant reconnaître fes positions ennemies, s'est rendu lui-même au P. C. et ne s'est laissé évacuer qu'après avoir rendu compte de sa mission, faisant ainsi l'admiration de tous. Amputation de l'avant-bras gauche.

MÉDAILLE MILITAIRE

(Pour prendre rang du 23 décembre 1915.)

DIDIER (Emile-Antoine-Nicolas), mle 33, caporal (territorial) à la 2e compagnie du 17 rég. d'infanterie: bón gradé. Blessé très grièvement au cours d'une attaque française, le 23 août 1914, à Badonvillers, dans l'accomplissement courageux de son dévoir.

(Pour prendre rang au 17 janvier 1916.)

GABAYET (Hippolyte), mle 015214, soldat (territorial) à la 70 compagnie du 22 rég. d'infanterie: Soldat dévoué et courageux. Très grièvement blessé, le 25 septembre 1914, au combat de Foucaucourt.

(Pour prendre rang du 8 février 1916.) BELICHA (Armand), mle 018442, zouave (réserve) à la 9 compagnie du 9e rég. de marche de Zouaves: Zouave d'un courage et d'un dévouement exemplaires, très crâne au feu. S'est particulièrement distingué à l'attaque du 25 avril 1915, au cours de laquelle il fût très grièvement blessé.

(Pour prendre rang du 15 février 1916.) ROSSINOT (Charles-Marie-Auguste), mle 821, soldat (territorial) à la 50 compagnie du 1606 rég. d'infanterie: bon et brave soldat qui s'est toujours vaillamment comporté au combat. A élé très grièvement blessé, le 25 septembre 1914, à Fresnoy-les-Roye.

(Pour prendre rang du 20 février 1916.)

LEBEAU (Marcel-Justin), mle Rt 2908, sergent (réserve) à la 29 compagnie du 3536 rég. d'infanterie: a bravement conduit sa fraction à l'attaque de Lironville, le 22 septembre 1914. A été blessé et très fortement commotionné.

(Pour prendre rang du 13 mars 1916.) CHOTARD (René-Jean-Ferdinand), mle 011051, soldat (territorial) à la 2 compagnie du 1460 rég. d'infanterie: soldat courageux et dévoué. A été très grièvement blessé en se portant à l'attaque des tranchées ennemies, le 9 novembre 1914, au combat de Kemmel (Belgique).

AMAR (Charles), mle 014092, zouave (territorial) à la fre compagnie du 3 rég. bis de Zouaves: bon zouave, dévoué et courageux, très grièvement blessé à l'épaule gauche, le A février 1915, en se portant à Paltaque des tranchées ennemies,

(Pour prendre rang du 23 juin 1916.) BRIAND (Robert), mle 12994, caporal (réserve), à la 2o compagnie da 7• rég. de marche de zouaves: très bon grade, courageux et dévoué. Très grièvement blessé à Roclincourt, le 26 janvier 1915, en faisant son devoir.

(Pour prendre rang du 16 juin 1920.) (Pour prendre rang du 29 juin 1916.) BLOQUEL (André), lieutenant à la 22 com- CANTY (Annet-François-Régis), mle 08664, capagnie du 345 rég. d'infanterie (réserve); } poral (réserve), à la 18o compagnie du 358° rég.

d'infanterie: brave gradé, a toujours fait vail-
lamment son devoir. A été très grièvement
blessé, le 28 février 1915, à la Chapelotte, au
d'une attaque.
cours

(Pour prendre rang du 1er juillet 1916.) TALBOT (Léon-Louis), mle 6277, soldat (réserve) à la 8e compagnie du 37° rég. d'infanterie: excellent soldat, brave et dévoué. A été très grièvement blessé à l'offensive de Champagne, le 29 septembre 1915, devant Beauséjour.

fanterie bon soldat, dévoué et courageux. A
été très grièvement blessé en se portant à
l'attaque de la Main-de-Massiges, le 26 sep-
tembre 1915.

(Pour prendre rang du 8 mai 1917.)
RAYBAUD (Joseph), mle Rt 06864, soldat (ré-
serve) à la 30 compagnie du 40 rég. d'infante-
rie coloniale: très bon et brave soldat. Blessé
très grièvement, le 25 septembre 1915, à Mas-
siges, dans l'accomplissement de son devoir.

(Pour prendre rang du 13 mai 1917.)

26 rég. d'infanterie : bon soldat. Très griè...” vement blessé, le 26 août 1914, à Ramillies, en faisant courageusement son dévoir.

(Pour prendre rang du 8 mai 1918.) PROST (Michel), mle 01947, soldat de 1r classe (réserve) à la 1re compagnie du 153 rég. d'infanterie bon soldat. Très grièvement blessé, le 19 avril 1917, au Chemin-desDames, au cours d'un violent bombardement.

(Pour prendre rang du 12 juin 1918.). PEYRONON (Joannès), mle 6107, soldat (réterie bon soldat. Blessé très grièvement au Chemin-des-Dames, le 20 mai 1917, en résis-tant avec courage à une forte attaque ennemie..

(Pour prendre rang du 27 juillet 1916.) JALOUX (Léonard), mle 019190, soldat (ter-serve) à la 11 compagnie du 990 rég. d'infanPELLE (François), mle 4517, soldat (territo- ritorial) à la 5 compagnie du 14 rég. d'inrial) à la 14 compagnie du 420 rég. d'infante- fanterie soldat brave et courageux. Très rie coloniale: bon et brave soldat, très griè- grièvement blessé, le 14 janvier 1915, en ocvement blessé le 28 septembre 1915, en Cham-cupant les positions de combat devant Sommepagne, en faisant son devoir. Suippe.

(Pour prendre rang du 9 septembre 1916.). CHARRIER (Jules-Emile-Georges), mle 6798, caporal (réserve) à la compagnie de mitrail leuse du 273 rég. d'infanterie: caporal mitrailleur, a fait preuve en toutes circonstances d'énergie, d'endurance et de sang-froid. A été blessé très grièvement, le 7 février 1915, à son poste de tireur.

MORAND (Léon) mlc 386, soldat (réserve) à la 12a compagnie du 157 rég. d'infanterie : très bon soldat. Très grièvement blessé, le 10 octobre 1914, au moment d'une attaqué allemande, à Bouconville (Meuse)...

(Pour prendre rang du 16 septembre 1916.) ARNOULT (Alfred), mle 010573, sergent (territorial) à la 11 compagnie du 153 rég. d'infanteric sous-officier énergique et courageux. Très grièvement blessé, le 23 octobre 1914, à la ferme de Touvent, en se portant vaillamment à l'attaque des positions ennemies.

(Pour prendre rang du 1 novembre 1916.) MAIGRE (Charles-Fréjus), mle 11922, zouave (réserve) à la compagnie de mitrailleuses du 3 rég. bis de zouaves: très bon zouave mitrailleur, très courageux et dévoué au feu. A été très grièvement blessé, le 21 septembre 1915, Boesinghe, au cours d'un bombardement.

(Pour prendre rang du 12 novembre 1916.) BORIES (Baptiste), mle 01298, soldat (territorial) à la 3 compagnie du 24° rég. d'infanterie coloniale: bon soldat, ayant toujours eu une belle conduite au feu. Le 28 septembre 1915, à Massiges, a été très grièvement blessé en sè portant à l'attaque..

(Pour prendre rang du 24 novembre 1916.) COULON (Jean-Marie), mle 2169, sergent (réserve) au 3 rég. de zouaves: brave sous-officier. A été blessé très grièvement, le 7 décembre 1915, en Serbie, à la tête d'une section, dont le commandement venait de lui être confié.

(Pour prendre rang du 23 mai 1917.).
DAMEROI (Henri), mle 9215, soldat (réserve)
à la 22 compagnie du 37 rég. d'infanterie co
loniale: jeune soldat de la classe 1916. A l'at-
taque des 9 et 10 juillet 1916, a fait preuve du
plus grand courage et du plus grand sang-
froid. Blessé très grièvement, s'est maintenu
à son poste et ne s'est retiré que sur l'ordre,
de son commandant de compagnie. Perte de
l'œil gauche.

(Pour prendre rang du 5 octobre 1917.)
ROUS (Gabriel-Clotaire), mle 4781, caporal
(réserve) à la 30 compagnie du 6 bataillon de
chasseurs à pied : très bon gradé. Blessé très
grièvement en entrainant vaillamment son
escouade à l'assaut des tranchées ennemies.

(Pour prendre rang du 14 octobre 1917.) DARDY (Etienne), mle 019807, soldat (territorial) à la 6 compagnie du 7° rég. d'infante rie coloniale: soldat courageux et dévoué. Três grièvement blessé, le 2 juillet 1916, en se portant à l'attaque...

(Pour prendre rang du 24 octobre 1917.) HERVOUET (Félix), mle 019530, soldat (territorial) à la 100 compagnie du 174 rég. d'infanterie: soldat énergique et dévoué, courageux. A été très grièvement blessé, le 24 juin 1915, au combat de Notre-Dame-de-Lorette."

(Pour prendre rang du 5 novembre 1917.)

BENTOLILA (Salomon), mle 05388, zouave (réserve) à la 19 compagnie du 3 rég. de Zouaves zouave courageux, Blessé très grièvement en se portant bravement à l'assaut des tranchées ennemies, le 15 septembre 1916, devant Fleury (Verdun)..

(Pour prendre rang du 16 novembre 1917.)

DAGUER (Roger-Laurent), mle 10471, soldat (réserve) à la 9 compagnie du 79 rég. d'infanterie soldat d'élite, patrouilleur volontaire. Atteint d'une balle à la cuisse droite, qui lui fractura le fémur, le 25 septembre 1915, à l'attaque de Beauséjour, est resté quatre jours sur le terrain; réussit à force d'énergie à ne pas tomber aux mains de l'ennemi et à rega-~

(Pour prendre rang du 29 novembre 1916.) LABOUZE-MAKLOUF, mle 16798, zouave (ré-gner les lignes françaises. serve) à la 10 compagnie du 3° rég, de zouaves: zouave brave, très grièvement blessé, le 21 juin 1915, par éclat d'obus, en allant à l'assaut des tranchées turques..

(Pour prendre rang du 15 décembre 1916.). VIDAL (Charles-François) mle 22/7811, soldat (réserve) à la 150 compagnie du 42 rég d'infanterie coloniale: soldat courageux, qui a.fait brillamment son devoir au cours des violents combats de 1914 et 1915, livrés par le régiment d'infanterie coloniale du Maroc et le 42 régiment d'infanterie coloniale. Blessé très grièvement, le 25 septembre 1915, en se portant à l'assaut des positions ennemies.

(Pour prendre rang du 2 mars 1917.) SEGUY (Louis), mle 2037, canonnier (rẻserve) à la batterie du 3 groupe d'artillerie de campagne d'Afrique très bon téléphoniste, crane au feu, très grièvement blessé violent bombardement, le 4 mars 1916 (Verdun). Perte de la vision de 'œil gauche.

au cours d'un

(Pour prendre rang du 4 mars 1917.) CAPELLE (Paul-Célestin), mle Rt 417, soldat reserve) à la 4 compagnie du 15 rég. d'in

(Pour prende rang du 7 décembre 1917.) HENRY (Marius-Alexandre), mle 3084, sergent (R. A. T.) à la 4 compagnie du 112 rég territorial d'infanterie sous-officier plein d'entrain et d'allant. A constamment donné l'exemple du courage et du sang-froid. Blessé très grièvement pendant les opérations d'of fensive de Champagne, le 26 septembre 1915.

(Pour prendre rang du 11 décembre 1917.)

PETITJEAN (Henri), mle 012250, soldat (réserve) à la 7 compagnie du 175 rég. d'infanterie : bon soldat, courageux et dévoué. Très grièvement blessé, le 2 mai 1915, aux Dardanelles.

(Pour prendre rang du 29 avril 1918.) JACQUEMENT (Jean), mle 1581 soldat (territorial) à la 170 compagnie du 207 rég, d'infanterie-: bon soldat, au moral excellent. Très grièvement blessé à la tête, le 20 décembre 1914, aux Hurlus, en faisant bravement son devoir.

(Pour prendre rang du 3 mai 1918.) AUBERCIERE (Jean-Baptiste-François), mle 2255, soldat (R. A. T.) à la 9e compagnie du

(Pour prendre rang du 24 juin 1918.) LARMAT (Julien), mle 7149, soldat (réserve) à la 7 compagnie du 160° rég. d'infanterie très bon soldat, qui s'est bravement comporté au feu, notamment, le 30 juillet 1916, à l'attaque de Maurepas (Somme), où il a été très grièvement blessé au cours d'une progression très difficile..

(Pour prendre rang du 30 juin 1918.)

PEYRE (René), mle 10157, soldat (réserve) à la 10 compagnie du 4 rég. d'infanterie coloniale brave soldat. A été blessé très grièvement, le 16 mai 1915, aux Dardanelles.

(Pour prendre rang du 20 août 1918.)

LABE (Jean), mle 02336, soldat (réserve) à la 17 compagnie du 37° rég, d'infanterie coloniale soldat brave et dévoué. Très grièvement blessé, le 10 juillet 1916, à Biaches, au cours d'un bombardement.

(Pour prendre rang du 24 août 1918.) STARON (François), mle 6 IC 8779, soldat (réserve) à la 27 compagnie du 37 rég. d'infanteric coloniale soldat courageux. Très bravement son devoir dans un combat corps grièvement blessé, le 1er juin 1917, en faisant à corps.

(Pour prendre rang du 26 septembre 1918.)

ROCCA (Augustin), mle 19982, zouave (réserve) au 3 rég. de zouaves, anciennement à la 11 compagnie du 2 rég. de marche d'ins fanterie légère d'Afrique excellent soldat, d'une belle attitude au feu et d'un dévouement à toute épreuve. A reçu trois blessures très graves, le 23 septembre 1916, à Monastir, au cours d'une attaque...

(Pour prendre rang du 5 octobre 1918.) CANARD (Jean-Claude), mle 016150, sergent (territorial) à la 140 compagnie du 230 rég d'infanterie sous-officier énergique et brave. Le 25 septembre 1918, à la Main-de-Massiges, a été très grièvement blessé alors qu'il se préparait à entrainer sa demi-section à l'assaut des positions ennemies

MANDIN (Jean-Baptiste), mle Rt 1851, soldat (R. A. T.) à la 40 compagnie du 143 rég. d'infanterie territoriale: bon soldat, très grièvement blessé, le 24 novembre 1916, à Ablaincourt, en faisant vaillamment son devoir.

(Pour prendre rang du 6 octobre 1918.)

BENOIT (Désiré), mle 8029, caporal (réserve) à la 3 compagnie du 3 bataillon de marche d'infanterie légère d'Afrique: gradé d'un courage et d'un sang-froid légendaires, qui au cours des affaires de septembre 1918, a fait l'admiration de tous en attaquant avec deux hommes un flot de résistance ennemi; a fait huit prisonniers au cours de cette opération. Le 1er octobre 1918, à Vantelay (Aisne) a été très grièvement blessé pendant une contreattaque. Amputé du bras droit..

JOLY (Emile-Louis), mle 16766, soldat (réserve) à la 4 compagnie du 350 bataillon de tirailleurs sénégalais: très bon fusilier mitrailleur, tenace dans l'action. A montré le plus bel exemple par son calme et sa belle attitude au feu au cours de l'attaque du 30 septembre 1918, à Montigny-sur-Vesle (Marne) où il a été très grièvement blessé.

(Pour prendre rang du 7 octobre 1918.) BIGUES (Gaston), mle 919, zouave (réserve) au 3o rég. de zouaves (anciennement à la

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